Le 27 avril 2023 à 16:08:48 :
Souvent, je lis des kheys qui sont "dévastés", "déprimé pour la journée" après certains faits divers. Je me disais à chaque fois "Vous êtes trop fragiles les kheys, le monde est sal et laid de bien des façons, il va falloir l'accepter".Mais là ....
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png J'ai failli stop la lecture
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
J'ai du relire certain passage plusieurs foishttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Horrible
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Plus horrible pour moi que n'importe quelle fait divers lié à un meurtre ou un viol (oui), car : nous sommes en train de lire, et de vivre, la destruction de toutes valeurs bienveillantes, d'amours, et de famille, et en plus cela est VALORISé ....
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Que l'on purifie cet planète et qu'on en finisse
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Je compatis khey, j'ai aussi eu cette réaction
Le 27 avril 2023 à 16:01:31 :
Bah écoute oui
Je crois vous vous rendez juste pas compte de la difficulté que ça peut être, vous en seriez incapable
Le problème est surtout de mettre ça en avant. Qu'elle le quitte pour cette raison est déjà nul à chier, mais qu'elle ose se plaindre de ses problèmes et se félicite de courir un marathon pour lui, c'est à gerber.
Le 27 avril 2023 à 16:01:14 :
Le 27 avril 2023 à 15:56:46 :
Le 27 avril 2023 à 15:53:00 :
J'ai arrêté la lecture cela me rend malade. Quelle indignité. Cette façon de mettre en avant ses petits problèmesde santé mentalede conscience au détriment de la réelle souffrance, la vraie, de celui de son mari, afin de faire un papier et l'abandonner dans la solitude de la maladie.
Mon père est resté jusqu'au bout pour ma mère, ça c'est de l'amour.C'est immonde.
Et l'article va dans le sens de cette femme... Sans parler du mari qui la soutient dans la démarche, pauvre homme.Pauvre cuck
Avec du recul, je pense que c'est sans doute mieux de réagir comme lui, en restant dans le déni. Au moins, il finira ses jours moins malheureux qu'en vivant cela comme un trahison...
Le 27 avril 2023 à 15:57:38 :
D'un autre côté, tu as des femmes bien comme ma daronne qui se mette en couple avec un mec qui a le même cancer et qui reste avec lui jusqu'à la fin.non, ça n'était pas intéressé. Le gars était pauvre et ne lui a rien laissé
Oui ça arrive, sans doute plus que ce que l'on pourrait croire, mais évidemment on met pas ça en avant dans les médias
Le 27 avril 2023 à 15:53:00 :
J'ai arrêté la lecture cela me rend malade. Quelle indignité. Cette façon de mettre en avant ses petits problèmesde santé mentalede conscience au détriment de la réelle souffrance, la vraie, de celui de son mari, afin de faire un papier et l'abandonner dans la solitude de la maladie.
Mon père est resté jusqu'au bout pour ma mère, ça c'est de l'amour.
C'est immonde.
Et l'article va dans le sens de cette femme... Sans parler du mari qui la soutient dans la démarche, pauvre homme.
Le combat de son mari a ravagé la santé mentale de Danielle, forcée de le quitter. Mais elle continue de le soutenir…
Danielle Epstein, une Britannique de 32 ans, venait d’acheter une maison avec son compagnon Jelle Fresen à Londres l’année dernière quand le couple a appris la terrible nouvelle : Jelle souffrait d’une rare tumeur au cerveau alors qu’il n’avait que 37 ans. S’en est suivi un long traitement très pénible. Dans les colonnes du Daily Mail, Danielle explique que sa santé mentale a été mise à rude épreuve durant cette période difficile. Elle a donc quitté Jelle.
Alors que son compagnon devait subir des opérations, des radiothérapies et de la chimiothérapie, Danielle a commencé à avoir des crises de panique. Sa santé mentale s’est complètement dégradée. La trentenaire a décidé de déménager en Thaïlande, tout en restant amie avec Jelle. « Je me sentais comme la personne la plus horrible, quittant quelqu’un parce qu’il avait un cancer, mais cela nuisait à ma santé mentale et cela n’aidait pas Jelle », témoigne Danielle.
La Britannique raconte que le diagnostic a bouleversé leur vie de couple. « Nous étions sur une certaine voie vers un certain avenir et un jour, nous savions que cela n’allait plus fonctionner comme ça. J’étais tellement inquiète et dévastée que je ne pouvais ni dormir ni manger », explique encore Danielle. « J’avais des crises de panique et je prenais tellement de médicaments pour me débrouiller que je ne pouvais tout simplement plus suivre », ajoute-t-elle.
Danielle a ainsi réalisé qu’elle devait se séparer de Jelle. Elle a déménagé en Thaïlande avec son père mais a décidé de garder contact avec Jelle. « Je me sentais tellement impuissante en regardant tout cela se dérouler, alors je savais que je devais faire quelque chose », explique Danielle, qui a décidé de courir le marathon de Londres pour son ex-compagnon. « Je ne suis pas un coureur, mais Jelle a déjà fait des marathons, alors j’ai pensé que ce serait un défi pour moi et un bel hommage pour lui », explique la trentenaire.
Danielle raconte que l’entraînement a été « difficile physiquement et mentalement ». « Mais j’ai la meilleure motivation : si Jelle peut traverser tout cela, je peux courir un marathon », ajoute Danielle. Elle aimerait également que le marathon lui permette de récolter des fonds afin d’aider la recherche sur le cancer du cerveau. « Le Royaume-Uni n’est pas un pays en développement, nous devrions être scientifiquement innovants, mais les traitements n’ont pas changé depuis des décennies et nous semblons être en retard sur les autres pays et les progrès qu’ils ont réalisés », déplore Danielle.
De son côté, Jelle soutient complètement Danielle dans son défi : « Je serai là le jour J pour encourager Danielle. Je pense que c’est incroyable ce qu’elle fait. Quand elle a dit qu’elle allait faire un marathon, je dois avouer que j’avais des doutes. Je pense qu’elle n’a fait qu’environ 5 kilomètres quand nous étions ensemble et avec beaucoup de plaintes », témoigne Jelle, qui affirme tout de même avoir « tellement de respect pour sa discipline et sa persévérance ».
Danielle conclut : « J’aime toujours Jelle profondément et je veux le soutenir, mais j’ai réalisé que je ne pouvais pas rester avec lui en tant que partenaire ».