Le 30 mai 2022 à 10:56:00 :
[10:31:44] <Drannoc56>
Ceux qui n'ont pas lu ont manqués une belle occasion d'apprendre quelque chose
Exact !
L'anulingus est un pacte tacite dans un couple, une sorte de fiançailles par le léchage du fion.
C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui fussent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.
Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
[03:13:02] <AM39Exocet>
Mec tu crois que je vais lire un pavé pareil à 3h12 du matin ?
Tu devrais khey
[03:11:11] <jeffmachoire>
très bonne idée ça te feras ton immunitéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/44/3/1540947007-wittgenpaz.png
Exact. Même plus besoin de se faire vacciner, une pierre, quinze coups.
C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui fussent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.
Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.
Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".
La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.
L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui fussent les suivantes.
Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.
Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.
Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.
C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.
J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.
Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.
Le 29 mai 2022 à 15:55:27 :
Csc, t’as vu le forum sûr lequel tu marque ton pavé. Et en plus c’est faux la majorité des nanas s’en fichent d’être célibataires en dehors de quelque filles névrosées en manque d’affection.
"csc"
"c’est faux la majorité des nanas s’en fichent d’être célibataires"
Le 29 mai 2022 à 15:52:29 :
Bon Dieu, pas une seule ne sait donc vivre seule, sans dépendre affectivement d'un autre ? Dès que je fais connaissance avec une femme, célibataire j'entends, il y a nécessairement la venue du sujet de l'amour et de la vie de couple, elles ont plus besoin encore de vivre à deux (ou de ne pas vivre seule en tout cas) que les hommes à vouloir du sexe. C'est une putain d'obsession.
Je vous assure que j'essaye de remonter dans ma mémoire pour me souvenir de femmes qui n'avaient pas ce délire, et il y en a qu'une poignée, trois tout au plus (et encore).
Vous aussi ça vous sidère ?
(reconnaitre l'obsession des femmes ne m'empêchent pas de nier l'obsession de certains hommes vis-à-vis du sexe, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis.)
"attend 5min je dois faire un truc"
Bordel l'image qu'elle doit avoir de toi en ce moment
Imaginez la grosse meuf acariâtre du fond de la classe qui vous dit qu'elle veut vous baiser avant d'arrêter la conversation pour dire "att je fais un truc là"