Le 01 décembre 2021 à 11:39:54 :
Le 01 décembre 2021 à 11:38:53 :
Le 01 décembre 2021 à 11:37:18 :
Le 01 décembre 2021 à 11:35:45 :
Le 01 décembre 2021 à 11:32:32 :
cette pub ne m'inspire que du dégout l'op
pourquoi ?
superficialité, consommation à outrance, culte de l'apparence et de la jeunesse, matrixation us, banalisation de la sexualité,...
Je continue ?
oui continue
ok je vais pas me faire chier et faire écrire une ia à ma place attends
superficialité, consommation à outrance, culte de l'apparence et de la jeunesse, matrixation us, banalisation de la sexualité, etc. » (p. 442)
D'où, en somme, cette faute.
S'il n'y avait pas de faute, il n'y aurait pas de crime. Nous sommes, cela va de soi, dans le contexte d'un système social et culturel qui ne peut fonctionner que si la vie est de plus en plus mise en valeur à travers l' _esprit de création_ , ce qui revient à un désir de dépassement de soi-même qui s'accompagne, dans l'ensemble de la société, d'une recherche du plaisir. Mais sous cette illusion, il s'agit de la même chose.
La grande faute est à reconnaître dans le comportement négligent que nous avons relevé dans le chapitre précédent : en se déchargant de sa responsabilité et en se souvenant pour peu qu'il existe la responsabilité, en se contentant de ce qui est simplement possible, en se reposant sur la position que lui confère la culture, l'individu décide et l'oublie en même temps. C'est de cela, c'est d'un tel comportement, qu'il s'agit dans le cas d'attentats. Ce comportement ne fait qu'imiter l'oubli, et, en lui conférant un sens, le fait croire au pouvoir de l'oubli et le contrecarre à la grande échelle.
Il est important de nous interroger sur le sens de l'oubli.
L'oubli qui nous est donné ne va pas de soi, nous semble-t-il. Pourtant, il faut bien admettre que nous éprouvons souvent une impression de nous nous dessaisir de notre soi. On est en quelque sorte oublieux de soi et cela paraît inévitable. Car si l'on oublie, c'est en même temps que c'est d'autres choses que l'on ignore.
