Surprise pour notre lecteur qui, il y a quelques jours, a découvert un bandeau vert sur son application TousAntiCovid lui signalant que « d’après ce certificat, vous serez éligible au rappel vaccinal le 2 février 2022 ».
préparez vous à la 4ème
Le molnupiravir induit clairement une mutagenèse intense dans le SRAS-CoV-2, 3 et cela explique son efficacité. Mais l'β-d-N4-hydroxycytidine, le métabolite actif du molnupiravir, est non seulement cytotoxique mais aussi mutagène dans les cellules de mammifères. 4 Le médicament peut endommager l'ADN
L'actualité des sciences du 11 octobre 2021, c'est :
En santé : Covid-19 : que sait-on du nouveau médicament Molnupiravir ?
Le Molnupiravir, antiviral contre le Covid-19 du géant pharmaceutique Merck, montrait une diminution de 50% des décès et du risque d'hospitalisation dans son essai clinique randomisé.
En revanche, certains experts s'inquiètent du risque de mutagenèse dans les cellules des personnes traitées car la molécule peut être incorporée dans l'ADN et y créer des mutations.
Cette observation n'a cependant été faite que in vitro, pas in vivo, mais la prudence reste de mise car comme le dit le chercheur Ron Swanstrom, "l’absence de la détection ne veut pas dire la détection de l’absence."
et donc potentiellement cancerigène, bordel ca s'arrêtera jamais
https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2663
Le molnupiravir induit clairement une mutagenèse intense dans le SRAS-CoV-2, 3 et cela explique son efficacité. Mais l'β-d-N4-hydroxycytidine, le métabolite actif du molnupiravir, est non seulement cytotoxique mais aussi mutagène dans les cellules de mammifères. 4 Le médicament peut endommager l'ADN
L'actualité des sciences du 11 octobre 2021, c'est :
En santé : Covid-19 : que sait-on du nouveau médicament Molnupiravir ?
Le Molnupiravir, antiviral contre le Covid-19 du géant pharmaceutique Merck, montrait une diminution de 50% des décès et du risque d'hospitalisation dans son essai clinique randomisé.
En revanche, certains experts s'inquiètent du risque de mutagenèse dans les cellules des personnes traitées car la molécule peut être incorporée dans l'ADN et y créer des mutations.
Cette observation n'a cependant été faite que in vitro, pas in vivo, mais la prudence reste de mise car comme le dit le chercheur Ron Swanstrom, "l’absence de la détection ne veut pas dire la détection de l’absence."