Le 03 septembre 2016 à 18:57:17 TonAmie a écrit :
Le 03 septembre 2016 à 18:55:46 BretteurRoyaux a écrit :
XVII : Pays-Bas ?Pardon ?
L’Autriche ?
L'Autriche qu'il dit
Stage en servie de dermatologie sans piston
Aujourd'hui au R.S.A
Le 17 août 2016 à 21:39:09 Sx_Beta a écrit :
va voir un psy
Pas d'argent, et puis LISEZ mon dieu, je sais très bien que c'est minable, mais ça n'a plus d'importance, je ne me plains pas, je ne fais qu'écrire, essayer d'écrire, ce que je ressens, ça fait tellement longtemps que je suis comme ça qu'un topic est inutile. C'est pire que de la frustration, de la tristesse J'aimerai être haineux comme vous, je l'ai été, mais je ne le suis plus. Je suis devenu inscouciant en quelque sorte, à comprendre ce qui m'entoure en me disant que ça me concerne pas.
Le 17 août 2016 à 21:37:10 Cpt-flamkuch a écrit :
cette d'échéance
Tu as lu ? Je suis pas sûr, il n'est pas vraiment question de déchéance Même si je suis un déchet oui Desco et tout le tralala et puceau bien sûr.
Oui j'étais naif de penser que tout le monde allait lire, enfin, non je le savais très bien, mais j'ai autant écrit ça pour moi que pour vous les kheys
Non, les mecs, lisez vraiment, ça peut être intéressant, même si c'est pas très agréable je suppose, A une époque les j'ai pas lu m'affectait
Depuis mes 14 ans, je pleurs chaque soir, au début, c'était toujours pour quelque chose, même si je n'étais jamais heureux, je me maintenait dans une sorte de satisfaction que chaque évènement, triste ou non d'ailleurs affaiblissait. Mais à 14 ans, j'ai vu le bonheur j'ai entrevu ce qu'aurait pu être ma vie, si j'avais été normal, ne me dites pas que les personnes anormales peuvent être heureux, je n'ai pas besoin de ça, j'ai eu le temps d'entendre tous les discours moralistes possibles, j'avais la malchance d'être assez mature pour me rendre compte de ce que je vivais, depuis cette année, je suis incapble d'être heureux, même les évènement heureux deviennent tristes.
Aujourd'hui, j'ai passé le stade de pleurer pour quelque chose, là seul chose qui me vient à l'esprit est que je suis seul, vraiment seul, mais je sais que même si je trouvais une meuf, impossible dans mon état, ça ne changerait rien, mon malheur est devenu intrasèque, s'il ne l'a pas toujours été. Enfin, je parle comme si je recherchais des solutions, mais non, tout est fini, je l'ai compris, ma vie n'a été qu'un échec et le sera toujours, je suis médiocre, je pensais que l'accepter pouvait m'aider mais rien y fait. L'argument des parents revient souvent, mais que voulez vous y faire ? Les miens n'avaient pas assez d'argent pour le psy, et aujourd'hui toujours pas, à la rigueur les AD auraient pu mettre, utile, mais j'ai la malheureuse conviction de ne pas vouloir me suicider alors ils s'en foutent, et eux-mêmes ne peuvent rien faire face à ce phénomène peut-être de fragile les dépasse, qui me dépasse, il n'y a aucune raison à mon malheur, j'ai toujours été voué à être malheureux, cependant, je n'avais pas à me plaindre enfant alors ça allait, mais à l'adolescence, quand les problèmes concrets sont arrivés, toute ma vie, toute ma destinée m'est revenue comme un coup de poing,je n'allais pas être heureux, plus jamais, ces problèmes maintenant disparus ont simplement laissés un arrière goût de frustration en laissant la mélancolie. Pour les forumeurs, la dépression, qui les concerne tous mais qui est caché derrière un cynisme assumer à différents degrès, cette "maladie" est pour les fragiles, avec le peu de recul que je peux avoir, je ne pense pas, à part pour les AW la dépression est plus inée et n'a rien à voir avec la force mentale, elle lui est justement relative(je parle des vrais) phénomène qui vient souvent avec l'intelligence, qui est peut-être une concéquence en commun, je n'en sais rien, et je m'en fous, avant doué et cette même douance s'est autodétruite par l'introspection, j'étais incapable de suivre les cours, incapables de lire, incapable de m'instruire, j'ai eu la chance d'étre assez avancé à cette âge, cette malchance de ne plus pouvoir apprendre très tôt, mais finalement, la maturité a pris le dessus, je suis à peu près lucide sur la vie, même si ça ne sert à rien, mais l'intelligence que j'avais à la naissance, sans prétention, beacoup de forumeurs gaché cette chance m'a permis de sauver les meubles, d'être, au final, pas plus con qu'un autre, simplement plus mature, simplement plus blasé, plus triste, ça l'est encore plus de se dire qu'on a gâché son potentiel de cet manière, de manière inexorable en simple spectateur, même si par miracle j'arrivais aujourd'hui à faire quelque chose, à ne pas rester des jours durant couché dans mon lit à pleurer, je serai incapable de quoi que ce soit, parce que même si j'écris bien, même si je suis doué, je n'ai aucune qualification, plus aucune motivation, plus aucun espoir, j'ai réussi à retrouver un semblant de culture, mais ça n'a pas beaucoup d'importance quand on est la seule personne en profiter, je ne suis plus au stade ou être cultivé ou intelligent était une fin en soi, c'est un foutu cercle vicieux, je suis sûr que vous l'avez compris. Quoiqu'en pense Voltaire, avoir un jardin ne sert à rien lorsque la mélancolie est si forte, elle nous arrache de cet hamas d'herbe qui était pour moi le lycée, pour nous emmener ailleurs et mieux s'amuser avec nous, à ce moment, impossible de s'en sortir, les nuits blanches passés à pleurer avec ma conscience n'y changeait rien, et même à cette époque je n'ai jamais vraiment su par où ça a commencé précisément, à part mes fameuses 14 années, lorsque on est déprimé, le cours du temps et les souvenirs sont vraiment altérés, je n'ai aucune mémoire à court terme, et je suis incapable de tenir une conversation tant je pense à autre chose. Quand le seul salut, ou dumoins, la chance d'accéder à une chance vers le salut, est cette même discussion, comprenez que c'est compliqué. J'aurai pu essayer de me sauver vers 15 ans, lorsque je parlais encore à peu près bien mais maintenant, c'est mort, autant dans le fond que dans la forme, je suis incapable de parler, même si je n'étais plus triste je ne pourrais sûrement plus parler d'ailleurs, je n'ai pas ouvert la bouche depuis plusieurs années, même si cette situation est utopique car pour ne plus être triste, je devrais parler et je ne connais pas de solution miracle et MEME si je réussissais à parler, à retrouver un semblant d'affection en vainquant les 2 points cités au dessu, je ne serai pas heureux, le mal est enfoui. , c'est tellement simple et pourtat tellement confus, je suis triste, 3 mots, mais pourquoi? 10 ans de ma vie à réfléchir sans réponse, au début je pensais qu'une meuf pourrait m'aider, ça aurait même pu, mais je préfère ne pas y penser, je préfère peser au présent en me disant que la situation est fatale, immuable, je culpabilise moins, sans toutefois penser au futur, à mon futur de déchet. Je devais devenir médecin, maintenant je veux juste "mourir"(façon de parler pas Gilbert les kheys c'est sincère), dans l'incapcité de vivre, en ayant voulu ça la majeure partie de ma vie, je n'avais même à me plaindre on pourrait croire qu'on s'y habitue mais non, j'ai passé le stade du cynisme, de l'ironie, de la substitue de la tristesse, maintenant je ne suis qu'une coquille vide sans âme je ne peux pas m'en sortir, j'ai déja tout essayé, je ne cherche pas à trouver de l'aide, c'est fini, je veux simplement faire part de ma tristesse ici, sans me plaindre, je ne pourrai pas, je réponds à vos questions . Merci d'avoir lu. J'aimerai aider les kheys mais je sais que pour tout ceux qui sont assez despérés pour me prendre au sérieux, il est déjà trop tard, je n'ai plus le luxe de me voiler la face. Je ne parle pas de la déprime que certains utilisent peut-être pas à tort mais tellement insultant pout nous comme "C'est la déprime au boulot", la déprime est un état d'esprit malheureux intrasèque, disciable de tout évènement de la vie, hereux ou non, tout paraitra noir, ce n'est pas une mauvaise passe. Désolé mais j'arrive à un stade ou même exprimer mon chagrin devient compliqué, je n'ai rien à dire, juste des larmes, enfin, le plus simplement,je voulais vivre, je n'ai fait que mourir.