Nombre de malades à l’hôpital : l’incroyable découverte
La copie de l'article de Nice Matin en question :
POURQUOI LE NOMBRE DE MALADES ENTRE LES DONNÉES DE SANTÉ PUBLIQUE FRANCE ET CELLES DES HÔPITAUX EST SI DIFFÉRENT. NOTRE DÉCRYPTAGE Par Nancy Cattan Le 16/01 à 10h00 MàJ 16/01 à 10h07
Mic mac autour des chiffres de la Covid-19 dans les Alpes-Maritimes... Alors que tous les regards sont braqués sur le nombre de lits disponibles pour accueillir des malades souffrant de formes graves de Covid, on découvre d’importantes divergences dans les chiffres.
Il ne s’agit pas de minimiser l’ampleur de l’épidémie ni sa gravité, alors que le virus continue de circuler activement sur le territoire. Mais de faire état de la réalité de la situation, aussi objectivement possible. Or la situation dans les Alpes-Maritimes, selon qu’elle s’appuie sur les données de Santé publique France, ou sur celles fournies au quotidien par les acteurs de terrain, prend des visages différents.
Nous avons fait cette découverte après avoir reçu des courriers de médecins hospitaliers s’étonnant des discordances entre les informations diffusées par Nice-Matin au sujet des hospitalisations pour Covid (issues de Santé publique France) et les observations de terrain.
Or, le nombre d’hospitalisations pour Covid-19 fait partie des indicateurs suivis avec la plus grande attention. Il rend compte du niveau d’occupation des lits dédiés à l’accueil des malades souffrant de formes graves de la Covid-19.
Chaque jour, des personnels du CHU de Nice, établissement support des Alpes-Maritimes, interrogent ainsi tous les établissements accueillant des malades de la Covid-19, et recensent le nombre de lits occupés pour ce motif.
Des informations précieuses, relayées à tous les professionnels hospitaliers ainsi qu’à l’ARS, et qui participent en premier lieu aux choix politiques: couvre-feu, confinement…
Rappelons en effet que toutes les mesures prises ont pour objectif d’éviter une saturation des lits d’hôpitaux.
DE GROSSES DIFFÉRENCES PENDANT DES SEMAINES CRUCIALES
Nous avons pu nous procurer ces tableaux et les courbes d’évolution depuis début octobre, lorsque l’épidémie est repartie à la hausse après la trêve estivale. Et nous avons comparé les données y figurant à celles publiées par Santé publique France, établissement sous la tutelle du ministère de la santé. Données relayées par Nice-Matin, et l’ensemble des médias.
Et là, nous avons constaté des différences majeures concernant les lits occupés mais aussi l’évolution de la courbe des hospitalisations pendant plusieurs semaines cruciales.
À titre d’exemple, le 3 janvier dernier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité "seulement" 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Comment comprendre cette différence d’un facteur 2.5 entre ces deux sources?
Phénomène plus préoccupant, on observe de vraies divergences dans l’évolution des courbes, pendant des périodes déterminantes. Ainsi, alors que celles traduisant la progression des hospitalisations pour formes graves dans les Alpes-Maritimes, produites par les acteurs de terrain, font état d’une relative stabilité, voire d’une décroissance, à compter du 10 novembre et pendant plusieurs semaines, la courbe publiée par Santé publique France décrit une croissance constante de ces hospitalisations.
Depuis la levée du confinement, et les instaurations successives du couvre-feu à 20 h puis 18 h, les deux courbes sont quasi parallèles, en progression.
DES PATIENTS EN SOINS DE SUITE QUI CONTINUENT D’ÊTRE COMPTABILISÉS
Répondre à ces questions posées par ces données nous a valu une plongée dans un univers totalement kafkaïen, à l’issue duquel nous ne pouvons émettre que des hypothèses, chaque acteur n’ayant pu nous fournir d’explications exhaustives.
Le chiffre des hospitalisations provenant des hôpitaux eux-mêmes inclut les patients en soins critiques, en lits de médecine mais ne tient pas compte à juste titre de ceux qui ont eu le Covid par le passé, et qui sont toujours hospitalisés en soins de suite et réadaptation (SSR), pour une prise en charge des séquelles de leur maladie.
Des patients qui ne sont plus contagieux pour la grande majorité d’entre eux.
"Au bout de 14 jours, ces patients devraient être sortis des bases, nous indique un spécialiste en santé publique. Dans la réalité, il est fréquent qu’ils ne le soient pas tant qu’ils restent présents dans les unités de SSR. De façon plus générale, les malades de la Covid-19 qui quittent l’hôpital après un séjour en réanimation ou dans un autre service ne sont pas toujours sortis des bases. Comme Santé publique France fait des extractions de ces données, elles sont mathématiquement supérieures à la réalité."
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Covid-19: hôpitaux et cliniques de la Côte d'Azur tout proches de la saturation?
PAS DE DISTINGUO AVEC LES PATIENTS PCR+ HOSPITALISÉS POUR D’AUTRES MOTIFS
Lorsqu’un patient est hospitalisé pour un motif quelconque (insuffisance cardiaque, décompensation diabétique…), dans l’un ou l’autre des services des hôpitaux ou cliniques, et qu’il est testé positif pendant son séjour, il rejoint le "pool des personnes hospitalisées pour Covid" dans la base de données, même s’il ne présente aucun symptôme.
Lorsque des patients arrivent dans les services d’urgences avec une suspicion de Covid, ils sont aussitôt rentrés dans la base SI-VIC. Si le diagnostic n’est pas confirmé, ils doivent ensuite être retirés de la base, ce qui n’est là encore pas systématiquement fait.
Le système de recueil de données inclut les patients positifs résidents en EHPAD, dans des maisons d’accueil spécialisé (MAS) et foyers d’accueil médicalisé (FAM), même si leur état n’a pas justifié une hospitalisation dans l’un ou l’autre des secteurs dédiés.
PLUS ON TESTE, PLUS ON TROUVE DE POSITIFS
Au-delà des différences dans le nombre total de patients hospitalisés pour Covid, comment expliquer les divergences dans les trajectoires des courbes entre le 10 novembre et le 15 décembre ? Intrigués, aucun des spécialistes contactés n’a su pour autant nous répondre.
La réponse s’explique peut-être en partie par le nombre de tests réalisés. Les Alpes-Maritimes figurent parmi les départements qui testent le plus en France. Or, plus on teste, plus on trouve de positifs. Des personnes testées positives alors qu’elles sont hospitalisées ou qu’elles résident dans des établissements sanitaires et sociaux, Ehpad en priorité (qui ont fait face pendant cette période à de nombreux clusters), rejoignent la case des personnes "hospitalisées avec diagnostic Covid-19" sur le site de Santé publique France.
On s’aperçoit, en suivant la courbe issue des données des hôpitaux, que l’accroissement du nombre de positifs ne s’est pas traduit par une augmentation des hospitalisations dans des structures de soins, et n’a donc pas constitué une menace pour le système de santé.
LA PROBLÉMATIQUE EST CERTAINEMENT NATIONALE
Si à l’issue de cette enquête de nombreuses questions restent posées, il reste que cette bataille des chiffres a matière à inquiéter de l’avis même des acteurs en première ligne dans cette crise: "C’est un biais terrible, alors que toute la communication est en effet basée sur les chiffres de Santé Publique France. Et la problématique est certainement nationale, nous confie l’un d’entre eux sous couvert d’anonymat (chacun partage la même crainte d’être accusé de nourrir la théorie du complot).
En pleine décroissance des hospitalisations, les journaux titraient: l’épidémie repart! Et lorsque le couvre-feu à 18 heures a été instauré, on a aussi dit: ça explose à Nice! La réalité, c’est que ça n’évoluait pas plus qu’ailleurs."
Développée dans des conditions d’urgence suite aux attentats de novembre 2015, la plateforme web SI-VIC (SI VICtimes) a permis aux agences sanitaires de disposer rapidement d’une base de données partagée et sécurisée adaptée aux événements générant de nombreux blessés (attentat, prise d’otage, accident sur la voie publique, etc.). Cette plateforme proposait ainsi un système de recensement des admissions aux urgences avec recherche de doublons et possibilités de transferts d’un service à un autre.
Aujourd’hui, elle est utilisée par les établissements de santé dans le cadre de l’épidémie de COVID-19 pour permettre le dénombrement des patients COVID-19 hospitalisés, notamment en réanimation, et assurer ainsi un suivi en temps réel de l’impact sur l’offre de soins (lits d’hospitalisation, réanimation, décès).
Nombre de malades à l’hôpital : l’incroyable découverte
La copie de l'article de Nice Matin en question :
POURQUOI LE NOMBRE DE MALADES ENTRE LES DONNÉES DE SANTÉ PUBLIQUE FRANCE ET CELLES DES HÔPITAUX EST SI DIFFÉRENT. NOTRE DÉCRYPTAGE Par Nancy Cattan Le 16/01 à 10h00 MàJ 16/01 à 10h07
Mic mac autour des chiffres de la Covid-19 dans les Alpes-Maritimes... Alors que tous les regards sont braqués sur le nombre de lits disponibles pour accueillir des malades souffrant de formes graves de Covid, on découvre d’importantes divergences dans les chiffres.
Il ne s’agit pas de minimiser l’ampleur de l’épidémie ni sa gravité, alors que le virus continue de circuler activement sur le territoire. Mais de faire état de la réalité de la situation, aussi objectivement possible. Or la situation dans les Alpes-Maritimes, selon qu’elle s’appuie sur les données de Santé publique France, ou sur celles fournies au quotidien par les acteurs de terrain, prend des visages différents.
Nous avons fait cette découverte après avoir reçu des courriers de médecins hospitaliers s’étonnant des discordances entre les informations diffusées par Nice-Matin au sujet des hospitalisations pour Covid (issues de Santé publique France) et les observations de terrain.
Or, le nombre d’hospitalisations pour Covid-19 fait partie des indicateurs suivis avec la plus grande attention. Il rend compte du niveau d’occupation des lits dédiés à l’accueil des malades souffrant de formes graves de la Covid-19.
Chaque jour, des personnels du CHU de Nice, établissement support des Alpes-Maritimes, interrogent ainsi tous les établissements accueillant des malades de la Covid-19, et recensent le nombre de lits occupés pour ce motif.
Des informations précieuses, relayées à tous les professionnels hospitaliers ainsi qu’à l’ARS, et qui participent en premier lieu aux choix politiques: couvre-feu, confinement…
Rappelons en effet que toutes les mesures prises ont pour objectif d’éviter une saturation des lits d’hôpitaux.
DE GROSSES DIFFÉRENCES PENDANT DES SEMAINES CRUCIALES
Nous avons pu nous procurer ces tableaux et les courbes d’évolution depuis début octobre, lorsque l’épidémie est repartie à la hausse après la trêve estivale. Et nous avons comparé les données y figurant à celles publiées par Santé publique France, établissement sous la tutelle du ministère de la santé. Données relayées par Nice-Matin, et l’ensemble des médias.
Et là, nous avons constaté des différences majeures concernant les lits occupés mais aussi l’évolution de la courbe des hospitalisations pendant plusieurs semaines cruciales.
À titre d’exemple, le 3 janvier dernier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité "seulement" 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Comment comprendre cette différence d’un facteur 2.5 entre ces deux sources?
Phénomène plus préoccupant, on observe de vraies divergences dans l’évolution des courbes, pendant des périodes déterminantes. Ainsi, alors que celles traduisant la progression des hospitalisations pour formes graves dans les Alpes-Maritimes, produites par les acteurs de terrain, font état d’une relative stabilité, voire d’une décroissance, à compter du 10 novembre et pendant plusieurs semaines, la courbe publiée par Santé publique France décrit une croissance constante de ces hospitalisations.
Depuis la levée du confinement, et les instaurations successives du couvre-feu à 20 h puis 18 h, les deux courbes sont quasi parallèles, en progression.
DES PATIENTS EN SOINS DE SUITE QUI CONTINUENT D’ÊTRE COMPTABILISÉS
Répondre à ces questions posées par ces données nous a valu une plongée dans un univers totalement kafkaïen, à l’issue duquel nous ne pouvons émettre que des hypothèses, chaque acteur n’ayant pu nous fournir d’explications exhaustives.
Le chiffre des hospitalisations provenant des hôpitaux eux-mêmes inclut les patients en soins critiques, en lits de médecine mais ne tient pas compte à juste titre de ceux qui ont eu le Covid par le passé, et qui sont toujours hospitalisés en soins de suite et réadaptation (SSR), pour une prise en charge des séquelles de leur maladie.
Des patients qui ne sont plus contagieux pour la grande majorité d’entre eux.
"Au bout de 14 jours, ces patients devraient être sortis des bases, nous indique un spécialiste en santé publique. Dans la réalité, il est fréquent qu’ils ne le soient pas tant qu’ils restent présents dans les unités de SSR. De façon plus générale, les malades de la Covid-19 qui quittent l’hôpital après un séjour en réanimation ou dans un autre service ne sont pas toujours sortis des bases. Comme Santé publique France fait des extractions de ces données, elles sont mathématiquement supérieures à la réalité."
À LIRE AUSSI
Covid-19: hôpitaux et cliniques de la Côte d'Azur tout proches de la saturation?
PAS DE DISTINGUO AVEC LES PATIENTS PCR+ HOSPITALISÉS POUR D’AUTRES MOTIFS
Lorsqu’un patient est hospitalisé pour un motif quelconque (insuffisance cardiaque, décompensation diabétique…), dans l’un ou l’autre des services des hôpitaux ou cliniques, et qu’il est testé positif pendant son séjour, il rejoint le "pool des personnes hospitalisées pour Covid" dans la base de données, même s’il ne présente aucun symptôme.
Lorsque des patients arrivent dans les services d’urgences avec une suspicion de Covid, ils sont aussitôt rentrés dans la base SI-VIC. Si le diagnostic n’est pas confirmé, ils doivent ensuite être retirés de la base, ce qui n’est là encore pas systématiquement fait.
Le système de recueil de données inclut les patients positifs résidents en EHPAD, dans des maisons d’accueil spécialisé (MAS) et foyers d’accueil médicalisé (FAM), même si leur état n’a pas justifié une hospitalisation dans l’un ou l’autre des secteurs dédiés.
PLUS ON TESTE, PLUS ON TROUVE DE POSITIFS
Au-delà des différences dans le nombre total de patients hospitalisés pour Covid, comment expliquer les divergences dans les trajectoires des courbes entre le 10 novembre et le 15 décembre ? Intrigués, aucun des spécialistes contactés n’a su pour autant nous répondre.
La réponse s’explique peut-être en partie par le nombre de tests réalisés. Les Alpes-Maritimes figurent parmi les départements qui testent le plus en France. Or, plus on teste, plus on trouve de positifs. Des personnes testées positives alors qu’elles sont hospitalisées ou qu’elles résident dans des établissements sanitaires et sociaux, Ehpad en priorité (qui ont fait face pendant cette période à de nombreux clusters), rejoignent la case des personnes "hospitalisées avec diagnostic Covid-19" sur le site de Santé publique France.
On s’aperçoit, en suivant la courbe issue des données des hôpitaux, que l’accroissement du nombre de positifs ne s’est pas traduit par une augmentation des hospitalisations dans des structures de soins, et n’a donc pas constitué une menace pour le système de santé.
LA PROBLÉMATIQUE EST CERTAINEMENT NATIONALE
Si à l’issue de cette enquête de nombreuses questions restent posées, il reste que cette bataille des chiffres a matière à inquiéter de l’avis même des acteurs en première ligne dans cette crise: "C’est un biais terrible, alors que toute la communication est en effet basée sur les chiffres de Santé Publique France. Et la problématique est certainement nationale, nous confie l’un d’entre eux sous couvert d’anonymat (chacun partage la même crainte d’être accusé de nourrir la théorie du complot).
En pleine décroissance des hospitalisations, les journaux titraient: l’épidémie repart! Et lorsque le couvre-feu à 18 heures a été instauré, on a aussi dit: ça explose à Nice! La réalité, c’est que ça n’évoluait pas plus qu’ailleurs."
Développée dans des conditions d’urgence suite aux attentats de novembre 2015, la plateforme web SI-VIC (SI VICtimes) a permis aux agences sanitaires de disposer rapidement d’une base de données partagée et sécurisée adaptée aux événements générant de nombreux blessés (attentat, prise d’otage, accident sur la voie publique, etc.). Cette plateforme proposait ainsi un système de recensement des admissions aux urgences avec recherche de doublons et possibilités de transferts d’un service à un autre.
Aujourd’hui, elle est utilisée par les établissements de santé dans le cadre de l’épidémie de COVID-19 pour permettre le dénombrement des patients COVID-19 hospitalisés, notamment en réanimation, et assurer ainsi un suivi en temps réel de l’impact sur l’offre de soins (lits d’hospitalisation, réanimation, décès).
Le 21 janvier 2021 à 20:56:49 Gamora- a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:50:29 PARiS-CLiCHY a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:48:44 JeanDeants a écrit :
Ca me rend ouf, l'ambiance malsaine et négative qui règne. Tout le monde qui fait la gueule et est hyper agressif et malpol. Je suis ultra surpris quand quelqu'un est poli et souriant, je me demande ce qu'il a et j'en suis limite choqué. C'est dire l'ambiance qui règneca détend tellement sur nous vous imaginez même pas. Je pense que je vais arrêter de sortir à part pour le strict nécéssaire, l'ambiance dehors me rend parano, aigri et négatif
Les aigris, stressés, malpolis sont des provinciaux comme toi, des enfants de paysans boomers.
Un conseil, restez dans vos bleds paumés plutôt que de pourrir l’ambiance festive Parisienne.
Bien à vous
Je confirme et on rajoutera aux bouseux les mecs de cités de banlieues profondes qui se sentent plus pisser quand ils débarquent en ville
Qd on arrive en viiiiille
Courage à vous les Parisiens moi je remercie Dieu d être campagnard
Sortir admirer les étoiles
Le 21 janvier 2021 à 20:55:34 JeanDeants a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:53:34 Troglonaute142 a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:50:29 PARiS-CLiCHY a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:48:44 JeanDeants a écrit :
Ca me rend ouf, l'ambiance malsaine et négative qui règne. Tout le monde qui fait la gueule et est hyper agressif et malpol. Je suis ultra surpris quand quelqu'un est poli et souriant, je me demande ce qu'il a et j'en suis limite choqué. C'est dire l'ambiance qui règneca détend tellement sur nous vous imaginez même pas. Je pense que je vais arrêter de sortir à part pour le strict nécéssaire, l'ambiance dehors me rend parano, aigri et négatif
Les aigris, stressés, malpolis sont des provinciaux comme toi, des enfants de paysans boomers.
Un conseil, restez dans vos bleds paumés plutôt que de pourrir l’ambiance festive Parisienne.
Bien à vous
Ambiance festive ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495725496-1494165223-macroned30.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495725496-1494165223-macroned30.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495725496-1494165223-macroned30.png Il ose
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/3/1587590206-nagui2-altieri.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/3/1587590206-nagui2-altieri.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/3/1587590206-nagui2-altieri.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/3/1587590206-nagui2-altieri.png festive bordel
tu peux pas être plus à l'opposé de la réalité
Nen dis pas trop gilbert surveille ce topic
Le 21 janvier 2021 à 20:53:43 Snoop_Small a écrit :
Mec je viens de Belgique et je confirme fuis cette ville
Je suis le pass Navigo de l'auteur et je confirme
Le 21 janvier 2021 à 20:50:29 PARiS-CLiCHY a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 20:48:44 JeanDeants a écrit :
Ca me rend ouf, l'ambiance malsaine et négative qui règne. Tout le monde qui fait la gueule et est hyper agressif et malpol. Je suis ultra surpris quand quelqu'un est poli et souriant, je me demande ce qu'il a et j'en suis limite choqué. C'est dire l'ambiance qui règneca détend tellement sur nous vous imaginez même pas. Je pense que je vais arrêter de sortir à part pour le strict nécéssaire, l'ambiance dehors me rend parano, aigri et négatif
Les aigris, stressés, malpolis sont des provinciaux comme toi, des enfants de paysans boomers.
Un conseil, restez dans vos bleds paumés plutôt que de pourrir l’ambiance festive Parisienne.
Bien à vous
Ambiance festive ?
Il ose
Le 21 janvier 2021 à 20:51:35 moongaze a écrit :
AUX ABRIShttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/5/1579874839-stickers-alerte.png
SssssSSSssss
Sssssssssssssssssss
Sache que :
Je suis un homme malade
Je suis un homme méchant
Je suis un homme déplaisant !
Je crois que je vais vous confiner...
Si je ne vous soigne pas c'est par pure méchanceté envers le pays réel..
Je ne suis pas en colère contre les élites
Je ne fais de tort qu aux Français !
Je le sais mieux que QUICONQUE ! !
D ailleurs je ne sais pas au juste quel est l'état de la France...
C est par pure vanité que je ne vous soigne pas !
Je vais vous confiner jusqu'à la fin de mes mandats et au delà ! !!!! TANT MIEUX !!!!
https://vocaroo.com/16AcPI63f7hD
Le 21 janvier 2021 à 20:30:32 Chonclox a écrit :
Le 21 janvier 2021 à 19:23:10 --Kamikaze-- a écrit :
Sssssssssss
Le 21 janvier 2021 à 20:29:50 dbzbt2fan a écrit :
Mon frère qui travaillait à la morgue à bien vu des médecins mettre "suspicion Covid" sur les fiches de décès des personnes qui ne vont pas en autopsie et dont les véritables causes de décès était inconnues
Ayaaaaaaaaa
Les médecins eco plus
Le 21 janvier 2021 à 20:16:31 Jte_Demoli a écrit :
up