Le 15 mai 2021 à 12:30:45 :
Le 15 mai 2021 à 12:28:04 :
J'étais comme cette fille pendant mes études donc je la comprend.Sans mes bonnes notes : je sers à rien, je vaux rien, je déçois mes parents et suis un poids pour les autres. A chaque échec je prouve que le monde se porterai mieux sans moi.
Maintenant je suis dans le monde pro, j'ai pris du recul, mais si la même chose m'étais arrivé quand j'étais en prepa ou en école d'ingé plus tard je pense que j'aurai pu faire la même. Ici vous dites "c'est des notes c'est rien", en réalité tes notes = ton diplôme = ton avenir pour les 80 ans à venir.
C'est ultra important et quand on brouille ton avenir (par exemple quand tu te prends des mauvaises notes une année décisive) l'illusion du bonheur que tu pourrais atteindre au loin s'éteint et t'as aucune raison de continuer à te battre puisque t'as plus d'espoir d'aller bien dans le futur.Evidemment, le surinvestissement scolaire c'est souvent la cause d'un mal-être. On se focus sur l'avenir en espérant qu'il sera mieux que le présent et quand les perspectives d'avenir qu'on avait prévu pour aller mieux disparaissent on se dit juste que c'est pas la peine de continuer à vivre.
C'est une forme de mensonge de l'esprit, qui te fait croire que tout s'arrangera si tout se passe comme tu l'as prévu uniquement. Evidemment c'est faux, mais c'est comme ça.Il y a plusieurs choses à questionner: le système scolaire supérieur français, c'est une évidence au vu de tous les problèmes ces dernières années (taux de suicide/dépression presque le même que pour le Japon), les problèmes que pouvaient avoir la jeunes femme et qui lui ont donné cette vision d'elle-même et de l'avenir, l'encadrement potentiel de la directrice qui visiblement ne lui a pas apporté l'aide dont elle avait besoin (cf. l'article qui montre un demande d'aide à laquelle on n'a pas répondu).
ouin ouin ouin ouin moi je moi je
Ha les femmes...
"Ha les femmes" j'étais pas la seule à pleurer lors de rendu de DS et j'étais la seule meuf de ma classe en MP.
Donc c'est pas juste un problème féminine ne t'en déplaise.
Tu peux pas savoir le nombre de Célestin qui ne se voient qu'au travers de leur note.
Et à chaque fois ça vient d'un problème d'estime de soi, de blessure narcissique antérieure qui fait que tu recherches toujours à prouver ta valeur au travers des performances scolaires
Ce qui confirme ce que j'ai dit
Je comprend pas qu'on lui ait prescrit des AD sans suivi psychologique adapté
Le 15 mai 2021 à 12:32:49 :
Le 15 mai 2021 à 12:31:31 :
Le 15 mai 2021 à 12:29:16 :
Le 15 mai 2021 à 12:28:04 :
J'étais comme cette fille pendant mes études donc je la comprend.Sans mes bonnes notes : je sers à rien, je vaux rien, je déçois mes parents et suis un poids pour les autres. A chaque échec je prouve que le monde se porterai mieux sans moi.
Maintenant je suis dans le monde pro, j'ai pris du recul, mais si la même chose m'étais arrivé quand j'étais en prepa ou en école d'ingé plus tard je pense que j'aurai pu faire la même. Ici vous dites "c'est des notes c'est rien", en réalité tes notes = ton diplôme = ton avenir pour les 80 ans à venir.
C'est ultra important et quand on brouille ton avenir (par exemple quand tu te prends des mauvaises notes une année décisive) l'illusion du bonheur que tu pourrais atteindre au loin s'éteint et t'as aucune raison de continuer à te battre puisque t'as plus d'espoir d'aller bien dans le futur.Evidemment, le surinvestissement scolaire c'est souvent la cause d'un mal-être. On se focus sur l'avenir en espérant qu'il sera mieux que le présent et quand les perspectives d'avenir qu'on avait prévu pour aller mieux disparaissent on se dit juste que c'est pas la peine de continuer à vivre.
C'est une forme de mensonge de l'esprit, qui te fait croire que tout s'arrangera si tout se passe comme tu l'as prévu uniquement. Evidemment c'est faux, mais c'est comme ça.Il y a plusieurs choses à questionner: le système scolaire supérieur français, c'est une évidence au vu de tous les problèmes ces dernières années (taux de suicide/dépression presque le même que pour le Japon), les problèmes que pouvaient avoir la jeunes femme et qui lui ont donné cette vision d'elle-même et de l'avenir, l'encadrement potentiel de la directrice qui visiblement ne lui a pas apporté l'aide dont elle avait besoin (cf. l'article qui montre un demande d'aide à laquelle on n'a pas répondu).
T'es polytechnicienne ta comparaison est caduc
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619981810-ahiiiiii.png Nous nous connaissons?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png J'ai trainé sur le topic prepa
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619981810-ahiiiiii.png Enfin bref chouiner quand on est à l'Xhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619981810-ahiiiiii.png
21 ans j'ai chialé pour un 15/20 en maths au dernier CB avant les concours
Après je me demandais pourquoi tout le monde me détestais dans ma classe
Mais tout ça pour dire que c'est intrinsèque à la personne et sa vision des choses. Il faut comprendre son mal-être et ce qui a causé ce surinvestissement chez elle, plutôt que dire qu'elle est faible.
Honnêtement si elle en est venu à mettre fin à ses jours c'est qu'il y avait un problème sous-jacent auquel les mauvaises notes la ramenait. C'est pas juste une affaire de filière.
Le 15 mai 2021 à 12:30:45 :
Le 15 mai 2021 à 12:28:04 :
J'étais comme cette fille pendant mes études donc je la comprend.Sans mes bonnes notes : je sers à rien, je vaux rien, je déçois mes parents et suis un poids pour les autres. A chaque échec je prouve que le monde se porterai mieux sans moi.
Maintenant je suis dans le monde pro, j'ai pris du recul, mais si la même chose m'étais arrivé quand j'étais en prepa ou en école d'ingé plus tard je pense que j'aurai pu faire la même. Ici vous dites "c'est des notes c'est rien", en réalité tes notes = ton diplôme = ton avenir pour les 80 ans à venir.
C'est ultra important et quand on brouille ton avenir (par exemple quand tu te prends des mauvaises notes une année décisive) l'illusion du bonheur que tu pourrais atteindre au loin s'éteint et t'as aucune raison de continuer à te battre puisque t'as plus d'espoir d'aller bien dans le futur.Evidemment, le surinvestissement scolaire c'est souvent la cause d'un mal-être. On se focus sur l'avenir en espérant qu'il sera mieux que le présent et quand les perspectives d'avenir qu'on avait prévu pour aller mieux disparaissent on se dit juste que c'est pas la peine de continuer à vivre.
C'est une forme de mensonge de l'esprit, qui te fait croire que tout s'arrangera si tout se passe comme tu l'as prévu uniquement. Evidemment c'est faux, mais c'est comme ça.Il y a plusieurs choses à questionner: le système scolaire supérieur français, c'est une évidence au vu de tous les problèmes ces dernières années (taux de suicide/dépression presque le même que pour le Japon), les problèmes que pouvaient avoir la jeunes femme et qui lui ont donné cette vision d'elle-même et de l'avenir, l'encadrement potentiel de la directrice qui visiblement ne lui a pas apporté l'aide dont elle avait besoin (cf. l'article qui montre un demande d'aide à laquelle on n'a pas répondu).
ouin ouin ouin ouin moi je moi je
Ha les femmes...
On peut parler de quoi d'autre que son expérience personnelle de toute façon?
Surtout que je nuance le truc en disant bien que son état psychologique fait parti du problème, plus que le système scolaire
Le 15 mai 2021 à 12:29:16 :
Le 15 mai 2021 à 12:28:04 :
J'étais comme cette fille pendant mes études donc je la comprend.Sans mes bonnes notes : je sers à rien, je vaux rien, je déçois mes parents et suis un poids pour les autres. A chaque échec je prouve que le monde se porterai mieux sans moi.
Maintenant je suis dans le monde pro, j'ai pris du recul, mais si la même chose m'étais arrivé quand j'étais en prepa ou en école d'ingé plus tard je pense que j'aurai pu faire la même. Ici vous dites "c'est des notes c'est rien", en réalité tes notes = ton diplôme = ton avenir pour les 80 ans à venir.
C'est ultra important et quand on brouille ton avenir (par exemple quand tu te prends des mauvaises notes une année décisive) l'illusion du bonheur que tu pourrais atteindre au loin s'éteint et t'as aucune raison de continuer à te battre puisque t'as plus d'espoir d'aller bien dans le futur.Evidemment, le surinvestissement scolaire c'est souvent la cause d'un mal-être. On se focus sur l'avenir en espérant qu'il sera mieux que le présent et quand les perspectives d'avenir qu'on avait prévu pour aller mieux disparaissent on se dit juste que c'est pas la peine de continuer à vivre.
C'est une forme de mensonge de l'esprit, qui te fait croire que tout s'arrangera si tout se passe comme tu l'as prévu uniquement. Evidemment c'est faux, mais c'est comme ça.Il y a plusieurs choses à questionner: le système scolaire supérieur français, c'est une évidence au vu de tous les problèmes ces dernières années (taux de suicide/dépression presque le même que pour le Japon), les problèmes que pouvaient avoir la jeunes femme et qui lui ont donné cette vision d'elle-même et de l'avenir, l'encadrement potentiel de la directrice qui visiblement ne lui a pas apporté l'aide dont elle avait besoin (cf. l'article qui montre un demande d'aide à laquelle on n'a pas répondu).
T'es polytechnicienne ta comparaison est caduc
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619981810-ahiiiiii.png
Nous nous connaissons?
J'étais comme cette fille pendant mes études donc je la comprend.
Sans mes bonnes notes : je sers à rien, je vaux rien, je déçois mes parents et suis un poids pour les autres. A chaque échec je prouve que le monde se porterai mieux sans moi.
Maintenant je suis dans le monde pro, j'ai pris du recul, mais si la même chose m'étais arrivé quand j'étais en prepa ou en école d'ingé plus tard je pense que j'aurai pu faire la même. Ici vous dites "c'est des notes c'est rien", en réalité tes notes = ton diplôme = ton avenir pour les 80 ans à venir.
C'est ultra important et quand on brouille ton avenir (par exemple quand tu te prends des mauvaises notes une année décisive) l'illusion du bonheur que tu pourrais atteindre au loin s'éteint et t'as aucune raison de continuer à te battre puisque t'as plus d'espoir d'aller bien dans le futur.
Evidemment, le surinvestissement scolaire c'est souvent la cause d'un mal-être. On se focus sur l'avenir en espérant qu'il sera mieux que le présent et quand les perspectives d'avenir qu'on avait prévu pour aller mieux disparaissent on se dit juste que c'est pas la peine de continuer à vivre.
C'est une forme de mensonge de l'esprit, qui te fait croire que tout s'arrangera si tout se passe comme tu l'as prévu uniquement. Evidemment c'est faux, mais c'est comme ça.
Il y a plusieurs choses à questionner: le système scolaire supérieur français, c'est une évidence au vu de tous les problèmes ces dernières années (taux de suicide/dépression presque le même que pour le Japon), les problèmes que pouvaient avoir la jeunes femme et qui lui ont donné cette vision d'elle-même et de l'avenir, l'encadrement potentiel de la directrice qui visiblement ne lui a pas apporté l'aide dont elle avait besoin (cf. l'article qui montre un demande d'aide à laquelle on n'a pas répondu).
C'est quand même la position pour chier
???
Tu chies en levrette toi?
Le 11 mai 2021 à 22:06:55 :
Géorgie est à majorité noire, je vois pas comment ce serait possible
Va voir la carte!!
Le 11 mai 2021 à 14:12:12 :
Le 11 mai 2021 à 14:03:29 :
Le 11 mai 2021 à 14:02:14 :
Le 11 mai 2021 à 11:24:52 :
Ayaaa. Mieux payée que les profs alors qu'elles n'ont que le bacC'est presque comme si c'était un métier vital
En plus les infirmiers formé de nos jours sont presque tous issus d'un bac S.
La seule meuf de mon lycée en BAC ES qui voulait une école d'inf s'est faite recal de partout.il y a 10 ans c'était largement accessible pour des bac pro
Cette régression
Non justement je trouve ça bien qu'elles soient de plus en plus qualifiées justement.
Le 11 mai 2021 à 14:06:07 :
Le 11 mai 2021 à 14:03:29 :
Le 11 mai 2021 à 14:02:14 :
Le 11 mai 2021 à 11:24:52 :
Ayaaa. Mieux payée que les profs alors qu'elles n'ont que le bacC'est presque comme si c'était un métier vital
En plus les infirmiers formé de nos jours sont presque tous issus d'un bac S.
La seule meuf de mon lycée en BAC ES qui voulait une école d'inf s'est faite recal de partout.Oui mais ça c'est scandaleux et ça va faire chuter les niveaux des infirmières j'en suis sur. Avant y avait un concours c'était le meilleur rentre en IFSI. Maintenant c'est par Parcoursup
Non justement. Le concours était niveau seconde.
Aujourd'hui en regardant les dossiers et en prenant uniquement des bacheliers S ils s'assurent déjà un bon niveau un math/physique/svt.
Pour te dire à quel point c'était de la merde avant, même une personne qui n'avait pas fait le lycée et avait juste le brevet des collèges pouvait y prétendre si elle travaillait l'été sur les annales hyper simples et redondantes.
Le 11 mai 2021 à 14:02:14 :
Le 11 mai 2021 à 11:24:52 :
Ayaaa. Mieux payée que les profs alors qu'elles n'ont que le bacC'est presque comme si c'était un métier vital
En plus les infirmiers formé de nos jours sont presque tous issus d'un bac S.
La seule meuf de mon lycée en BAC ES qui voulait une école d'inf s'est faite recal de partout.
Le 11 mai 2021 à 14:00:16 :
Et donc ?Les flics sont payés bien plus et ils ont même pas le bac.
L’arnaque c’est les profs qui avec un bac +5 sont sous payes.
This.
Et je suis pour une revalorisation des carrières militaires également.
Le 11 mai 2021 à 13:56:20 :
Le 11 mai 2021 à 13:51:27 :
Le 11 mai 2021 à 13:48:59 :
Le 11 mai 2021 à 13:46:02 :
Mon frère, diplomé de la fac de médecine depuis 2 ans, actuellement médecin généraliste dans un cabinet2300€ net par mois
2 concours, des années et des années d'étude dans la souffrance, un externat pendant lequel il a fait une tentative de suicide, à deux doigts de tout plaquer l'année de l'ECN à cause d'un burn out, des années d'internat où il faisait nuit blanche deux jours de suite régulièrement dans la semaine tout en travaillant le week end
Et avant "oui mais il aurait du aller en hospitalier"
Vous voulez voir les salaires des médecins hospitalier en hopital public?Je suis désolé pour lui, après le problème ici ce n'est pas l'argent mais la difficulté rencontrée pendant les études. Même si effectivement, il pourrait gagner plus.
Je suis totalement pour la revalorisation des salaires infirmiers, désolée si mon message a été mal compris.
Mais je comprend pas pourquoi on augmente ceux là et pas ceux des autres professions, parfois plus diplomés (dans ce cas bien plus), avec des conditions d'exercice plus difficiles, et un volume horaire bien plus important.
Pas de problème, on est d'accord l'un n'empêche pas l'autre. Après il faudrait aussi réformer les études de médecines plutôt que surcharger nos médecins et étudiants en médecine et finalement accueillir des médecins étrangers parce qu'on en sort pas assez. Une partie des médecins de l'ordre se comporte aussi comme une secte élitiste il faut bien le dire aussi.
De toute façon c'est toujours le même problème, en France on précarise énormément de monde avec un cout de la vie excessif et pourtant les salaires les plus bas d'Europe. Enormément d'argent public est mal utilisé, ce qui fait qu'on perd llittéralement de l'argent en payant des impots.
Le 11 mai 2021 à 13:48:59 :
Le 11 mai 2021 à 13:46:02 :
Mon frère, diplomé de la fac de médecine depuis 2 ans, actuellement médecin généraliste dans un cabinet2300€ net par mois
2 concours, des années et des années d'étude dans la souffrance, un externat pendant lequel il a fait une tentative de suicide, à deux doigts de tout plaquer l'année de l'ECN à cause d'un burn out, des années d'internat où il faisait nuit blanche deux jours de suite régulièrement dans la semaine tout en travaillant le week end
Et avant "oui mais il aurait du aller en hospitalier"
Vous voulez voir les salaires des médecins hospitalier en hopital public?Je suis désolé pour lui, après le problème ici ce n'est pas l'argent mais la difficulté rencontrée pendant les études. Même si effectivement, il pourrait gagner plus.
Je suis totalement pour la revalorisation des salaires infirmiers, désolée si mon message a été mal compris.
Mais je comprend pas pourquoi on augmente ceux là et pas ceux des autres professions, parfois plus diplomés (dans ce cas bien plus), avec des conditions d'exercice plus difficiles, et un volume horaire bien plus important.
Mon frère, diplomé de la fac de médecine depuis 2 ans, actuellement médecin généraliste dans un cabinet
2300€ net par mois
2 concours, des années et des années d'étude dans la souffrance, un externat pendant lequel il a fait une tentative de suicide, à deux doigts de tout plaquer l'année de l'ECN à cause d'un burn out, des années d'internat où il faisait nuit blanche deux jours de suite régulièrement dans la semaine tout en travaillant le week end
Et avant "oui mais il aurait du aller en hospitalier"
Vous voulez voir les salaires des médecins hospitalier en hopital public?
Le 10 mai 2021 à 23:57:45 :
Mais comment t'es censé vivre avec si peu ? Surtout quand tu bosses, tu te retrouves au chômage, tu passes de 1200€ à 600€
Ben en gros c'est le montant du RSA. Je suppose que s'additionnent les APL (assez élevées pour quelqu'un qui touche si peu) et potentiellement d'autres mais... Ouais c'est compliqué. Je comprend pas trop le but de tout ça si ce n'est précariser encore plus ceux qui souffrent déjà.
Peut-être accentuer la peur du chomage pour que les gens soient plus réticent à décliner des offres qui ne sont pas dans leur domaine d'activité de base?
Salut l'op! Je peux pas trop comprendre ce que tu vis, mais en même temps je vis un truc à moitié similaire.
Je suis misophonie depuis enfant, concrètement c'est une faible résistance au bruit, c'est dans mon cas lié à un trouble d'anxiété généralisé avec des TOC.
Par exemple, si quelqu'un parle dans la pièce à côté j'arrive pas à réfléchir.
Quand je rentre chez moi après être passé dans la rue j'ai toujours une migraine de 30-20 minutes.
Je ne peux pas manger avec des couverts en métal (je peux me forcer mais je suis sur les nerfs), si je dors à côté de quelqu'un et qu'il baille par exemple je me réveille instantanément en sursaut.
Je peux pas supporter le cliquetis des pièces/clé dans ma poche.
Je ne peux pas utiliser de téléphone avec une sonnerie (sinon j'ai des acouphènes) pendant plusieurs jours.
Je peux pas supporter d'entendre les gens crier (sensation d'oreille qui se déchire).
Douleurs intense après que quelqu'un ait claqué une porte...
Il y a même certaines "tonalités" de voix que je ne peux pas écouter, même juste lors d'une conversation, sans que j'ai besoin de serrer très fort les dents.
J'ai des symptômes du genre migraines au moins 2 fois par semaines, boule au ventre dès que j'entend un bruit, parfois il m'arrive de vomir (surtout enfant, maintenant c'est plus rare) quand il y a un bouhaha comme des travaux ou un embouteillage.
Je sais à quel point c'est chiant de vivre des mauvais moments à cause du bruit, que des fois c'est douloureux physiquement...
Il n'y a pas 36 moyens de te protéger hors virer les sources de bruit, les limiter un maximum. Moi je porte des boul quies en quasi permanence quand je suis pas chez moi, peut-être que ça peut t'aider. Même un casque anti bruit quand t'es chez toi, tu t'en fous personne te verras et toi ça te soulagera.
Je sais que quand je fais de la natation je me sens mieux parce que sous l'eau il n'y a presque aucun bruit. La résonnance à l'intérieur d'une piscine n'est pas la même d'ailleurs, c'est moins agressif que dans la rue. Tu devrais peut-être essayer.
Bon courage.
Non en vrai khey il y a des sujets dans un couple à pas aborder.
Moi je parle pas trop politique avec mon copain par exemple parce que ça va l'énerver/je vais pas aimer ce qu'il va dire. C'est comme ça, te focus pas sur ce que t'aime pas, laisse couler et accroche toi aux bons moments sans te poser trop de question.
Vous êtes pas obligés d'être d'accord sur tout ni de discuter de tout. Si sur le plan affectif entre vous ça va, et dans les grandes lignes vous êtes pas opposés, cherche pas plus loin. Laisse la chercher du travail seul, et discutez-en le moins possible.