Chacun son point de vue sur ça, les goûts de chiotte ça ne se discute pas, mais je vais essayer d'expliquer pourquoi malgré tout DBS > DBGT. J'ai revu la série entière de DBGT il y a 2 ans environ
Je vois des personnes vanter les ost de DBGT, mais à mon avis c'est une erreur, l'opening et le ending (du moins du premier arc de DBGT) sont excellents, rien à redire, mais l'ost est moyenne, pas nulle, mais moyenne.
La transformation de Sangoku en SSJ4 est énorme, le SSJ4 tout court est super. Il n'y a pas 150 nouvelles transformations mais une seule qui pue la classe.
Le style de dessin est dans la continuité de DBZ, rien à redire.
Et la série se finit en apothéose avec le parcours de Sangoku, de bébé jusqu'à la fin sur la chanson Dan Dan, avec un Sangoku adulte nous faisant un au revoir ayant un air d'adieu.
Voilà, c'est tout ce que je peux dire en points positifs pour DBGT, ce sont des bons points mais ça ne reste que des détails (génériques, transformation, et l'épisode de conclusion).
DBS à côté c'est un style de dessin plus à l'arrache, pas toujours beau (je ne parle pas de dessins ratés mais du style en lui-même, et il y a des épisodes qui sont magnifiquement bien dessinés).
Des ost pas nulles mais pas mémorables, des opening et ending pas énormes non plus (à part le Boogie Back).
Un manque de drama. Le manque de vrai but.
La sensation d'avoir une série en roue libre.
Sangoku qui perd en maturité.
Trop de power up, le power up facile (sentir l'énergie dans le dos, ou même là encore la nouvelle transformation de Végéta), la Saint Seiyaïsation de Dragon Ball. Autant avant ils étaient limités en endurance (s'ils sont trop épuisés ils ne pouvaient plus se battre et devait du coup soit fuir soit trouver une autre solution).
Mais DBGT c'est aussi beaucoup de combats à chier (si je me souviens bien Sangoku SSJ4 et Super C17 ne font que se balancer des boules de feu tout le long du combat).
DBGT c'est Sangoku et rien d'autre. Sangoku, petit, en apparence normal, moins fort et moins de pouvoirs que Sangoku adulte, gère en apparence normal Sangoten SSJ, Trunks SSJ et Sangohan SSJ sans forcer, on parle de l'immaturité de Sangoku dans DBS mais il l'était aussi dans DBGT.
Guigui et Pan... Mon dieu, archi agaçants.
L'humour lourd et omniprésent, ultra étouffant.
Des bonnes idées oui, mais très mal gérées. Le voyage dans l'espace, partir à l'aventure, comme dans Dragon Ball... Très mal fait et chiant, ensuite Sangoku a entrainé Oob pendant 10 ans pour quoi ?
Comment 2 C17 qui fusionnent, complètement dépassé dès que Cell arrive, peut être au dessus de Sangoku SSJ4, cet arc est d'ailleurs un peu WTF.
Les dragons pareil, le danger plane sur la Terre, les dragons sont dispersés, et... Sangoku, tout seul, part les combattre alors qu'ils auraient pu se disperser aux aussi. Les autres persos auraient pu au moins servir un peu.
Végéta qui obtient le SSJ4 en cheatant, et par rapport à DBZ où il a toujours été présent à des moments clés, là il ne sert pas à grand chose, on le fait juste combattre à la fin pour se faire dégommer.
Là où DBS nous amène quand-même des personnages nouveaux, que ce soit Whis, Beerus, ou Zeno, ou le grand prêtre, ou Vados, Champa, Hit, Kyabe (qu'on aime bien se moquer), Toppo, Jiren, Vermoud, Caulifla, Kale, ils ne sont pas forcés tous d'être utiles mais ils apportent tous au scénario, ce sont des vrais personnages qu'on retient, pas des lambdas.
DBS manque de constance, on peut aussi bien toucher le fond que toucher les étoiles.
Un bon arc Zamasu et un arc Tournoi du pouvoir pas trop mal.
Des personnages secondaires plus utiles que dans DBGT, que ce soit Végéta, Mirai Trunks, ou même la Z Team au tournoi.
Bref, il y a du positif et du négatif dans les deux, mais DBS l'emporte.
DBS > DBGT et de très très loin.
Je veux bien que DBS < DB et DBZ, mais DBS < DBGT faut pas déconner ou alors vous avez la mémoire courte.
Je veux bien que le style graphique ait changé, que Sangoku n'ait plus qu'un QI à un chiffre, et qu'il manque un certain danger absolu (quoiqu'avec l'arc Zamasu on l'avait), mais vous vous souvenez vraiment de DBGT ou c'est juste le plaisir de cracher sur DBS et dire "c'était mieux avant" ?
La partie dans l'espace est nulle à chier, la partie Baby est relativement bonne, Baby Végéta était stylé, et le SSJ4 énorme (seuls points positifs), Pan et Guigui insupportables, DBGT c'est Sangoku et rien d'autre.
Ca m'a fait chier de voir Végéta SSJ à fond contre Baby Sangoten et Baby Sangohan, et ne rien pouvoir faire, mais voir Sangoku, petit, en apparence normale, maîtriser Baby Sangoten, Sangohan et Trunks en SSJ normal, la main dans le slip.
Et la partie Super C17 mon dieu qu'elle est nulle, Sangoku SSJ4 ne peut rien contre lui mais par contre Sangoku petit en apparence normale et C18 (il n'est pas si dur à battre facilement vu qu'il a un gros défaut), la partie où Sangoku est en enfer...
Et la partie des dragons, l'idée est très bonne mais l'exploitation très mauvaise. Le monde est en danger, 7 dragons maléfiques sont répartis sur Terre, la team Z aurait pu se répartir aussi pour tous les battre... Mais non, on envoie juste Sangoku et Pan faire le boulot. Et à part 3 dragons, c'est pas bien folichon.
Finalement c'est Sangoku petit en apparence normale qui le bat, il se ramasse plein d'attaques pendant le genkidama mais ça ne lui fait rien, il s'en tape (face à Kid Boo il était logiquement en train de craquer à force de se recevoir des attaques).
Dans DBS les transformations puent (je trouve quand-même le SSJ rosé stylé), la partie Golden Freezer n'est vraiment pas terrible, il n'y a aucun vrai danger vu que Sangoku est d'entrée au moins aussi fort que lui et qu'au pire il y a Végéta pour finir le boulot.
La partie Champa est sympa mais on sait tous comment ça va se finir (et l'anticipation du tokidobashi est un peu bizarre mais admettons).
La partie Zamasu est bonne bien qu'un peu redondante avec ses allers et retours dans le futur mais on a enfin un vrai méchant, menaçant, où personne ne semble vraiment à la hauteur contrairement à Golden Freezer, un peu comme Boo d'une certaine façon. Trunks et Sangoku l'ont rendu plus fort, en allant dans le futur Végéta pense pouvoir le battre, paf ! SSJ Rosé et Sangoku et Végéta se font poutrer. Végéta s'entraine et Sangoku apprend la mafuba (pour rien finalement), et paf ! Zamasu fusionné. Sangoku et Végéta fusionnent mais l'union ne dure pas, ils se font poutrer. Trunks fait un genkidama dans son épée et pense vaincre Zamasu... Mais non, son pouvoir s'étend dans tout l'univers. Il n'y a rien à faire, à part...
Appeler Zeno, c'est vraiment dommage de tomber dans la facilité quand-même.
Et la partie du tournois est bien mais pareil, on ne ressent pas la tension du désespoir (je n'ai toujours pas compris comment Hit a fait pour prendre le dessus sur Dyspo mais bon).
Et contrairement à DBGT, la VF de DBS est regardable.
Bien sûr qu'à mes yeux le Roi Lion est l'un des tout meilleurs Disney, et je pense avoir vu pas mal de Disney pour le dire
L'animation est grandiose, les musiques grandioses, la puissance émotionnelle énorme.
Je le mettrai dans le même panier que Basile Détective privé et peut-être Aladdin.
Les autres super Disney qui suivent tout de suite après : Rox et Rouky (quelle tristesse), Robin des bois, Hercules (énorme ), Le bossu de Notre Dame, Toys Story, Mulan et Merlin l'enchanteur.
En bons Walt Disney il y a Alice au pays des merveilles, Blanche Neige et les 7 nains (un classique), Bernard et Bianca, La reine des neiges, Raiponce, Pinnochio, Tarzan.
Dans les moyens il y a Les 101 dalmatiens, Mille et une pattes, Zootopie.
Les nuls (ou incompris plutôt ) : Le livre de la jungle, Là haut, La princesse et la grenouille, La ferme se rebelle, Chicken Little.
Le roi lion, c'est pas parce que l'auteur est contre les Walt Disney à succès qu'ils sont forcément mauvais
Je ne comprends pas ceux qui disent que Macron explose Le Pen.
Je ne comprends pas ceux qui disent que Le Pen explose Macron.
C'est plus ou moins la même chose, un faux calme qui prend de haut son adversaire, et son adversaire qui ne fait que l'attaquer sans se regarder.
Non mais il n'y a pas d'incohérence là, je ne sais pas si on s'explique mal mais :
Le ravin Clayton s'appelle comme ça parce que cette prof est censée être tombée dans le ravin (en 1985 ce ravin s'appelle comme ça).
En 1855, le ravin ne porte pas de nom et Doc est censé aller la chercher à la gare, donc elle ne doit pas tomber, donc pas de ravin Clayton.
Même quand Marty est là elle ne doit pas tomber dans le ravin.
En 1985 Marty connait le ravin Clayton donc. Or le film commence en 1955, et le doc de 1955 ne voit pas du tout qui est cette Clara, comme si c'était une no name.
Donc en 1955 les choses ont déjà changé, Clara a été sauvée par Doc en 1855 et donc en 1955 (au début du film) il n'y a pas de ravin Clayton.
Donc : 1985 avant les voyages dans le temps : il y a un ravin Clayton
1955 après les voyages dans le temps : il n'y a pas de ravin Clayton, Clara étant sauvée par Doc.
Pas d'incohérence donc
Après oui il y en a une dans le 2 comme le disait quelqu'un avant, quand le Biff de 2015 va donner l'almanach au Biff de 1955, quand il revient dans le futur il revient dans le futur "normal" et pas celui qu'il a modifié.
Mais existe-t-il un Disney plus puissant que Le roi lion ?
Le naissance de Simba, sa découverte du monde.
Scar, son oncle rongé par l'ambition, cherche dans un premier temps à se débarrasser de Simba, puis finalement met en place un plan machiavélique pour tuer Mufasa et Simba.
Ce dernier échappe à la mort et est recueilli par Timon et Pumba, qui lui remontent le moral et lui permettent de redémarrer sa vie sous un autre angle.
Pendant ce temps là, Scar prend le trône et instaure sa dictature, qui détruit tout ce que Mufasa avait sagement gardé, la terre des lions.
Les retrouvailles entre Nala et Simba, et le retour de Simba à la terre des lions pour reprendre son trône.
Les musiques profondes et touchantes, les chansons mémorables et rythmées.
Cette alternance entre l'humour et la mélancolie, entre le désastre et la renaissance de l'espoir.
Ca ne sert à rien tout ce que je dis, tout le monde le sait, tout le monde l'a vu.
Mais bon sang, quel film ! Pas un seul autre Walt Disney lui arrive à la cheville malgré la qualité d'Aladdin