Le 31 octobre 2021 à 14:32:48 :
Le 31 octobre 2021 à 14:29:53 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/4/1634843624-fullm6u.png Cimer infiniment chef ! C'était bien celui là
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/29/2/1626743678-oui.png Quelle est son tag sur la risibank, afin que le rajoute en favori sur le KHEYBOARD ?
"gelem"
Le 31 octobre 2021 à 14:32:47 :
Cette gifle donné aux antiracisteshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/22/2/1527628019-8146853e8ea68e606571fa8af44ca65c.png
Les gauchistes progressistes et antiracistes vont recevoir un coup de poing dans la gueule.
Le 31 octobre 2021 à 14:31:28 :
Excellent. Cette image du banquet du brave Hérode, phare de la civilisation juive, qui met à bas ce Savonarole qu'était Jean-Baptiste, pour les beaux yeux de la danseuse Salomé m'a toujours fasciné. L'amour l'emporte sur la foi. Merci, Valek.
La relève est assurée avec de si grands penseurs qui n'omettent jamais de citer la Bible dans leur oeuvre.
Le 31 octobre 2021 à 14:29:11 :
Le 31 octobre 2021 à 14:27:07 :
Le 31 octobre 2021 à 14:17:22 :
Dis-moi que c'est un fake bordel
Sa crédibilité est ruinée à jamais avec ce "bouquin"
Bordel même le livre ridicule de Kirby est correct à coté de çaLe 31 octobre 2021 à 14:18:32 :
Valek n'aurait jamais du sortir un truc aussi minable. Surtout que du coté de l'extrême-droite y'a plein de trucs sourcés et correctement écrits, même sur ce forum parfois (qui est pourtant un sacré trou à merde ) il a vraiment merdé là.Les 2 gogoles qui se ridiculisent tout seul
On va dire que c'est du troll
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png
On dirait des messages pré-écrits prêts à être posté par des bots sur tout les topics sur Valek peu importe ce qui y est dithttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png
Chaud ces folaillons
Le 31 octobre 2021 à 14:10:26 :
Il a quoi comme diplôme valek ?
Licence hypertrophie des mu-muscles option gribouillis sur livre numérique.
PUTAIN Mais c'est médiocre
C'est vraiment de la merde en boîte, et dire que le mec a vendu ça 15e (soit 2.5e la page).
Franchement, la droite est ridicule
Où sont nos grands écrivains ?!
Le 31 octobre 2021 à 14:16:05 :
Le 31 octobre 2021 à 14:10:32 1_red_boule a écrit :
Le 31 octobre 2021 à 14:02:17 :
Le 31 octobre 2021 à 13:59:37 :
Le 31 octobre 2021 à 13:56:04 :
Le 31 octobre 2021 à 13:54:49 :
Le 31 octobre 2021 à 13:52:23 :
Le 31 octobre 2021 à 13:48:49 :
On dirait une tentative de collégien de faire des figures de styleC'est Chateaubriand mais bon
Hé bah c'est pas son meilleur texte
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1465941796-reupload-sapristi.png Tu t'es fait salement cramé là
J'ai pas lu de Chateaubriand à part les textes de collèges dans les manuels. Ca n'enlève rien au fait que je trouve ce texte peu agréable à lire et pas bien formulé
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1465941796-reupload-sapristi.png Bordel tu t'enfonces là
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png Explique-moi la beauté du texte
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1465941796-reupload-sapristi.png "comme un rayon du ciel fait tomber la vague" tu trouves que c'est une jolie comparaison ? comme un rayon du ciel fait tomber la vague
Et pourquoi pas "Comme le vent éveille les pierres des églises", tant qu'on y est ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1465941796-reupload-sapristi.png Bien sûr que c'est une jolie métaphore, les premiers rayons de soleils annoncent l'accalmie, la fin d'une tempête.
Arrête de t'user les doigts pour ce type, ou bien il le fait exprès, ou bien c'est un cas perdu.
Valek vient de publier un court extrait de son prochain livre (30 pages, 59.99€, précommande disponible dès maintenant pour 89.99€)
Entre tous, un artiste existait dont le talent me ravissait en de longs transports, Gustave Moreau.
Il avait acquis ces deux chefs-d’œuvre et, pendant des nuits, il rêvait devant l’un deux, le tableau de la Salomé, ainsi conçu :
Un trône se dressait, pareil au maître-autel d’une cathédrale, sous d’innombrables voûtes jaillissant de colonnes trapues ainsi que des piliers romans, émaillées de briques polychromes, serties de mosaïques, incrustées de lapis et de sardoines, dans un palais semblable à une basilique d’une architecture tout à la fois musulmane et byzantine.
Au centre du tabernacle surmontant l’autel précédé de marches en forme de demi-vasques, le Tétrarque Hérode était assis, coiffé d’une tiare, les jambes rapprochées, les mains sur les genoux.
La figure était jaune, parcheminée, annelée de rides, décimée par l’âge ; sa longue barbe flottait comme un nuage blanc sur les étoiles en pierreries qui constellaient la robe d’orfroi plaquée sur sa poitrine.
Autour de cette statue, immobile, figée dans une pose hiératique de dieu hindou, des parfums brûlaient, dégorgeant des nuées de vapeurs que trouaient, de même que des yeux phosphorés de bêtes, les feux des pierres enchâssées dans les parois du trône ; puis la vapeur montait, se déroulait sous les arcades où la fumée bleue se mêlait à la poudre d’or des grands rayons de jour, tombés des dômes.
Dans l’odeur perverse des parfums, dans l’atmosphère surchauffée de cette église, Salomé, le bras gauche étendu, en un geste de commandement, le bras droit replié, tenant à la hauteur du visage, un grand lotus, s’avance lentement sur les pointes, aux accords d’une guitare dont une femme accroupie pince les cordes.
La face recueillie, solennelle, presque auguste, elle commence la lubrique danse qui doit réveiller les sens assoupis du vieil Hérode ; ses seins ondulent et, au frottement de ses colliers qui tourbillonnent, leurs bouts se dressent ; sur la moiteur de sa peau les diamants, attachés, scintillent ; ses bracelets, ses ceintures, ses bagues, crachent des étincelles ; sur sa robe triomphale, couturée de perles, ramagée d’argent, lamée d’or, la cuirasse des orfèvreries dont chaque maille est une pierre, entre en combustion, croise des serpenteaux de feu, grouille sur la chair mate, sur la peau rose thé, ainsi que des insectes splendides aux élytres éblouissants, marbrés de carmin, ponctués de jaune aurore, diaprés de bleu d’acier, tigrés de vert paon.
Concentrée, les yeux fixes, semblable à une somnambule, elle ne voit ni le Tétrarque qui frémit, ni sa mère, la féroce Hérodias, qui la surveille, ni l’hermaphrodite ou l’eunuque qui se tient, le sabre au poing, en bas du trône, une terrible figure, voilée jusqu’aux joues, et dont la mamelle de châtré pend, de même qu’une gourde, sous sa tunique bariolée d’orange.
Ce type de la Salomé si hantant pour les artistes et pour les poètes, m'obsédait, depuis des années. Combien de fois avais-je lu dans la vieille bible de Pierre Variquet, traduite par les docteurs en théologie de l’Université de Louvain, l’évangile de saint Mathieu qui raconte en de naïves et brèves phrases, la décollation du Précurseur ; combien de fois avais-je rêvé, entre ces lignes :
« Au jour du festin de la Nativité d’Hérode, la fille d’Hérodias dansa au milieu et plut à Hérode.
« Dont lui promit, avec serment, de lui donner tout ce qu’elle lui demanderait.
« Elle donc, induite par sa mère, dit : Donne-moi, en un plat, la tête de Jean Baptiste.
« Et le roi fut marri, mais à cause du serment et de ceux qui étaient assis à table avec lui, il commanda qu’elle lui fût baillée.
« Et envoya décapiter Jean, en la prison.
« Et fut la tête d’icelui apportée dans un plat et donnée à la fille ; et elle la présenta à sa mère. »
(Pour info, il y décrit ce célèbre tableau de Gustave Moreau :
Je savais pas que Valek était un esthète
Le 31 octobre 2021 à 14:06:40 :
Valek aurait plus écrit un truc de ce style :p1
Napoléon est né le 15 aout 1769. Contrairement à ce que les antifrance peuvent dire, c'est un héros.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/7/1635685474-photonapoleonbasuterwijk-tt-width-637-height-956-crop-1-bgcolor-ffffff-lazyload-0.jpg (source image : aufeminin.com)p2
Après avoir gagné de nombreuses guerres grâce à son sang européen, il est mort en 1821.
Source : Wikipédia, 20minutes, LeParisien, Lequipe
C'EST NOIR ARRETE, ARRETE
Le 31 octobre 2021 à 13:57:39 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/3/1635371176-capture-d-ecran-2021-10-27-a-23-45-40.png NON RIEN INVENTE
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493232637-bat-rire.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493232637-bat-rire.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493232637-bat-rire.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493232637-bat-rire.png
AYAAAAAAAAAAAAAA JE M'ÉTOUFFEhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494723445-1494722495-picsart-05-14-02-39-54.png
"qui confondaient ses privilèges de classe avec sa race"
A deux doigt de nous refaire le manuel de toute une gauche.
ALERTE NOIRE : NOUVELLE FUITE DE SON PROCHAIN BOUQUIN (30 pages, 59.99€, mais vous pouvez le précommander pour le recevoir en avril prochain pour la modique somme de 89.99€, sera inclus un t-shirt "VALEK NORAJ")
Entre tous, un artiste existait dont le talent me ravissait en de longs transports, Gustave Moreau.
Il avait acquis ces deux chefs-d’œuvre et, pendant des nuits, il rêvait devant l’un deux, le tableau de la Salomé, ainsi conçu :
Un trône se dressait, pareil au maître-autel d’une cathédrale, sous d’innombrables voûtes jaillissant de colonnes trapues ainsi que des piliers romans, émaillées de briques polychromes, serties de mosaïques, incrustées de lapis et de sardoines, dans un palais semblable à une basilique d’une architecture tout à la fois musulmane et byzantine.
Au centre du tabernacle surmontant l’autel précédé de marches en forme de demi-vasques, le Tétrarque Hérode était assis, coiffé d’une tiare, les jambes rapprochées, les mains sur les genoux.
La figure était jaune, parcheminée, annelée de rides, décimée par l’âge ; sa longue barbe flottait comme un nuage blanc sur les étoiles en pierreries qui constellaient la robe d’orfroi plaquée sur sa poitrine.
Autour de cette statue, immobile, figée dans une pose hiératique de dieu hindou, des parfums brûlaient, dégorgeant des nuées de vapeurs que trouaient, de même que des yeux phosphorés de bêtes, les feux des pierres enchâssées dans les parois du trône ; puis la vapeur montait, se déroulait sous les arcades où la fumée bleue se mêlait à la poudre d’or des grands rayons de jour, tombés des dômes.
Dans l’odeur perverse des parfums, dans l’atmosphère surchauffée de cette église, Salomé, le bras gauche étendu, en un geste de commandement, le bras droit replié, tenant à la hauteur du visage, un grand lotus, s’avance lentement sur les pointes, aux accords d’une guitare dont une femme accroupie pince les cordes.
La face recueillie, solennelle, presque auguste, elle commence la lubrique danse qui doit réveiller les sens assoupis du vieil Hérode ; ses seins ondulent et, au frottement de ses colliers qui tourbillonnent, leurs bouts se dressent ; sur la moiteur de sa peau les diamants, attachés, scintillent ; ses bracelets, ses ceintures, ses bagues, crachent des étincelles ; sur sa robe triomphale, couturée de perles, ramagée d’argent, lamée d’or, la cuirasse des orfèvreries dont chaque maille est une pierre, entre en combustion, croise des serpenteaux de feu, grouille sur la chair mate, sur la peau rose thé, ainsi que des insectes splendides aux élytres éblouissants, marbrés de carmin, ponctués de jaune aurore, diaprés de bleu d’acier, tigrés de vert paon.
Concentrée, les yeux fixes, semblable à une somnambule, elle ne voit ni le Tétrarque qui frémit, ni sa mère, la féroce Hérodias, qui la surveille, ni l’hermaphrodite ou l’eunuque qui se tient, le sabre au poing, en bas du trône, une terrible figure, voilée jusqu’aux joues, et dont la mamelle de châtré pend, de même qu’une gourde, sous sa tunique bariolée d’orange.
Ce type de la Salomé si hantant pour les artistes et pour les poètes, m'obsédait, depuis des années. Combien de fois avait-il lu dans la vieille bible de Pierre Variquet, traduite par les docteurs en théologie de l’Université de Louvain, l’évangile de saint Mathieu qui raconte en de naïves et brèves phrases, la décollation du Précurseur ; combien de fois avait-il rêvé, entre ces lignes :
« Au jour du festin de la Nativité d’Hérode, la fille d’Hérodias dansa au milieu et plut à Hérode.
« Dont lui promit, avec serment, de lui donner tout ce qu’elle lui demanderait.
« Elle donc, induite par sa mère, dit : Donne-moi, en un plat, la tête de Jean Baptiste.
« Et le roi fut marri, mais à cause du serment et de ceux qui étaient assis à table avec lui, il commanda qu’elle lui fût baillée.
« Et envoya décapiter Jean, en la prison.
« Et fut la tête d’icelui apportée dans un plat et donnée à la fille ; et elle la présenta à sa mère. »