Le 17 janvier 2022 à 08:41:15 :
C'est l'élite et ce n'est pas pour rien.
Exa exa
Tout de même, le choix n'est pas facile
Le 17 janvier 2022 à 08:39:49 :
Moi, 199% humain
Un vrai
Rappel : il aurait joué pour son 21ème GC (record absolu) et son 10ème AO (seul joueur hors Rafa à RG avec une décima)
Qui ici aurait eu le mental pour rester humain sans argile ?
Le 17 janvier 2022 à 08:31:46 :
Il se force pas il est survolté, parce qu’il a beaucoup d’énergie
De l'énergie en poudre
Le 05 novembre 2021 à 13:12:11 :
lisez l'article ...
n'avoir plus faim...
bordel mon riz dinde me dégoute khey
T'en fais pas il toucherait probablement pas à ta dinde
Le 05 novembre 2021 à 13:07:45 :
Même les morts ne sont pas à l'abri des hommes putainSérieux, comment des kheys peuvent encore feindre l'ignorance sur la problématique que pose les males dans la société
Vivement qu'on ait une société où les femmes aient un plus grand pouvoir, question de voir ces attitudes disparaitre
Les hommes dégoutent de fou
All men are pigs
Le 05 novembre 2021 à 13:06:41 :
Il est de la famille de castex vous penser ?
Pas compris
Je connais un mec qui préfère les steak hachés eco+ à de la vraie viande de boucherie
Palet d'enfant
Le 05 novembre 2021 à 12:32:48 :
Le 05 novembre 2021 à 12:31:22 :
Les chaussettes / sous-vêtements aliexpressEntre l'empreinte carbone, l'emballage full plastique et la haute qualité qui te permet de conserver tes chaussettes 5 lavages avant le trou, j'avoue que c'est un excellent produit
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
C'est de la merde mais elles restent relativement durable pour le prix, pas de regrets
Le 05 novembre 2021 à 12:28:46 :
ils se font jarter à chaque fois
Oui j'ai jamais vu une caissière qui accepte de les faire passer mais ils essaient à chaque fois
Le 04 novembre 2021 à 20:44:07 :
Le 04 novembre 2021 à 20:31:11 PPDAMalaise a écrit :
J'ai relu Sa Majesté des Mouches pour la première fois depuis longtemps :Je pense que ce que je préfère dans le livre c'est le contraste entre les différentes personnalités des enfants et la façon dont, peu à peu, ça créé des différences énormes entre leur façon de gérer une situation qu'ils ne sont pas censés subir, surtout à un âge pareil qui est la survie sur une île déserte : Ralph et Porcinet représentent la rationalité car après tout, vouloir être secouru, c'est la seule et unique priorité. Car pour moi ils représentent la civilisation elle-même et de nombreux passages le montrent ; comme les raids où, à chaque fois, la première chose à laquelle ils pensent est la conque. Rien n'est possible sans l'organisation de la conque dans leur esprit, le chaos n'est pas une option, donc ça doit être la chose que Jack et ses chasseurs veulent par dessus-tout. Et dans un sens c'est vrai car la destruction de la conque représente la dernière étape qui transforme tous ses petits garçons en véritables sauvages sanguinaires. Ce qui est arrivé à Simon, c'était un accident. Mais la mort de Porcinet, de sa logique, la conque dans les mains, c'est l'annihilation complète des valeurs de société qu'ils respectaient encore un tant soit peu jusque là même derrière leurs peintures, et ça conduit donc à la traque de Ralph dans le but de le tuer. Je pense que Ralph et Porcinet représentent tout de même des points de vue différents d'ordre et de civilisation néanmoins : Ralph tente de convaincre tout le monde en permanence que la fumée est ce qui compte avant tout et qu'ils doivent garder une organisation sérieuse pour l'entretenir mais il peine de plus en plus au fur et à mesure du livre à résister à la nature sauvage qui a déjà consumée tous les autres. Il oublie de plus en plus souvent à quoi sert la fumée, il participe à la danse meurtrière. Quant à Porcinet, en dépit de sa logique toujours implacable, il est toujours rabaissé à cause de son embonpoint, de ses lunettes, de son asthme, et je pense qu'il représente aussi le fait que le monde de ces enfants était déjà cruel dans leur vie précédente.
Roger est un pur sociopathe comme on le voit très vite. Tôt dans le livre, il ne peut se résoudre à bombarder de cailloux les petits non pas par souci de moral, car il le veut clairement, mais parce que la main invisible de la civilisation l'empêche d'agir, que même sur une petite île déserte, la peur de la punition existe encore. Il est donc logique que quelqu'un comme lui devienne le bourreau une fois suffisamment habitué à cette vie, qu'il abandonne très vite tous les codes de conduite possible pour s'abandonner volontiers à sa nature sauvage, qu'il assassine Porcinet sans problème particulier et qu'il aiguise son bâton des deux côtés pour donner à Ralph le même sort. Jack, lui, je pense que l'analyse de son personnage se fait principalement à travers ses scènes de chasse. Parce que même si son obsession est très vite exposée, ce n'est jamais sa faim ou son envie de viande qui surgissent mais l'exaltation que le sang produit en lui et en ses chasseurs. Egorger ces cochons devient plus important que l'entretien de la fumée, ce qui détruit sa relation avec Ralph. D'ailleurs même une fois sa tribu établie dans sa forteresse, il ne fait plus le moindre effort pour être secouru car au fond c'était le premier à accepter cette vie là avant d'être suivi par tout le monde excepté Ralph et Porcinet. Il montre aussi que même dans une situation désespérée comme la survie sur une île déserte, l'égo est une chose bel et bien présente et importante. Car il doit être le chef, il n'y a aucune autre issue pour lui.
Je pense que Simon est toujours à part parce que c'est le seul qui réfléchit vraiment. Ralph veut partir tout comme Porcinet, Jack et son clan veulent seulement chasser, mais Simon est le seul à penser au sens de leur vie ici, au fait que rien n'est logique. Qu'exhiber la tête d'un cochon sur une pique pour apaiser un monstre est complètement fou. Qu'il est stupide d'avoir peur d'un monstre sans même tenter de découvrir ce qu'il est. Et le fait qu'il soit solitaire, qu'il ait un mode de pensée unique le rend "cinglé" pour tout le monde. Mais c'est aussi le seul qui s'entend avec tout le monde, et donc c'est logique que sa mort représente la scission définitive entre les 2 modes de survie des enfants.
J'aimais pas la fin pendant mes premières lectures (trop soudaine une conclusion pareille en plein milieu de la traque) mais je pense que j'ai appris à la respecter cette fois. Parce que les larmes des enfants, de Ralph le leader malin et qui a toujours tenté de son mieux d'appliquer sa logique aux sauvages retombés à l'état animal et censés être privés d'émotion une fois protégés par leur peinture nous rappellent que, justement, malgré tout ce qu'ils ont endurés, ça reste et restera de simples enfants qui ont été forcés d'affronter un monde impitoyable et d'être arrachés à leur innocence bien trop tôt. Je suppose que c'est pour ça que l'auteur a choisi des enfants comme héros.
C'est pas un livre que j'aime beaucoup malgré la transformation intéressante d'une aventure d'enfants effrayés par un monstre et découvrant un vaste, nouveau monde à une découverte de la cruauté du monde dans des conditions impitoyables et je comprendrais jamais pourquoi il est considéré comme un si grand classique mais c'était cool de le relire, ça fait des annéesJe lirais Fahrenheit 451 dans la semaine probablement
Bon dieu ce pavé, tu n'y es pas allé de main morte là
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/40/6/1633773652-ronaldo-rome-tison.png
Je dois avouer que c'était très fun à écrire Je me ferais sans doute un petit pavé pour chaque lecture
Le 04 novembre 2021 à 20:44:38 :
Le 04 novembre 2021 à 20:31:11 :
J'ai relu Sa Majesté des Mouches pour la première fois depuis longtemps :Je pense que ce que je préfère dans le livre c'est le contraste entre les différentes personnalités des enfants et la façon dont, peu à peu, ça créé des différences énormes entre leur façon de gérer une situation qu'ils ne sont pas censés subir, surtout à un âge pareil qui est la survie sur une île déserte : Ralph et Porcinet représentent la rationalité car après tout, vouloir être secouru, c'est la seule et unique priorité. Car pour moi ils représentent la civilisation elle-même et de nombreux passages le montrent ; comme les raids où, à chaque fois, la première chose à laquelle ils pensent est la conque. Rien n'est possible sans l'organisation de la conque dans leur esprit, le chaos n'est pas une option, donc ça doit être la chose que Jack et ses chasseurs veulent par dessus-tout. Et dans un sens c'est vrai car la destruction de la conque représente la dernière étape qui transforme tous ses petits garçons en véritables sauvages sanguinaires. Ce qui est arrivé à Simon, c'était un accident. Mais la mort de Porcinet, de sa logique, la conque dans les mains, c'est l'annihilation complète des valeurs de société qu'ils respectaient encore un tant soit peu jusque là même derrière leurs peintures, et ça conduit donc à la traque de Ralph dans le but de le tuer. Je pense que Ralph et Porcinet représentent tout de même des points de vue différents d'ordre et de civilisation néanmoins : Ralph tente de convaincre tout le monde en permanence que la fumée est ce qui compte avant tout et qu'ils doivent garder une organisation sérieuse pour l'entretenir mais il peine de plus en plus au fur et à mesure du livre à résister à la nature sauvage qui a déjà consumée tous les autres. Il oublie de plus en plus souvent à quoi sert la fumée, il participe à la danse meurtrière. Quant à Porcinet, en dépit de sa logique toujours implacable, il est toujours rabaissé à cause de son embonpoint, de ses lunettes, de son asthme, et je pense qu'il représente aussi le fait que le monde de ces enfants était déjà cruel dans leur vie précédente.
Roger est un pur sociopathe comme on le voit très vite. Tôt dans le livre, il ne peut se résoudre à bombarder de cailloux les petits non pas par souci de moral, car il le veut clairement, mais parce que la main invisible de la civilisation l'empêche d'agir, que même sur une petite île déserte, la peur de la punition existe encore. Il est donc logique que quelqu'un comme lui devienne le bourreau une fois suffisamment habitué à cette vie, qu'il abandonne très vite tous les codes de conduite possible pour s'abandonner volontiers à sa nature sauvage, qu'il assassine Porcinet sans problème particulier et qu'il aiguise son bâton des deux côtés pour donner à Ralph le même sort. Jack, lui, je pense que l'analyse de son personnage se fait principalement à travers ses scènes de chasse. Parce que même si son obsession est très vite exposée, ce n'est jamais sa faim ou son envie de viande qui surgissent mais l'exaltation que le sang produit en lui et en ses chasseurs. Egorger ces cochons devient plus important que l'entretien de la fumée, ce qui détruit sa relation avec Ralph. D'ailleurs même une fois sa tribu établie dans sa forteresse, il ne fait plus le moindre effort pour être secouru car au fond c'était le premier à accepter cette vie là avant d'être suivi par tout le monde excepté Ralph et Porcinet. Il montre aussi que même dans une situation désespérée comme la survie sur une île déserte, l'égo est une chose bel et bien présente et importante. Car il doit être le chef, il n'y a aucune autre issue pour lui.
Je pense que Simon est toujours à part parce que c'est le seul qui réfléchit vraiment. Ralph veut partir tout comme Porcinet, Jack et son clan veulent seulement chasser, mais Simon est le seul à penser au sens de leur vie ici, au fait que rien n'est logique. Qu'exhiber la tête d'un cochon sur une pique pour apaiser un monstre est complètement fou. Qu'il est stupide d'avoir peur d'un monstre sans même tenter de découvrir ce qu'il est. Et le fait qu'il soit solitaire, qu'il ait un mode de pensée unique le rend "cinglé" pour tout le monde. Mais c'est aussi le seul qui s'entend avec tout le monde, et donc c'est logique que sa mort représente la scission définitive entre les 2 modes de survie des enfants.
J'aimais pas la fin pendant mes premières lectures (trop soudaine une conclusion pareille en plein milieu de la traque) mais je pense que j'ai appris à la respecter cette fois. Parce que les larmes des enfants, de Ralph le leader malin et qui a toujours tenté de son mieux d'appliquer sa logique aux sauvages retombés à l'état animal et censés être privés d'émotion une fois protégés par leur peinture nous rappellent que, justement, malgré tout ce qu'ils ont endurés, ça reste et restera de simples enfants qui ont été forcés d'affronter un monde impitoyable et d'être arrachés à leur innocence bien trop tôt. Je suppose que c'est pour ça que l'auteur a choisi des enfants comme héros.
C'est pas un livre que j'aime beaucoup malgré la transformation intéressante d'une aventure d'enfants effrayés par un monstre et découvrant un vaste, nouveau monde à une découverte de la cruauté du monde dans des conditions impitoyables et je comprendrais jamais pourquoi il est considéré comme un si grand classique mais c'était cool de le relire, ça fait des annéesJe lirais Fahrenheit 451 dans la semaine probablement
Tres bonne analyse du livre, tu devrais quand même aller plus loin et réfléchir au sous texte avec les parallèles entre les enfants et certains leader politique/doctrine. Par exemple la chasse pourrait représenter la guerre et Jack un leader belliqueux
Ca pousse le thème de l'ordre "naturel" de Ralph qui règne en établissant ce qui devrait être logique contre l'anarchie de Jack plus loin, j'aime beaucoup. Prochaine fois que je lirais le livre je ferais les parallèles merci
J'ai relu Sa Majesté des Mouches pour la première fois depuis longtemps :
Je pense que ce que je préfère dans le livre c'est le contraste entre les différentes personnalités des enfants et la façon dont, peu à peu, ça créé des différences énormes entre leur façon de gérer une situation qu'ils ne sont pas censés subir, surtout à un âge pareil qui est la survie sur une île déserte : Ralph et Porcinet représentent la rationalité car après tout, vouloir être secouru, c'est la seule et unique priorité. Car pour moi ils représentent la civilisation elle-même et de nombreux passages le montrent ; comme les raids où, à chaque fois, la première chose à laquelle ils pensent est la conque. Rien n'est possible sans l'organisation de la conque dans leur esprit, le chaos n'est pas une option, donc ça doit être la chose que Jack et ses chasseurs veulent par dessus-tout. Et dans un sens c'est vrai car la destruction de la conque représente la dernière étape qui transforme tous ses petits garçons en véritables sauvages sanguinaires. Ce qui est arrivé à Simon, c'était un accident. Mais la mort de Porcinet, de sa logique, la conque dans les mains, c'est l'annihilation complète des valeurs de société qu'ils respectaient encore un tant soit peu jusque là même derrière leurs peintures, et ça conduit donc à la traque de Ralph dans le but de le tuer. Je pense que Ralph et Porcinet représentent tout de même des points de vue différents d'ordre et de civilisation néanmoins : Ralph tente de convaincre tout le monde en permanence que la fumée est ce qui compte avant tout et qu'ils doivent garder une organisation sérieuse pour l'entretenir mais il peine de plus en plus au fur et à mesure du livre à résister à la nature sauvage qui a déjà consumée tous les autres. Il oublie de plus en plus souvent à quoi sert la fumée, il participe à la danse meurtrière. Quant à Porcinet, en dépit de sa logique toujours implacable, il est toujours rabaissé à cause de son embonpoint, de ses lunettes, de son asthme, et je pense qu'il représente aussi le fait que le monde de ces enfants était déjà cruel dans leur vie précédente.
Roger est un pur sociopathe comme on le voit très vite. Tôt dans le livre, il ne peut se résoudre à bombarder de cailloux les petits non pas par souci de moral, car il le veut clairement, mais parce que la main invisible de la civilisation l'empêche d'agir, que même sur une petite île déserte, la peur de la punition existe encore. Il est donc logique que quelqu'un comme lui devienne le bourreau une fois suffisamment habitué à cette vie, qu'il abandonne très vite tous les codes de conduite possible pour s'abandonner volontiers à sa nature sauvage, qu'il assassine Porcinet sans problème particulier et qu'il aiguise son bâton des deux côtés pour donner à Ralph le même sort. Jack, lui, je pense que l'analyse de son personnage se fait principalement à travers ses scènes de chasse. Parce que même si son obsession est très vite exposée, ce n'est jamais sa faim ou son envie de viande qui surgissent mais l'exaltation que le sang produit en lui et en ses chasseurs. Egorger ces cochons devient plus important que l'entretien de la fumée, ce qui détruit sa relation avec Ralph. D'ailleurs même une fois sa tribu établie dans sa forteresse, il ne fait plus le moindre effort pour être secouru car au fond c'était le premier à accepter cette vie là avant d'être suivi par tout le monde excepté Ralph et Porcinet. Il montre aussi que même dans une situation désespérée comme la survie sur une île déserte, l'égo est une chose bel et bien présente et importante. Car il doit être le chef, il n'y a aucune autre issue pour lui.
Je pense que Simon est toujours à part parce que c'est le seul qui réfléchit vraiment. Ralph veut partir tout comme Porcinet, Jack et son clan veulent seulement chasser, mais Simon est le seul à penser au sens de leur vie ici, au fait que rien n'est logique. Qu'exhiber la tête d'un cochon sur une pique pour apaiser un monstre est complètement fou. Qu'il est stupide d'avoir peur d'un monstre sans même tenter de découvrir ce qu'il est. Et le fait qu'il soit solitaire, qu'il ait un mode de pensée unique le rend "cinglé" pour tout le monde. Mais c'est aussi le seul qui s'entend avec tout le monde, et donc c'est logique que sa mort représente la scission définitive entre les 2 modes de survie des enfants.
J'aimais pas la fin pendant mes premières lectures (trop soudaine une conclusion pareille en plein milieu de la traque) mais je pense que j'ai appris à la respecter cette fois. Parce que les larmes des enfants, de Ralph le leader malin et qui a toujours tenté de son mieux d'appliquer sa logique aux sauvages retombés à l'état animal et censés être privés d'émotion une fois protégés par leur peinture nous rappellent que, justement, malgré tout ce qu'ils ont endurés, ça reste et restera de simples enfants qui ont été forcés d'affronter un monde impitoyable et d'être arrachés à leur innocence bien trop tôt. Je suppose que c'est pour ça que l'auteur a choisi des enfants comme héros.
C'est pas un livre que j'aime beaucoup malgré la transformation intéressante d'une aventure d'enfants effrayés par un monstre et découvrant un vaste, nouveau monde à une découverte de la cruauté du monde dans des conditions impitoyables et je comprendrais jamais pourquoi il est considéré comme un si grand classique mais c'était cool de le relire, ça fait des annéesJe lirais Fahrenheit 451 dans la semaine probablement