Un autre clown à ramener à sa condition.
Si tu avais lu ce que j'ai écrit avant de sauter sur l'occasion pour m'insulter puérilement, tu n'aurais pas commis cette erreur, mais tu l'as commise, parce que tu as des choses à prouver et parce que tu es ridicule
Je pensais que tu prétendais avoir lu Marx mais il s’avère que c’est pire que ça : tu as lu quelques fragments pourtant clairs et tu n’as rien compris. Ce que moi, je n’ai pas compris donc, ce n’est pas tant ton propos parce qu’il serait subtile mais bien l’étendue immense de la bêtise qui le sous-tend.
Au XIXe comme au XXIe siècle, et comme au moyen âge, le concept de la bourgeoisie demeure. Si le fait social avait varié, le concept ne s'y appliquerait plus. C'est cette contradiction là que tu n'as pas comprise
Mais il n’y a pas de contradiction. C’est ça, Bozo, que tu ne comprends pas.
Il y a une différence entre la bourgeoisie industrielle du 19ème siècle et la bourgeoisie rentière et financière du 21ème siècle. Le mode même de production n’est plus le même. Le capital n’a pas encore disparu donc la bourgeoisie qui l’accumule perdure mais la manière dont ce capital est acquis a bel et bien été révolutionnée. Non pas du bon vouloir de la bourgeoisie - même si la formulation des extraits que tu choisis peut le laisser penser - mais parce que le mode de production capitaliste lui-même se fonde sur une accélération. C’est cette accélération qui est illustrée par Marx quand il observe :
« Le capitaliste n'a aucune valeur historique, aucun droit historique à la vie, aucune raison d'être sociale, qu'autant qu'il fonctionne comme capital personnifié. Ce n'est qu'à ce titre que la nécessité transitoire de sa propre existence est impliquée dans la nécessité transitoire du mode de production capitaliste. »
Il observait également :
« Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de tout le système social, cette agitation et cette insécurité perpétuelles distinguent l'époque bourgeoise de toutes les précédentes. Tous les rapports sociaux, figés et couverts de rouille, avec leur cortège de conceptions et d'idées antiques et vénérables, se dissolvent; ceux qui les remplacent vieillissent avant d'avoir pu s'ossifier. Tout ce qui avait solidité et permanence s'en va en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d'envisager leurs conditions d'existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés. »
C’est parce que la bourgeoisie est le capital personnifié qu’elle continue de se révolutionner, car le capital lui-même se révolutionne, de développement en développement, tout en enchaînant les crises et les contradictions qui mèneront à son effondrement. La bourgeoisie n’est pas éternel, elle est conditionnée par l’apparition et le développement de nouveaux modes de production auxquels les serfs n’ont pas pu s’acclimater.
Je cite encore :
« La bourgeoisie, nous le voyons, est elle-même le produit d'un long développement, d'une série de révolutions dans le mode de production et les moyens de communication. »
Et Marx dit bien : « Si tous les bourgeois en bloc se mettaient d’un seul coup à transgresser les règles de la bourgeoisie, ils cesseraient d’être des bourgeois... »
Où ça ? J’ai pas le souvenir d’avoir lu ça et les recherches sur Google donnent rien. Je souhaite une source.
Je ne répondrai à la seconde partie (ridicule) de ton post (stupide) qu’à condition d’avoir une source.
Mais bon, rien qu’en répondant à la première partie, j’ai quand même pu prouver - à nouveau - que tu n’avais pas véritablement lu Marx et que tu ne comprenais rien au peu que tu as lu.
Ça s’explique très simplement.
Les producteurs français ont moins de couilles qu’une association de femmes trans opérées.
Le CNC a un comité de lecture qui fait du script doctoring. Autrement dit, ils vont essayer de rendre ton scénario le plus lisse et insipide possible en le faisant obéir aux standards d’écriture scénaristique que l’on enseigne en école de cinéma. Je connais des mecs extrêmement talentueux, dont les courts ont été récompensés dans le monde entier, qui se prennent des remarques sur leurs scénarios parce qu’ils misent sur l’originalité. Pour l’anecdote, un mec dénué de talent d’écriture comme Avner fait (ou faisait ?) partie des lecteurs du CNC.
Et le CNC comme les producteurs ont un agenda politique bourgeois qui exclut l’authentique radicalité et l’ambition réelle.
Le 04 janvier 2023 à 10:17:09 :
Le 04 janvier 2023 à 07:45:09 :
Le 04 janvier 2023 à 00:37:20 :
C'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles Hegel est dans un autre univers que Marx, à des années lumières au-dessus s'entendParce que, pour Hegel, c'est l'Esprit absolu qui est le démiurge de la réalité, il n'y a aucune difficulté du point de vue hégélien à voir le concept en tant que tel disparaître et advenir dialectiquement. En fait, toute la phénoménologie de l'Esprit tient dans cette idée, comme son nom l'indique : l'Esprit se nie en se divisant dans le multiple, par quoi il se découvre et prend conscience de lui-même, et ainsi recouvre son unité originelle. S'expliquent alors les degrés successifs du concept et de la connaissance dans l'histoire
Marx prétend le contraire, que c'est la matière, la réalité sociale, plus précisément la division du travail, qui est le moteur de l'esprit. Cela ne permet pas d'expliquer la permanence du concept dont la réalité, elle, varie dans l'histoire. Pourquoi le concept de bourgeoisie demeurerait-il alors que la classe bourgeoise se révolutionne constamment ? L'immobilité du concept est inexplicable
Tu n’as lu ni Hegel, ni Marx.
Montre-le, j’attends
C’est justement parce que la réalité matérielle est changeante, dans un déploiement dialectique, qu’il faut comprendre le « concept » de bourgeoisie selon la manière dont il se manifeste à un temps donné et seulement de cette façon. Marx n’a cessé de réajuster ses positionnements selon les observations de la réalité immanente qu’il faisait. C’est pour cela qu’à travers ses écrits, on constate que nul autre individu que Marx lui-même n’est capable de corriger et d’affiner la pensée de Marx. Enfin, j’exagère peut-être, sachant que ses échanges avec Engels l’aident aussi. Affirmer que ce « concept » serait inchangé alors que les trois volumes du Capital dissèquent précisément ce qu’ont été et ce qu’étaient (au moment où il écrit) les rapports de production qui définissent la bourgeoisie, c’est bien le signe que tu ne sais pas de quoi tu parles. Il n’y a que dans l’esprit des abrutis dogmatiques que la bourgeoisie actuelle est la même que celle du 19ème siècle mais ceux-là n’ont rien compris à la dialectique.
Le marxisme est justement une méthode d’analyse pensée pour s’adapter aux développements de l’économie politique. C’est pour ça qu’elle entend s’appuyer sur la réalité MATÉRIELLE, afin d’éviter de réifier le réel.
Enfin, le dernier point qui me laisse penser que tu ne sais pas de quoi tu parles, c’est le fait que tu donnes raison à l’autre clown sur la question du lumpenprolétariat alors qu’il enchaîne bêtise sur bêtise.
Le 04 janvier 2023 à 00:37:20 :
C'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles Hegel est dans un autre univers que Marx, à des années lumières au-dessus s'entendParce que, pour Hegel, c'est l'Esprit absolu qui est le démiurge de la réalité, il n'y a aucune difficulté du point de vue hégélien à voir le concept en tant que tel disparaître et advenir dialectiquement. En fait, toute la phénoménologie de l'Esprit tient dans cette idée, comme son nom l'indique : l'Esprit se nie en se divisant dans le multiple, par quoi il se découvre et prend conscience de lui-même, et ainsi recouvre son unité originelle. S'expliquent alors les degrés successifs du concept et de la connaissance dans l'histoire
Marx prétend le contraire, que c'est la matière, la réalité sociale, plus précisément la division du travail, qui est le moteur de l'esprit. Cela ne permet pas d'expliquer la permanence du concept dont la réalité, elle, varie dans l'histoire. Pourquoi le concept de bourgeoisie demeurerait-il alors que la classe bourgeoise se révolutionne constamment ? L'immobilité du concept est inexplicable
Tu n’as lu ni Hegel, ni Marx.
Le 04 janvier 2023 à 00:59:45 :
La CIA sidérée ? ... Voyons ...Pour ne parler que de cet article,
La baisse du temps de travail en URSS (Un lieu où la logique de marché ne s'applique pas) n'a pas entraîné de baisse de la production pour deux raisons élémentaires.
1) Sans logique de marché, la logique de l'efficience n'est pas forcément invéctivisée donc peu d'intérêt à prendre des risque et changer une organisation qui remplie déjà les quotas fixés. La reforme du parti a donc uniquement forcé les managers à faire mieux avec moins.
2) Des moyens de production plus moderne, je pense qu'ils n'y a pas besoin d'épiloguer. La aussi la volonté étatique de restrictions des heures à jouer pour. Quand dans une société capitaliste la concurrence permanente fait que tout moyen plus efficient doit être adopté.
TLDR : Les travailleurs et les capacités de production en URSS avant la baisse du temps de travail était mal utilisé (Pas de concurrence/Production capé par quotas), la baisse du temps de travail imposé par l'état à créer une volonté/nécessité à y remédier.
Bref, la CIA n'était en rien choquée, vous avez juste à lire les deux première pages du rapport...
C’est une série d’articles, Bozo. Les deux autres répondent à ces points précis, Bozo.
Le 04 janvier 2023 à 00:03:18 :
Le 03 janvier 2023 à 23:51:48 :
L’appartenance au prolétariat, c’est une appartenance à un rapport de production. Tu essentialises le lumpenprolétariat en prétendant qu’un type qui était hier sous-prolétaire ne peut devenir aujourd’hui prolétaire malgré le fait qu’il participe activement à la production d’un objet et de la plus-value. Tu raisonnes en idéaliste.
Ta compréhension du lumpenprolétariat est complètement stupide et hors de propos. Un lumpenprolétaire n’est pas forcément « fainéant », vivre dans la misère ne se fait pas sans sacrifice.
Tout ton discours est à jeter aux chiottes et est déconnecté d’une compréhension dialectique et matérielle des classes.
Mais c'est son essence que de refuser de devenir un prolétaire putain, je peux pas essentialiser ce qui est par définition
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png Quand bien même ce serait le cas, on parle de phénomène de masse, pas de trois individus.
Je cite Marx : "Ils appartenaient pour la plupart au lumpenprolétariat qui, dans toutes les grandes villes, constitue une masse distincte du prolétariat industriel, pépinière de voleurs et de criminels de toute espèce, vivant des déchets de la société, individus sans métier avoué, rôdeurs, gens sans aveu et sans feu"
La fainéantise chez le lumpenprolétariat est antisociale et s'oppose par essence au "sentiment du droit, de la rectitude et de l’honneur qu’il y a à subsister par son activité propre et par son travail " (Hegel).
Bref, t'y connais rien, tu racontes de la merde, et je pense que quiconque à suivi le débat en a été témoin. T'as braillé, tu m'as traité de raciste, d'inculte, mais la vérité c'est que t'as rien conceptualisé, pire, t'es pas foutu de comprendre les concepts qu'on t'apprend. Et tu penses sincèrement réussir à faire conceptualiser le sous-prolétariat. Bonne chance putain.
C’est pas possible d’être aussi limité.
La masse ne « refuse » pas d’appartenir à telle ou telle classe sociale. Le lumpenprolétariat est « l’écume de toutes les classes », autrement dit - et toujours en citant Marx - une masse « d’individus déchus », des personnes qui se sont retrouvées marginalisées du prolétariat ou encore de la bourgeoisie pour former une masse distincte. Où est-il question d’un « refus » ? Tu crois que les classes se constituent sur la base du volontariat ?
Poursuivons avec le Manifeste du Parti Communiste :
Quant au lumpenprolétariat [8], ce produit passif de la pourriture des couches inférieures de la vieille société, il peut se trouver, çà et là, entraîné dans le mouvement par une révolution prolétarienne; cependant, ses conditions de vie le disposeront plutôt à se vendre à la réaction.
Tu la sens venir ?
Cette simple citation confirme deux points que j’avançais : le premier, c’est que les lumpenprolétaires peuvent effectivement s’allier à un mouvement prolétaire par opportunisme et il me semble qu’il serait opportun d’avoir une journée de travail réduite; le second, c’est que ce qui les détermine n’est pas la « fainéantise » ou le « refus » mais leurs conditions de vie.
Maintenant, intéressons-nous aux quelques catégories que Marx cite et intègre aux rangs de cette « masse distincte » :
A côté de «roués» ruinés, aux moyens d’existence douteux et d’origine également douteuse, d’aventuriers et de déchets corrompus de la bourgeoisie, on y trouvait des vagabonds, des soldats licenciés, des forçats sortis du bagne, des galériens en rupture de ban, des filous, des charlatans, des lazzaroni [48], des pickpockets, des escamoteurs, des joueurs, des souteneurs, des tenanciers de maisons publiques, des portefaix, des écrivassiers, des joueurs d’orgue, des chiffonniers, des rémouleurs, des rétameurs, des mendiants, bref, toute cette masse confuse, décomposée, flottante, que les Français appellent la bohême.
C’est drôle mais on y voit pas la mention d’une quelconque « fainéantise ». Ce que l’on remarque, avec un peu de jugeote par contre, c’est que ces individus sont coupés de tout rapport de production, donc des classes sociales. Même si Marx emploie un ton teinté de véhémence - surtout parce qu’il était dégoûté par la manière dont ils se sont empressés d’intégrer la garde mobile - son propos s’inscrit dans une analyse dialectique et matérialiste. Autrement dit, il se garde bien d’émettre des jugements de valeur sur une prétendue « fainéantise ».
L’idée que ces individus seraient « fainéants » reflète, au contraire, du moralisme bourgeois. Ça ne peut s’inscrire dans une analyse rigoureuse des classes et de ce qui se tient hors des classes.
Je pense que là, tu sens bien la PLS.
Les « lumpenprolétaires » qui seraient engagés lors d’une grève générale - en partant du principe que ça finisse par arriver, ce qui ne devrait pas être le cas puisque ces derniers seraient motivés par la « fainéantise », d’après toi ( ) - ne constituent pas une masse assez importante en nombre pour déjouer une immense mobilisation. Par ailleurs, le lumpenprolétariat d’aujourd’hui n’est pas celui de l’époque de Marx. Je n’ai pas vu de dealers de banlieue venir casser des grèves. Certains profitent des manifestations pour casser et voler dans les magasins mais ça ne constitue pas un frein aux mouvements sociaux.
Par contre, j’ai vu des flics frapper femmes, adolescents et hommes indistinctement durant des manifestations, notamment celles des gilets jaunes. Il est peut-être d’ores et déjà dans la police, le lumpenprolétariat qu’il faudrait redouter.
Un autre individu qui n’a pas lu Marx et s’est empressé de chercher des citations sur le net, de prendre des fragments hors contexte et de se ridiculiser en parlant de « fainéantise ».
Sur ce, bonne soirée, messieurs.
Et évidemment, bonne soirée aux clowns. Je ne vous oublie pas.
J’espère que ce topic survivra à l’impitoyable censure DGSI-esque.
Le 03 janvier 2023 à 23:44:09 :
Le 03 janvier 2023 à 23:40:42 :
Le 03 janvier 2023 à 23:37:00 :
Le 03 janvier 2023 à 23:26:18 :
Appuie tes propos par des citations.
Non, parce que là, il est évident que tu sors des assertions ridicules de ton cul. Le sous-prolétariat n’est qu’un ensemble hétérogène dont le point commun est d’être marginalisé. Il ne représente pas une véritable classe. On y trouve aussi bien les mendiants que les prostituées ou encore les pseudo-intellectuels oisifs de ton genre.(De fait, les RSAïstes d’extrême-droite de ce forum entrent parfaitement dans cette catégorie. )
Je l’ai déjà dit et je le répète : le sous-prolétariat n’est pas assez important (sur le plan quantitatif) pour casser une grève générale. Par ailleurs, ce sous-prolétariat se rangera certainement du côté du prolétariat (par opportunisme) en voyant que de telles revendications profiteront à tous.
Marx parle d'une lie d'individus dévoyés de toute classe. Chez Engels et Marx, le lumpen ne peut justement participer à une action de classe sauf à quantités minimale, c'est sa définition propre que de se vendre en l'occurrence à la réaction. Et contrairement à tes lubies, on sait quel danger le lumpen pèse sur le prolétariat, c'est justement parce qu'il a fait foirer l'insurrection ouvrière de 1848 que Marx en vient à aborder le sous-prolétariat et le honnir.
D’accord mais rien de ce que tu dis ne contredit ce que j’ai dit.
J’ai dit que le lumpen n’était pas une classe. J’ai aussi admis qu’il était opportuniste et que c’est justement pour ça qu’il préférera une société où le temps de travail est réduit à une société où il est marginalisé.
Non, c'est littéralement toi qui avait l'impression de me donner tort en me rejoignant sur le fait que le lumpen n'est pas une classe en soi. Par conséquent, il ne peut pas se changer en prolétariat comme par magie. Tu ne comprends pas que le propre du lumpen c'est d'être fainéant, il n'est pas fait pour les sacrifices, il ne veut pas en faire. Ils auront le choix entre venir reprendre le boulot que tu refuses de faire, ou souffrir pour un truc qu'ils ne comprennent même pas, et ils feront le choix qu'ils ont toujours fait.
L’appartenance au prolétariat, c’est une appartenance à un rapport de production. Tu essentialises le lumpenprolétariat en prétendant qu’un type qui était hier sous-prolétaire ne peut devenir aujourd’hui prolétaire malgré le fait qu’il participe activement à la production d’un objet et de la plus-value. Tu raisonnes en idéaliste.
Ta compréhension du lumpenprolétariat est complètement stupide et hors de propos. Un lumpenprolétaire n’est pas forcément « fainéant », vivre dans la misère ne se fait pas sans sacrifice.
Tout ton discours est à jeter aux chiottes et est déconnecté d’une compréhension dialectique et matérielle des classes.
Le 03 janvier 2023 à 23:42:49 :
Et pour répondre au premer gneugneu bourgoisie, un système économique libre évitant les barières à l'entré avec responsabilité entière en cas de faillite (pas la situation actuelle, cf 2008) évite la montée de monopoles fossilisé style CAC 40.
La concurrence féroce guardant tout à un certains niveau et la faillite aidant au nettoyage par le rachat d'actif déppréciés, permettant l'avènement de nouvelles boites (actuellement jeter du fric à des boites cassos empêche cela)
Mon grand… De quoi tu parles ? Ça n’existe pas.
https://journals.plos.org/plosone/article/figures?id=10.1371/journal.pone.0025995
L’économie est régulée par un métacartel. Ton discours libertarien naïf n’est pas à l’épreuve du réel.
Le 03 janvier 2023 à 23:39:33 :
Le 03 janvier 2023 à 23:38:23 :
Le 03 janvier 2023 à 23:35:33 :
L'auteur a quand même osé sortir la Chine comme exemple de réussite du communisme, le pays de l'esclavage par excellenceTu crois que la Chine est encore à l’époque du dengisme ?
Mec si ils s'en sont sortis, c'est justement grâce à la mondialisation et à leur main d'œuvre d'esclave. Va te renseigner sur le 9 9 6 et leur deux jours féries par an
Btw les grèves sont interdites là bas
Bozo, Bozo, Bozo…
Strikes are not new in China. Chinese authorities have long tolerated limited, local protests by workers unhappy over wages or other issues.[40] The Pearl River Delta alone has up to 10,000 labor disputes each year. In the spring of 2008, a local union official described strikes as "as natural as arguments between a husband and wife".[41] The Chinese government sought balance on the issue; while it has recently repeated calls for increased domestic consumption through wage increases and regulations, it is also aware that labour unrest could cause political instability.[42][43]
Le 03 janvier 2023 à 23:37:00 :
Le 03 janvier 2023 à 23:26:18 :
Appuie tes propos par des citations.
Non, parce que là, il est évident que tu sors des assertions ridicules de ton cul. Le sous-prolétariat n’est qu’un ensemble hétérogène dont le point commun est d’être marginalisé. Il ne représente pas une véritable classe. On y trouve aussi bien les mendiants que les prostituées ou encore les pseudo-intellectuels oisifs de ton genre.(De fait, les RSAïstes d’extrême-droite de ce forum entrent parfaitement dans cette catégorie. )
Je l’ai déjà dit et je le répète : le sous-prolétariat n’est pas assez important (sur le plan quantitatif) pour casser une grève générale. Par ailleurs, ce sous-prolétariat se rangera certainement du côté du prolétariat (par opportunisme) en voyant que de telles revendications profiteront à tous.
Marx parle d'une lie d'individus dévoyés de toute classe. Chez Engels et Marx, le lumpen ne peut justement participer à une action de classe sauf à quantités minimale, c'est sa définition propre que de se vendre en l'occurrence à la réaction. Et contrairement à tes lubies, on sait quel danger le lumpen pèse sur le prolétariat, c'est justement parce qu'il a fait foirer l'insurrection ouvrière de 1848 que Marx en vient à aborder le sous-prolétariat et le honnir.
D’accord mais rien de ce que tu dis ne contredit ce que j’ai dit.
J’ai dit que le lumpen n’était pas une classe. J’ai aussi admis qu’il était opportuniste et que c’est justement pour ça qu’il préférera une société où le temps de travail est réduit à une société où il est marginalisé.
Le 03 janvier 2023 à 23:35:33 :
L'auteur a quand même osé sortir la Chine comme exemple de réussite du communisme, le pays de l'esclavage par excellence
Tu crois que la Chine est encore à l’époque du dengisme ?
Le 03 janvier 2023 à 23:32:09 :
Le travail est une catégorie capitaliste qui suppose l'exploitation réduire le temps de travail comme c'est le cas depuis plus d'un siècle ne change pas grand chose mais permet de remodeler et d'entretenir la captation de la liberté humaine au profit du maintien de l'accumulation de la valeur. Ce qu'il faut c'est se donner les moyens de retrouver la naturalité et la conscience autonome condionnant le choix rationel de l'utilisation des moyens de productions
Le travail, une « catégorie capitaliste » ?
Il n’y avait pas de travail sans le capitalisme ? Ou le capitalisme précède le travail ?
La réduction du temps de travail obtenue à grands renforts de mouvements sociaux et de luttes est en train de s’inverser. Le rêve ultime de Macron serait de revenir à une semaine de 40 heures.
Le 03 janvier 2023 à 23:27:55 :
Tout le monde arrête de travailler, et puis il se passe quoi ?
Tu penses vraiment que tous le monde va soudainement se trouver une passion pour le monde intellectuelle et spirituel, ahi. Les gens vont juste devenir fou, se bourrer la gueule à outrance et se suicider en masse, car ils ne pourront plus supporter leurs quotidiens amorphe, autrefois soutenue par leurs travail, qui quoi qu'on en dise est essentiel à une hygiène de vie stable.
D'ailleurs c'est Marx qui disait que l'essence même de l'homme c'est son travail, un homme sans travail selon lui est un homme sans essence, ce qui fait sens puisqu'il analyse l'homme en tant qu'animal social, donc en tant que travailleur.
T'es complétement à coté de la plaque mon pauvre.
Je ne suis pas d'accord avec le point de vue que Marx exprime selon lequel un homme sans travail est un homme sans essence. Nous sommes plus que des êtres sociaux, nous sommes des êtres créatifs et spirituels qui ont besoin de trouver du sens et de la satisfaction.
La contribution sociale qu'un individu peut apporter grâce à son travail est importante, mais ce n'est pas tout ce dont l'homme a besoin pour épanouir sa vie. Il y a une multitude d'autres façons pour les gens de trouver du sens et des joies dans la vie, en particulier si on arrête de travailler. Les gens peuvent explorer leurs passions, développer leur spiritualité ou simplement profiter du temps libre.
Mais c’est pas ça, le point de vue de Marx.
La position marxiste est celle que je décris : l’épanouissement de l’homme par la création, la recherche, l’éducation etc. Le marxisme est un humanisme.
Le 03 janvier 2023 à 23:27:59 :
Le pouvoir bourgeois va pas nous laisser baiser le système comme ça hein. Ceux qui travailleront pas suffisamment seront réduit à la misère.Quant à un mouvement massif ça demande une trop grande unité collective, t'auras toujours des gens qui auront un intérêt à arrêter. Le gouvernement va jouer sur l'opposition des intérêts de chacun, comme deux prisonniers à qui ont propose à chacun une annulation de peine s'il dénonce son complice.
Mais il ne s’agit pas d’arrêter de bosser du jour au lendemain, il s’agit de lancer un mouvement social avec comme point d’orgue cette revendication. Il s’agit de lancer une grève générale pour attaquer matériellement le pouvoir de la bourgeoisie.
L’histoire est traversée de mouvements fondés sur de grandes unités collectives, khey. Je ne doute pas que l’état emploiera toutes ses méthodes d’opération psychologique pour contrecarrer cette vague mais nous sommes engagés dans une lutte. Tu peux pas refuser de boxer parce que tu sais que ton adversaire risque de t’en placer une.
Le 03 janvier 2023 à 23:23:12 :
Le 03 janvier 2023 à 23:19:29 :
Le 03 janvier 2023 à 23:16:46 :
C'est amusant de constater à quel point les plébéiens ont des préoccupations dignes de leur acabit, comment est-ce possible de méditer autant sur de telles futilitéshttps://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-71467776-1-0-1-0-l-insipidite-de-la-vie-est-la-lucidite-quant-a-son-insignifiance.htm
CE PENSEUR NIHILISTE EXTRAORDINAIRE
Sans le moindre effort, le voilà capable de produire une pensée et une vision du monde dignes… d’un adolescent déprimé de 14 ans.
« La vie est insignifiante »… TOO FARJe ne suis pas un nihiliste sombre crétin, je ne crois pas en une quelconque spiritualité. Je constate simplement la vanité de ta misérable existence, toi et tous tes autres congénères qui se complaisent dans la futilité
« Je ne suis pas nihiliste, crétin, je suis nihiliste »
Okay.
Le 03 janvier 2023 à 23:21:59 :
:L’op ce pyj communisme qui parle de Great Reset mais qui oublie malencontreusement de préciser que le futur du travail et la robotisation généralisée et donc peu de travailleurs actifs
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640893106-tiboss.png Bien tenté
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640893106-tiboss.png L’op bloqué à la révolution industrielle en tant
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640893106-tiboss.png Elle est où cette robotisation ?
Je suis justement pour le fait d’utiliser la robotisation afin de réduire le temps de travail mais pourquoi tarde-t-elle à arriver ?Tout le monde arrête de travailler, et puis il se passe quoi ?
Tu penses vraiment que tous le monde va soudainement se trouver une passion pour le monde intellectuelle et spirituel, ahi. Les gens vont juste devenir fou, se bourrer la gueule à outrance et se suicider en masse, car ils ne pourront plus supporter leurs quotidiens amorphe, autrefois soutenue par leurs travail, qui quoi qu'on en dise est essentiel à une hygiène de vie stable.
D'ailleurs c'est Marx qui disait que l'essence même de l'homme c'est son travail, un homme sans travail selon lui est un homme sans essence, ce qui fait sens puisqu'il analyse l'homme en tant qu'animal social, donc en tant que travailleur.
T'es complétement à coté de la plaque mon pauvre.
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/46/4/1668723962-affabulateur.png L’état, en tant que dictature du prolétariat (c’est-à-dire, un régime transitoire), opérera la rééducation nécessaire de la population, afin de lui désapprendre l’abrutissement induit par la culture de masse post-capitaliste. C’est que la Chine est en train de faire, d’où sa volonté de lutter contre les jeux vidéo, la pornographie et les divertissements stupides.
Pour le reste, il est évident que tu n’as pas lu Marx. Merci de ne pas parler de ce que tu ne comprends pas. Merci de ne pas mentir en feignant l’avoir lu. Parce que oui, pour ta gouverne, misérable, ce que je décris n’est ni plus ni moins que ce que doit être le communisme tel qu’il le définit.
Si tu vois pas que c'est un idéalisme inatteignable, y 'a plus rien à faire pour toi.
J’ai cité l’exemple très concret de la Chine, mon grand.