Messages de Illkirchu
Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs ; l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de
continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis. (....) Dans le passé, un héritage de gloire et de regrets à partager, dans l'avenir un même programme à réaliser ; avoir
souffert, joui, espéré ensemble, voilà ce qui vaut mieux que des douanes communes et des frontières conformes
aux idées stratégiques ; voilà ce que l'on comprend malgré les diversités de race et de langue. (...)
Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu'on a faits et de ceux qu'on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé ; elle se résume pourtant dans le présent par un fait tangible : le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie commune. L'existence d'une nation est (pardonnez-moi cette métaphore) un plébiscite de tous les jours, comme l'existence de l'individu est une affirmation perpétuelle de vie. Oh ! je le sais, cela est moins métaphysique que le droit divin, moins brutal que le
droit prétendu historique. Dans l'ordre d'idées que je vous soumets, une nation n'a pas plus qu'un roi le droit de dire à une province : « Tu m'appartiens, je te prends. » Une province, pour nous, ce sont ses habitants ; si quelqu'un en cette affaire a droit d'être consulté, c'est l'habitant. Une nation n'a jamais un véritable intérêt à s'annexer ou à retenir un pays malgré lui. Le voeu des nations est, en définitive, le seul critérium légitime, celui auquel il faut toujours en revenir. (…)
Je me résume, Messieurs. L'homme n'est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagnes. Une grande agrégation d'hommes, saine d'esprit et chaude de cœur, crée une conscience morale qui s'appelle une nation. Tant que cette conscience morale prouve sa force par les sacrifices qu'exige l'abdication de l'individu au profit d'une communauté, elle est légitime, elle a le droit d'exister. Si des doutes s'élèvent sur ses frontières, consultez les populations disputées.
La réaction du forum
Le 14 octobre 2021 à 09:44:44 :
Le 14 octobre 2021 à 09:40:05 :
Le problème, c'est que les femmes ne voient pas les mecs gentils et biens. Vous êtes sans arrêt en train de vous plaindre, de chouiner, de dire que vous ne trouvez jamais de mecs biens, mais la vérité, c'est que vous ne voulez pas d'un mec bien.Des mecs biens, y'en une tonne, des gens pas forcément très beaux, des gens banals en majorité, mais qui sont droits, gentils, et beaux. Mais ça, vous n'en voulez pas, car dans votre mentalité de princesse, ça ne fonctionne pas comme ça.
Vous ne faites jamais le premier pas, et souvent, les mecs biens n'osent pas faire le premier pas non plus, donc forcément, vous récoltez les mecs en chiens et qui sont pas sérieux.
Mais honnêtement, cherchez-vous seulement une relation sérieuse ? Si oui, il n'y aurait pas autant d'infidélité et de couples divorcés, non, vous ne cherchez pas de relation sérieuse, vous cherchez une relation Disney ou le mec vous fait vivre des trucs de dingues tout les jours, un mec qui vous fait sentir extraordinaire et spéciale.
Mais le mec, il reçoit quoi dans tout ça ? Dans vos relations à pur sens unique ? Rien, juste une princesse à l’ego surdimensionné qui pense que tout lui est dû.
Donc par pitié, arrêtez seulement de vous plaindre, c'est vous qui êtes à l'origine de cette décadence, de la génération Instagram/Snapchat/Facebook/Tinder.
Que voulez-vous ? Les mecs pas sérieux et en chiens, bah ils viennent vous draguer, vous finissez avec, vous le trompez et/ou vous vous faites larguer car il trouve mieux.
Et les mecs sérieux et gentils, soient ils trouvent miraculeusement une femme, puis ça se fini en "T'es trop gentil désolé ça va pas fonctionner
", ou alors, il se fait tromper. Ou bien il ne trouve pas de meuf, et il fini frustré et haineux et tu peux alors le retrouver sur ce forum à pondre des topics de dépressif à 6h du matin.
Donc pour conclure : non, les femmes ne peuvent pas souffrir de la décadence, puisqu'elles en sont à l'origine.
Typique exemple du frustré "gentil" que je décris. Si t'étais vraiment si bon tu t'en battrais les couilles de la reconnaissance des filles, tu serais juste un homme au grand coeur
T'es un low QI toi, il parle du fait que les femmes de plaignent qu'elle je trouve pas des mecs biens et finissent avec des chiens pas sérieux. Rien avoir avec le fait d'être gentil pour avoir des facteurs