[16:42:52] <Flagadajaunes>
Les vrais alphas baisent JAck
Ouais Jack c'est cool comme romance
[20:07:05] <QuasimentLeN___>
Rosa Parks , Martin Luther King , Obama , la ségrégationhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png Le méchant Trump
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png
Le génial Bidenhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png
En même temps un prof est un fonctionnaire donc un propagandiste par essence
[20:39:29] <Ivct123>
Le 24 février 2021 à 20:36:53 GetThingDone a écrit :
Chaud je suis un sale phasme desco et je suis pas puceauTout le monde n'a pas le même amour propre/la même vision
Certains veulent juste baiser baiser baiser, peh importe avec qui
D'autres veulent LA fille parfaite, directement
Je t'arrête tout de suite toutes les meufs avec qui jai baisé étaient ultra convoitées et sélectives. Rien avoir avec l'amour propre le pucix, c'est une question de charisme
Les guerres mandaloriennes ne sont pas d'origine sith et c'est par de là les mensonges anti historique que la paix galactique adviendra dans une harmonie anti échange
Je vous renvoie aux correspondances de -1844 avant Yavin plagueis - sidious qui, dans une jonction dialectique, pose la problématique historique suivante:
Que les rodiens détiennent une conscience historique des jacqueries des tusken jusqu'à la commune de coruscant pour qu'ils soient finalement vassalisés au lupenprolétariat tatouinien
Le 19 février 2021 à 15:16:21 BG-Lusitanien a écrit :
Le principal conseil que j'ai à te donner c'est la vidéo dans ma signature.Courage khey.
De la propagande méritocrate c'est tout ce que t'as à nous donner ?
J'ai posté un com sous sa vidéo vous me reconnaîtrez je pense
Bon l'auteur, va à des foyers de jeunes travailleur, trouve un moyen de rendre populaire ta misère en faisant des vlog etc ça va buzzer enfin bref t'as des solutions pour t'en sortir mais je suis dans la merde aussi je vis dans un logement insalubre j'ai pas mal de petit soucis de santé qui me cassent bien les couilles et ma volonté en même temps donc c'est pas encore la fin du monde mais on a intérêt à se débattre pour pas finir dans la fosse commune
Le 19 février 2021 à 15:09:48 lachoucrute a écrit :
Le 19 février 2021 à 15:08:46 Kheypakpak a écrit :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/5/1613743711-156105c6-8fa8-4864-8ad3-11d0d6d1452f.jpeg Même moi les meuts me trouvent mignon mais pas bg
Tu me fait un peu peur kheyou
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/15/7/1586668024-jesus-rire-hd-altieri.png
Il est juste moche en fait
"Ce torchon de scribouillard à scandale est reservé aux abonnés"
Heureusement que ce génies ont connaissance de la toggle view:
Affaire PPDA : «Je lui ai dit, arrêtez Patrick, ça ne va pas !»
Par Benoît Daragon, avec Michael Zoltobroda et Jean-Michel Décugis
8-10 minutesDans le petit monde de la télévision, l'affaire PPDA, accusé de viols par l'écrivaine Florence Porcel dans un contexte d'emprise psychologique et d'abus de pouvoir, ne surprend personne. Bien au contraire. « A chaque fois qu'un scandale MeToo éclate, je ne peux m'empêcher de me demander Pourquoi rien ne sort sur Patrick Poivre d'Arvor? » lâche une reporter qui a travaillé à ses côtés pendant une décennie. « Poivre », comme le surnomment ses proches, a une solide réputation de collectionneur de femmes. Du tapis rouge du Festival de Cannes aux loges VIP de Roland-Garros, une femme est immanquablement accrochée à son bras. Jeune et jolie, de préférence.
Mais l'entourage de celui qui a présenté sans discontinuer entre 1987 et 2008 le « JT le plus regardé d'Europe » sait que les femmes sont devenues une obsession. PPDA est toujours à l'affût, pour ne pas rater une occasion de conclure. Quitte à se montrer très oppressant avec ses cibles. « C'est un gros dragueur, bien lourd », résume une vieille connaissance qui soupire : « Et je ne suis pas certaine qu'il se soit calmé avec le temps… »
Ses terrains de chasse privilégiés : les salons du livre, les interviews, les voyages de presse au ski entre personnalités influentes, les Chandelles, boîte de nuit de Trébeurden (Côtes-d'Armor) où il sort dès qu'il est en vacances dans sa maison à Trégastel ou les dîners parisiens. « Un soir, chez des amis communs, il m'a proposé 15 fois de me ramener chez moi sur son scooter malgré mes refus répétés… » se rappelle la dirigeante d'un média concurrent.
«Personne ne fait le poids face à l'ancien journaliste préféré des Français»D'autres ont vécu des expériences bien plus traumatisantes. Il y a plus de dix ans, une ex-journaliste d'une radio nationale a été victime de la vedette de TF1. Après une interview pour sa station, elle propose à la star de TF1 qui l'a raccompagnée jusqu'à son domicile de monter boire un verre, comme il le suggère. Une fois à son domicile, elle doit repousser les assauts du présentateur qui va finalement, faute de mieux, se livrer à un plaisir solitaire sur son canapé. Elle n'a pas voulu directement nous raconter son histoire que nous tenons de l'un de ses proches.
Tous les témoins interrogés par le Parisien ont insisté pour rester anonyme. « Personne ne fait le poids face à l'ancien journaliste préféré des Français… Il connaît tout Paris et bénéficie toujours de puissants soutiens dans les médias, dans le milieu de l'édition et parmi les politiques grâce à ses amitiés créées à l'Elysée sous Mitterrand puis sous Chirac… » soupire une autre reporter de TF1.
Il n'intervient plus que sur l'antenne de CNews, qui vient de mettre un terme à son émission littéraire, mais Patrick Poivre d'Arvor reste influent. Jusqu'à aujourd'hui, le présentateur de 73 ans n'avait été l'objet d'aucune plainte pour viol ou harcèlement sexuel. Un haut dirigeant de la Une de l'époque est catégorique : aucune affaire de harcèlement contre PPDA n'a jamais été signalée aux ressources humaines.
A TF1, les anciennes alertent chaque nouvelle recrueC'est pourtant à TF1 que les témoignages sont les plus nombreux. Les collègues féminines de « Poivre » n'ont pas échappé à ses avances. Lors de déjeuners en tête-à-tête qu'il sollicite régulièrement, il n'oublie jamais de faire un point sur leurs histoires de cœur, bien avant le café. A la rédaction, les anciennes alertent chaque nouvelle recrue. « Dès qu'une stagiaire arrivait, la première chose qu'on lui disait c'est Fais gaffe, ne monte jamais seule dans l'ascenseur avec PPDA. »
Une journaliste recrutée dès la fin de ses études au milieu des années 2000 raconte : « Un soir, moins d'une heure avant le début du 20 Heures, PPDA passe une tête dans la rédaction. Quelques minutes plus tard, le nom de son assistante s'affiche sur mon téléphone. Il demande à me voir. Un peu surprise, je rentre dans son grand bureau. La lumière était tamisée. Il me demande si mon CDD se passe bien puis enchaîne les questions très personnelles. Il m'a dit que mon conjoint avait de la chance et m'a demandé s'il pouvait me prendre dans les bras. C'était mon supérieur hiérarchique, je le voyais depuis que j'étais gamine à la télévision, je n'ai pas osé dire non. L'étreinte n'a dû durer qu'une poignée de secondes mais elle m'a semblé interminable », explique-t-elle. « Très honnêtement, je ne considère pas avoir été victime d'une agression. Mais ça a été un moment surprenant et perturbant. On n'imagine personne faire ça aujourd'hui… » ajoute ce visage de l'antenne, qui apparaît toujours dans les JT de la chaîne.
« Le McDo de Patrick »Au deuxième étage du siège de la Une, le bureau de PPDA, avec stores et canapé, a vu défiler un nombre incalculable de femmes. Les étudiantes qui le sollicitent pour une thèse ou un mémoire de fin d'étude reçoivent une invitation manuscrite pour assister au tournage de « Vol de nuit » ou « Ex-Libris ». Idem pour celles qui rêvent de travailler dans la plus puissante chaîne de France. Après le tournage, la visite finit systématiquement dans son bureau.
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« J'avais 28 ans quand j'ai rencontré Patrick Poivre d'Arvor lors d'une manifestation. C'était en 2005, je travaillais dans un grand quotidien et j'étais à la recherche d'un nouveau poste », confie Juliette, 44 ans, ancienne journaliste reconvertie dans la communication. « Entre nous, le courant était bien passé. Il avait été flatteur. En partant, il m'a demandé mon 06. Il m'a appelé deux trois fois, toujours de longues discussions. Quand il m'a donné rendez-vous dans son bureau à TF1, j'y ai vu une opportunité professionnelle. C'était le présentateur du 20 Heures ! On m'avait mise en garde sur sa réputation mais je voulais quand même tenter ma chance. J'ai tout de suite senti le malaise quand j'ai croisé le regard de sa secrétaire. Je lui ai donné mon CV. Il l'a jeté à la poubelle sans même le regarder. Je me suis sentie humiliée. Je me suis levée pour partir et lui s'est levé pour essayer de m'embrasser. Je lui ai dit : Arrêtez Patrick, ça ne va pas ! Et ça s'est arrêté là. C'était tellement gênant, j'en étais toute tourneboulée. Quand j'ai raconté la scène à mon copain, il a voulu lui casser la gueule », ajoute-t-elle.
Le témoignage de Juliette confirme le « modus operandi » relaté par Florence Porcel. Qu'elles ne sont pas les seules à avoir connu. Les deux assistantes de Patrick voient défiler ces visiteuses qu'elles surnomment entre elles pour rire « le McDo de Patrick ». « Chaque soir après le JT, on le voyait passer dans les locaux avec des créatures éthérées perchées sur des hauts talons », confie une de ses anciennes collègues.
La rancœur tenaceAvec ses compagnes, la séparation prend parfois un tour conflictuel, houleux. « Il ne supporte pas qu'on le quitte », regrette une de ses ex. Les plus anciens salariés de la Une se souviennent de sa fureur lors de sa rupture avec Claire Chazal, avec qui il a eu un fils en 1995. A la machine à café, on se raconte cette anecdote confirmée par un témoin direct de la scène : quand il a appris que son ancienne compagne débutait une liaison avec Xavier Couture, l'un des grands patrons du groupe TF1, PPDA est monté dans le bureau de Claire Chazal et a uriné sur le canapé où elle avait l'habitude de faire la sieste.
En 2008, son histoire avec Agathe Borne se termine devant les tribunaux. « Poivre » est condamné à lui verser 33 000 euros pour avoir porté atteinte à ses droits d'auteur et à sa vie privée dans un roman intitulé « Fragments perdus de la vie d'une femme ». En 2011, lors du procès, Agathe Borne était revenue sur cette relation, qui s'est terminée par une dispute dans la rue, paparazzée par le magazine « Entrevue ».
« J'avais déjà porté plainte pour harcèlement, car il me persécutait au téléphone, m'espionnait, me disait qu'il pouvait avoir les fiches RG de tel ou tel ami que je voyais. Il m'avait volé pas mal de carnets, de journaux intimes. Cela m'a fait un choc, quand j'en ai revu des passages entiers dans son livre », déclare-t-elle à l'époque dans l'Obs, évoquant une « vengeance » après leur rupture. A l'époque, rare étaient les médias qui avaient couvert ce procès.
[20:37:47] <Conspuant>
Tu les comptes bien à la reception, tu tapes un scandale s'il en manque
Vous me tuez les kheys