Le 26 mai 2024 à 00:08:07 :
&list=LL&index=3
la fake news c'est les 40k morts, le parking de l'hopital avec 800 morts
vous repetez en boucle l'histoire des bébés qui est une fake news d'une journaliste US et debunké direct par le gouvernement israelien lui memehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/35/3/1504105705-risitas-jesussouffle.png
Julien Bahloul, c'est toi ?
Le 26 mai 2024 à 00:05:34 :
Le 25 mai 2024 à 19:55:16 :
Ils ont inventé la boucle du 07/10 : toujours les mêmes photos et vidéos, les mêmes fake news debunké depuis des mois... Et ils la poste sur les réseaux tous les jours...
Moi je dis que la question se pose.Fake news oui mais faut bien faire avancer la propagande
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png Après tu peux pas nier les morts kheys
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png
La question n'est pas de nier les morts (d'ailleurs les seuls morts dont on nie l'existence sont ceux de Gaza...) mais de remettre sur la table un massacre PASSÉ pour faire oublier celui EN COURS.
Le 17 septembre 2023 à 19:03:00 :
Le 17 septembre 2023 à 18:44:01 :
4) Celle-ci a été donnée mais je n'ai pas vu de réponse probante : Ne pas mettre d'enfants au monde, c'est certes les empêcher de rencontrer la souffrance mais c'est aussi les empêcher de rencontrer la joie, le bonheur etc.
Vaut-il mieux éviter la souffrance ET le plaisir ou bien rencontrer l'un et l'autre ? En quoi la première option est-elle plus justifiée que la seconde ?Sauf que la vie c'est beaucoup plus de souffrance que de joie
Le truc, c'est que ça n'a rien d'évident. On pourrait dire exactement l'inverse. Il me semble qu'essayer de mettre en balance joies et peines afin de voir de quel côté penche la vie est vain. Plus radical me semble être en revanche une réponse consistant à dire que, quand bien même nous pourrions être tout à fait certain que notre enfant ne souffrira jamais, le seul fait qu'il doive mourir un jour annihile toute la raison d'être de cette vie heureuse. Mais c'est là encore quelque chose qui mérite d'être argumenté.
Ma position est en fait plus radicale encore. Elle part du principe que, ne souffrant absolument pas lorsqu'il n'existe pas, la moindre petite souffrance que rencontrerait un enfant est illégitime et suffit à rendre immoral le fait de l'avoir fait naître et rencontrer cet épisode douloureux. Et dans le cas idéal, i.e. une vie sans aucune douleur, l'argument précédent peut être invoqué.
Bon puisque les pro-enfants/ pro-"Yapa2pb" sont incapables de le faire, je vais formuler moi-même des objections à la thèse de l'immoralité de l'acte de faire des enfants :
1) pour qu'un tort soit constitué, ne faut-il pas qu'il y ait une victime ? Or, lors de la conception, par définition, l'enfant n'existe pas. On ne peut donc pas lui causer un tort. Il ne saurait y avoir d'immortalité à ce moment.
2) si la vie peut comporter des souffrances et même être vaine en un certain sens, n'y a-t-il donc RIEN qui justifie la vie ? Si non, que devrait être l'existence pour être acceptable ?
3) Pour que cette thèse soi moralement acceptable, elle ne saurait aboutir à la condamnation du vivant existant. Dès lors comment gérer la tension entre l'affirmation de l'immoralité de l'enfantement et le refus du suicide voire du meurtre "salvateur" (puisque permettant de sortir de la vie) ?