Le 17 janvier 2021 à 01:02:51 Robert-77 a écrit :
Tu peux remercier les anti-vaccins, à cause d'eux ça va durer longtemps
c'est en effet certainement la faute des gens qui refusent de se faire injecter un vaccin torché avec le cul pour éviter une gripette qui sont responsables de cette folie générale
Le 17 janvier 2021 à 00:55:36 Desco7x a écrit :
Bah tout à l'heure j'ai bouffé deux escalopes de dinde et un bol de soupe c'était pas mal
mec c'est ca la vraie vie
raconte nous en detail mec
Je raconte une autre histoire : le meme été , la meuf mignonne qui m'envoyait des messages je l'avais rencontré à une soirée, elle s'appelait Lea, elle était si mignonne (meme si le futur m'aura fait deviné que c'était une idiote). Mais j'étais tellement IN LOVE
J'avais réussi a recuperer son num par l'organisatrice de la soirée + a avoir un rencard avec la dite Lea.
Un des rencards des plus chiants, on l'a passé chez moi à regarder American Beauty, elle disait qu'elle aimait pas, c'était meme pas cool d'etre avec elle quand j'y pense car objectivement je passais pas un bon moment, mais dans ma tete elle me plaisait tellement que je voyais pas les défauts et j'étais genre submergé
Apres j'ai été IN LOVE plusieurs mois d'elle, pour 1 seul putain de rencard
J'ai meme voulu lui envoyer une carte postale de mes vacances puis je faisais pelerinage dans sa ville certains soirs quand je m'ennuyais, comme un gros paumé de la vie
Des anecdotes, des trucs marrants, des trucs nostalgiques, qui nous disent quelque chose de vous, mais des trucs VRAIS ! Qu'on puisse se connaitre !
Y a 2/3 ans de ça, a l'été, j'ai matché une fille obese de 18 piges sur tinder (je devais avoir 23) qui habitait à une heure de chez moi, elle était vierge et je suis allé la voir en voiture en partant en vacances -
Je l'ai attendu dans un parc, je l'ai vu, elle était degueue (bon allez une 4), j'ai pris sur moi, je me suis evidemment dit "t'as fait le con", on a discuté, j'ai fait mon beau parleur et mon seducteur car clairement je preferais ca que de faire le mec froid et que ce soit 10x plus désagréable, je l'ai embrassé, je lui ai peloté les seins, elle faisait au moins du F
on s'est baladé dans un parc, puis dans un bosqué, je l'ai enlacé contre un arbre on a fait un genre de levrettes debout au dessus des habits, je frottais ma bosse de calecon a son cul immense, elle mouillait tellement que son jean etait mouillé a l'entrejambe (peut etre la sueur nonobstant), elle m'a meme montré ses seins, ils étaient si gros que ca en était laid. Elle voulait pas le faire car elle etait vierge et j'ai pas forcé pour pas me sentir plus mal de la prendre pour une conne.
Ca se voyait qu'elle était déjà amoureuse en un apres midi.
A la fin de l'aprem j'ai dit que je reviendrais, j'ai pris ma caisse, elle me faisait salut sur le bord de la route, j'ai tracé, j'étais mal !
Apres j'étais censé aller dans les pyrénees avec mon velo faire de l'itinerant mais j'ai dormi 1 jour dans ma caisse, ça m'a foutu le bourdon d'etre solo, je suis allé à la plage (sur l'atlantique), puis je me suis arrete chez mes grands parents et j'ai passé l'été avec mes petis cousins chez mes grands parents
A cette période j'avais 2 meufs qui m'envoyaient des messages là où j'habitais l'année dont une vraiment pas mal + pleins de meufs de tinder + je lisais houellebecq je me regalais
Mine de rien, c'était un des plus beaux étés de ma vie
Le 17 janvier 2021 à 00:21:56 Lorodon a écrit :
Le 17 janvier 2021 à 00:18:35 AbitNastradamus a écrit :
Le 17 janvier 2021 à 00:12:06 Lorodon a écrit :
Le 17 janvier 2021 à 00:05:30 AbitNastradamus a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:45:53 Lorodon a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:30:34 AbitNastradamus a écrit :
l'auteur tu fais de la branlette intellectuelle et de la démagogie et tu le sais, pour cette raison j'ai même pas pris le temps de lire. La vie après la mort (réelle) peut exister, en effet, dans une certaine mesure, et je pourrais l'expliquer. Mais l'identité elle, qui est le fruit de notre conscience et de notre mémoire d'être un être distinct du monde, meurt à notre mort biologiqueTHIS
je fais parti de ceux qui pensent que en réalité on vie après la mort , mais pas de manière dont les religions le disent , en réalité on est des ondes, et on prend possession des corps vivants comme si c'était des machines ou des véhicules , et qu'à notre mort notre onde change de corps par conséquent on garde pas l'identité de notre corps précédent
vu comment fonctionne l'univers , la physique (surtout quantique) , etc.. ça serait l'explication la plus plausible pour comprendre pourquoi notre identité est tant reflété par notre corps biologique
ce que nous somme vraiment c'est des ondes , et cette théorie permet d'expliquer beaucoup de chose autant dans la science que dans les religion (qui ont toutes le même courant de pensé a ce niveau)
j'entretiens également un certain point de vue qui peut s'approcher du tien, meme si j'utiliserais plus volontiers le terme "energie". L'univers étant unilatéralement un composé d'energie, laquelle se conserve et se transforme, notre mort engendre la fin de notre identité, mais l'energie matérielle qui nous compose va évoluer, elle va retourner sous forme organique à la terre, va possiblement engendrer la vie d'un végétal, sera redigéré par un animal - et le cycle organique se perpetuant, il est possible que de la masse énergétique éparpillée naisse un nouvel être vivant, lequel ne sera plus rien de nous, d'un point de vue intellectuel, mais sera en partie de nous d'un point de vue matériel, énergetique, organique.
Et on est nous même la matière, en partie de nos ancêtres, en partie de la terre, en partie de la décomposition de corps animaux etc etc
On est une masse d'énergie organisée, et on se concoit comme un être vivant ayant existé seulement a notre naissance, car on ne se represente que la conscience et la forme finie corporelle que nous sommes.En ce sens on peut dire que à la fois, on est aussi éternel que l'existence, et à la fois, on est absolument mortel, d'un point de vue identitaire
Je valide totalement , nos points de vue se rejoignent bien et c'est ce qui est le plus logique a comprendre de tout ce "bordel" . les gens on tendance a voir les âmes ou les esprits de manière "hyper-dimensionnelle" alors qu'en gardant juste les pieds sur terre on peut voir les choses de manière plus réaliste et prouvée
on est effectivement des énergies éternelles (car tout marche avec l'énergie et les ondes dans l'univers), mais notre identité en soit , ce que nous somme aujourd'hui , a un temps de péremption . Donc notre mort est autant définitive que temporaire
c'est passionnant, et même si on saura jamais VRAIMENT qui a créer tout ça , je suis contant de faire parti de cette équation personnellement
Pour moi il n'y a pas de créateur, car l'existence "suffit" pour nous faire exister. J'essaie d'écrire un livre sur le sujet meme si je suis une feignasse, mais go mp stv
La question d'un créateur est effectivement très complexe et il faut prendre tout les contours de cette définition pour avoir vraiment un point du vue
par exemple le créateur de l'univers est-il un élément ?, une conscience ? , une réaction ? , il y a forcément quelque chose qui à créer tout ça qu'on pourrait qualifier de créateur , mais après reste a définir vraiment ce que c'est
vas-y go MP
pour moi l'existence a toujours existé, genre comme le dit Heidegger la question n'est pas "qu'est-ce qu'il y avait avant' mais plutot "pourquoi y a t'il qqchose plutot que rien"
Je ne crois pas a la création, à un instant originel de l'existence, pour moi l'existence a toujours été, sous une forme ou une autre
Sinon y aurait toujours eu que le néant
On ne peut pas raisonner d'une apparition dans du néant; c'est impossible. Meme l'idée d'un Dieu qui crée l'univers c'est assez dérisoire, puisque si Dieu existe, donc il fait partie des choses qui existent, il est "dans l'univers" puisque l'univers est tout ce qui existe, donc il ne l'a pas crée, a moins de s'être crée lui meme - ce qui est assez caustique
Ou alors il a toujours existé - donc l'existence a toujours existé - puisque si Dieu existe, l'univers existe en meme temps, donc Dieu n'a pas crée l'univers
Deus sive natura comme disait Spinoza - Dieu, l'univers, c'est la même chose. Je ne crois pas en Dieu, l'existence suffit
Par contre je crois a l'éternel retour des grecs, le mouvement d'expansion contraction de l'univers.
Apres ca c'est plus de l'astrologie, que se passera t'il quand la force de l'expansion aura fini sa course ? Un big crunch ? Un big freeze...
L'univers que nous concevons est il seulement un point de détail dans l'univers réel et total ? Probablement
Beaucoup de questions qui permettent de se sentir tout petit
Le fait de se sentir soumis
Le gout patheux sur la langue
Le gout de fer de cyprine qui a super mauvais gout
Le moment ou tu te releve et que t'as envie d'aller boire, tu vas a la salle de bain et tu te regarde dans la glace et tu sais que, au fond, l'enfant que tu étais n'aurait pas aimé que tu fasse ça
Le sentiment d'avoir rien a foutre là
Mais l'obligation sociale et ta croyance que c'est vraiment ce que tu veux qui te fait y retourner
Avec cette pensée qu'au fond, la vie est nulle, que tu ne sera jamais heureux car si meme un cuni te fais ressentir le vide angoissant qui habite ton existence tu ne t'en sortira jamais
Bref, rien n'est pire que le cuni
Le 17 janvier 2021 à 00:12:06 Lorodon a écrit :
Le 17 janvier 2021 à 00:05:30 AbitNastradamus a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:45:53 Lorodon a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:30:34 AbitNastradamus a écrit :
l'auteur tu fais de la branlette intellectuelle et de la démagogie et tu le sais, pour cette raison j'ai même pas pris le temps de lire. La vie après la mort (réelle) peut exister, en effet, dans une certaine mesure, et je pourrais l'expliquer. Mais l'identité elle, qui est le fruit de notre conscience et de notre mémoire d'être un être distinct du monde, meurt à notre mort biologiqueTHIS
je fais parti de ceux qui pensent que en réalité on vie après la mort , mais pas de manière dont les religions le disent , en réalité on est des ondes, et on prend possession des corps vivants comme si c'était des machines ou des véhicules , et qu'à notre mort notre onde change de corps par conséquent on garde pas l'identité de notre corps précédent
vu comment fonctionne l'univers , la physique (surtout quantique) , etc.. ça serait l'explication la plus plausible pour comprendre pourquoi notre identité est tant reflété par notre corps biologique
ce que nous somme vraiment c'est des ondes , et cette théorie permet d'expliquer beaucoup de chose autant dans la science que dans les religion (qui ont toutes le même courant de pensé a ce niveau)
j'entretiens également un certain point de vue qui peut s'approcher du tien, meme si j'utiliserais plus volontiers le terme "energie". L'univers étant unilatéralement un composé d'energie, laquelle se conserve et se transforme, notre mort engendre la fin de notre identité, mais l'energie matérielle qui nous compose va évoluer, elle va retourner sous forme organique à la terre, va possiblement engendrer la vie d'un végétal, sera redigéré par un animal - et le cycle organique se perpetuant, il est possible que de la masse énergétique éparpillée naisse un nouvel être vivant, lequel ne sera plus rien de nous, d'un point de vue intellectuel, mais sera en partie de nous d'un point de vue matériel, énergetique, organique.
Et on est nous même la matière, en partie de nos ancêtres, en partie de la terre, en partie de la décomposition de corps animaux etc etc
On est une masse d'énergie organisée, et on se concoit comme un être vivant ayant existé seulement a notre naissance, car on ne se represente que la conscience et la forme finie corporelle que nous sommes.En ce sens on peut dire que à la fois, on est aussi éternel que l'existence, et à la fois, on est absolument mortel, d'un point de vue identitaire
Je valide totalement , nos points de vue se rejoignent bien et c'est ce qui est le plus logique a comprendre de tout ce "bordel" . les gens on tendance a voir les âmes ou les esprits de manière "hyper-dimensionnelle" alors qu'en gardant juste les pieds sur terre on peut voir les choses de manière plus réaliste et prouvée
on est effectivement des énergies éternelles (car tout marche avec l'énergie et les ondes dans l'univers), mais notre identité en soit , ce que nous somme aujourd'hui , a un temps de péremption . Donc notre mort est autant définitive que temporaire
c'est passionnant, et même si on saura jamais VRAIMENT qui a créer tout ça , je suis contant de faire parti de cette équation personnellement
Pour moi il n'y a pas de créateur, car l'existence "suffit" pour nous faire exister. J'essaie d'écrire un livre sur le sujet meme si je suis une feignasse, mais go mp stv
Le 16 janvier 2021 à 23:45:53 Lorodon a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:30:34 AbitNastradamus a écrit :
l'auteur tu fais de la branlette intellectuelle et de la démagogie et tu le sais, pour cette raison j'ai même pas pris le temps de lire. La vie après la mort (réelle) peut exister, en effet, dans une certaine mesure, et je pourrais l'expliquer. Mais l'identité elle, qui est le fruit de notre conscience et de notre mémoire d'être un être distinct du monde, meurt à notre mort biologiqueTHIS
je fais parti de ceux qui pensent que en réalité on vie après la mort , mais pas de manière dont les religions le disent , en réalité on est des ondes, et on prend possession des corps vivants comme si c'était des machines ou des véhicules , et qu'à notre mort notre onde change de corps par conséquent on garde pas l'identité de notre corps précédent
vu comment fonctionne l'univers , la physique (surtout quantique) , etc.. ça serait l'explication la plus plausible pour comprendre pourquoi notre identité est tant reflété par notre corps biologique
ce que nous somme vraiment c'est des ondes , et cette théorie permet d'expliquer beaucoup de chose autant dans la science que dans les religion (qui ont toutes le même courant de pensé a ce niveau)
j'entretiens également un certain point de vue qui peut s'approcher du tien, meme si j'utiliserais plus volontiers le terme "energie". L'univers étant unilatéralement un composé d'energie, laquelle se conserve et se transforme, notre mort engendre la fin de notre identité, mais l'energie matérielle qui nous compose va évoluer, elle va retourner sous forme organique à la terre, va possiblement engendrer la vie d'un végétal, sera redigéré par un animal - et le cycle organique se perpetuant, il est possible que de la masse énergétique éparpillée naisse un nouvel être vivant, lequel ne sera plus rien de nous, d'un point de vue intellectuel, mais sera en partie de nous d'un point de vue matériel, énergetique, organique.
Et on est nous même la matière, en partie de nos ancêtres, en partie de la terre, en partie de la décomposition de corps animaux etc etc
On est une masse d'énergie organisée, et on se concoit comme un être vivant ayant existé seulement a notre naissance, car on ne se represente que la conscience et la forme finie corporelle que nous sommes.
En ce sens on peut dire que à la fois, on est aussi éternel que l'existence, et à la fois, on est absolument mortel, d'un point de vue identitaire
Le 16 janvier 2021 à 23:47:37 Vilaine-Lulu a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:44:48 AbitNastradamus a écrit :
J'ai lu, c'est encore plus pathétique que ce que je croyais. Si tu n'étais, mon cher ami, qu'une succession de perceptions distinctes, tu n'aurais pas la capacité d'écrire et de raisonner, car le fait de raisonner dépend déjà de la connaissance de la langue, donc d'un apprentissage, donc de la mémoire. Le point que tu oublies fondamentalement ici c'est que la notion de mémoire. Cette succession de perceptions en effet sont toutes impermanentes, mais elles ne sont pas à chaque fois une mort de l'être, puisque chaque perception est inscrite, mémorisée, et qu'elle permet à l'être de construire son identité, qui n'est autre que le fruit de nos expériences passées
Je me souviens du moment où j'ai lu ton texte alors que je ne suis pas en train de le faire présentement, l'instant est mort certes, mais je ne suis pas mort avec lui.Donc dire les perceptions sont distinctes les unes des autres donc on vit on meurt on vit on meurt, c'est absurde, puisque c'est précisément la possibilité d'inscrire de manière mémorielle des informations du passé qui permet notre identité - et donc notre conscience.
Cela c'est vrai, mais pas dans l'absolu, puisque ce que tu es comprend aussi ta mémoire, qui a changé entre deux instants.
En vérité, la question de la nature continue ou discontinue du temps et de la conscience est une question qui a été traitée en long, en large, et en travers, et qui pose un certain nombre de paradoxes. Il n'y a pas de solution évidente. La solution est "ailleurs"
Le 16 janvier 2021 à 23:47:37 Vilaine-Lulu a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:44:48 AbitNastradamus a écrit :
J'ai lu, c'est encore plus pathétique que ce que je croyais. Si tu n'étais, mon cher ami, qu'une succession de perceptions distinctes, tu n'aurais pas la capacité d'écrire et de raisonner, car le fait de raisonner dépend déjà de la connaissance de la langue, donc d'un apprentissage, donc de la mémoire. Le point que tu oublies fondamentalement ici c'est que la notion de mémoire. Cette succession de perceptions en effet sont toutes impermanentes, mais elles ne sont pas à chaque fois une mort de l'être, puisque chaque perception est inscrite, mémorisée, et qu'elle permet à l'être de construire son identité, qui n'est autre que le fruit de nos expériences passées
Je me souviens du moment où j'ai lu ton texte alors que je ne suis pas en train de le faire présentement, l'instant est mort certes, mais je ne suis pas mort avec lui.Donc dire les perceptions sont distinctes les unes des autres donc on vit on meurt on vit on meurt, c'est absurde, puisque c'est précisément la possibilité d'inscrire de manière mémorielle des informations du passé qui permet notre identité - et donc notre conscience.
Cela c'est vrai, mais pas dans l'absolu, puisque ce que tu es comprend aussi ta mémoire, qui a changé entre deux instants.
En vérité, la question de la nature continue ou discontinue du temps et de la conscience est une question qui a été traitée en long, en large, et en travers, et qui pose un certain nombre de paradoxes. Il n'y a pas de solution évidente. La solution est "ailleurs"
Je comprends ce que tu veux dire, mais le changement permanent n'engendre pas une inexistence du moi. Ce n'est pas parce que j'evolue, que ce que j'étais il y a secondes n'existe plus : il a évolué, mais il existe encore en moi. Il faut cesser de se représenter qu'un étant doit être figé pour être : imaginons un brun d'herbe : il est defini, est existant, pourtant il pousse - faut il pour autant dire qu'il n'existe jamais car il est toujours différent ? Non, car du point de vue de sa couleur, sa matière, ses principes de croissance, il n'a pas évolué. Les humains ne sont pas très différents, il y a une forme de programmation interne qui subsiste à nos évolutions instantannées perpetuelles et qui nous définissent comme existants de la naissance à la mort.
Le 16 janvier 2021 à 23:40:30 SoldatGaulois55 a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:35:39 AbitNastradamus a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:32:53 SoldatGaulois55 a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:30:34 AbitNastradamus a écrit :
l'auteur tu fais de la branlette intellectuelle et de la démagogie et tu le sais, pour cette raison j'ai même pas pris le temps de lire. La vie après la mort (réelle) peut exister, en effet, dans une certaine mesure, et je pourrais l'expliquer. Mais l'identité elle, qui est le fruit de notre conscience et de notre mémoire d'être un être distinct du monde, meurt à notre mort biologiqueC'est vrai que dire que je fais de la branlette car tu comprends pas mon propos c'est pas démagogique
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/6/1610830860-150.jpg non mais déjà tes bannières spoil sont mal organisées et sont inutiles donc ca donne pas envie de lire
À cause de pauvres bannière tu veux pas lire ? Pitoyable.
ensuite j'ai bien compris en lisant en diagonale que tu galvaudais les termes de vie et mort tels qu'ils sont compris par tous et faisait ton aw en te gaussant d'emettre une théorie fumeuse qui n'a rien à répondre à l'angoisse existencielle des hommes
Je parle de philosophie. Donc je m'en fous de votre compréhension non-philosophique de ces termes
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/6/1610830860-150.jpg
tu es précisément tout ce que je deteste en philosophie : l'usage du concept pour lui même détourné de la vie et de l'existence réelle. Comment si la vie etait une addition de concepts et qu'ils étaient maniables de manière mathématique.
Tu n'as rien d'un philosophe mon pauvre, tu es au mieux un technicien de l'absurde
J'ai lu, c'est encore plus pathétique que ce que je croyais. Si tu n'étais, mon cher ami, qu'une succession de perceptions distinctes, tu n'aurais pas la capacité d'écrire et de raisonner, car le fait de raisonner dépend déjà de la connaissance de la langue, donc d'un apprentissage, donc de la mémoire. Le point que tu oublies fondamentalement ici c'est que la notion de mémoire. Cette succession de perceptions en effet sont toutes impermanentes, mais elles ne sont pas à chaque fois une mort de l'être, puisque chaque perception est inscrite, mémorisée, et qu'elle permet à l'être de construire son identité, qui n'est autre que le fruit de nos expériences passées
Je me souviens du moment où j'ai lu ton texte alors que je ne suis pas en train de le faire présentement, l'instant est mort certes, mais je ne suis pas mort avec lui.
Donc dire les perceptions sont distinctes les unes des autres donc on vit on meurt on vit on meurt, c'est absurde, puisque c'est précisément la possibilité d'inscrire de manière mémorielle des informations du passé qui permet notre identité - et donc notre conscience.
Le 16 janvier 2021 à 23:32:53 SoldatGaulois55 a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 23:30:34 AbitNastradamus a écrit :
l'auteur tu fais de la branlette intellectuelle et de la démagogie et tu le sais, pour cette raison j'ai même pas pris le temps de lire. La vie après la mort (réelle) peut exister, en effet, dans une certaine mesure, et je pourrais l'expliquer. Mais l'identité elle, qui est le fruit de notre conscience et de notre mémoire d'être un être distinct du monde, meurt à notre mort biologiqueC'est vrai que dire que je fais de la branlette car tu comprends pas mon propos c'est pas démagogique
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/6/1610830860-150.jpg
non mais déjà tes bannières spoil sont mal organisées et sont inutiles donc ca donne pas envie de lire
ensuite j'ai bien compris en lisant en diagonale que tu galvaudais les termes de vie et mort tels qu'ils sont compris par tous et faisait ton aw en te gaussant d'emettre une théorie fumeuse qui n'a rien à répondre à l'angoisse existencielle des hommes
j'espere que c'était prémonitoire
apres j'ai essayé de relancer le truc en ré-imaginant ce qui se passerait, mais j'étais moins dedans, il y avait pas la folie des debuts
J'étais dans un ascenseur, une fille rentre dans l'ascenceur, blonde, de taille petite mais normal pour une fille, les cheveux qui arrivent aux épaules, pas forcement une fille mega belle mais juste mimi, le genre avec un regard rieur. Elle est en train d'enregistrer un message vocal sur son téléphone et elle croise mon regard et là genre elle a un bug du coup elle se met a ré-enregistrer le message et moi je rigole car la situation était marrante.
Et du coup elle me regarde en mode venere mais pour rigoler et me tutoies genre "mais arrete !"
Et genre on s'est mis à se regarder comme si c'était genre évident, on s'est foudroyé du regard quoi, et apres elle m'a tourné le dos en mode"faut que ca se voit que je rougis / faut que j'ai l'air de n'en avoir rien a foutre"
Et moi je me suis remis dans son champ de vision et je lui ai dit "faut absolument que je te revois"
elle m'a repondu "quoi ? On se connait meme pas"
Je lui ai repondu "je sais mais quand meme faut que je te revoie, je suis obligé de te revoir"
et elle m'a repondu "pourquoi"
je lui ai dit "tu sais pourquoi, je sais que tu sais, je l'ai vu dans ton regard"
elle a souri du coin de la bouche et faisait genre "je sais pas" puis elle est sortie et c'est là que je me suis rendu compte que c'était un rêve de fin de nuit, et que j'étais juste dans mon lit a esperer que quelque chose de bien m'arrive. Mais c'était un si beau songe quand même.