Normal c'est le mardi.
La dernière fois il y avait Tehe et Claude + scandale donc ça passait.
Plus maintenant.
Et j'imagine qu'ils font encore des épisodes coupés en deux.
Au travail vous êtes pour choisir les gens pour leurs compétences.
Mais au foot non ?
S'ils choisissent les joueurs en fonction de leurs compétences uniquement je ne vois pas le problème.
Depuis quand les pro Z sont pour les quotas ?
Le 04 avril 2022 à 22:25:30 :
Psyhodelik a fait sa vidéo sur ITP, ça va prendre de l’ampleur, difficile d’étouffer ça maintenant…
Ça aura l'effet inverse.
À force de faire des vidéos tous les jours, on passe vite à autre chose.
Alors.
En termes de constance de qualité de dessin.
D'agencement des cases.
De chorégraphies.
De fluidité de la lecture.
Du rythme du scénario/gestion de la tension.
Dragon Ball encule Naruto.
Notons aussi que Dragon Ball n'a pas raté sa fin.
Tandis que dans Shippuden, l'arc de la guerre qui s'étale sur des centaines de chapitres, est trop long, loin de l'esprit de ce qu'était l'oeuvre avant et le message véhiculé changé brusquement jusqu'à renier ce qui a été transmis auparavant.
On va me rétorquer "Mais Naruto c'est plus sérieux, plus complexe que Dragon Ball".
Ce n'est en rien une qualité, mais un choix, une vision de ce qu'on souhaite appliquer à son œuvre. C'est par la suite qu'on voit si cette vision a été maîtrisé ou non.
De plus ce choix de tout complexifié et de vouloir faire des flashbacks à tout va pour expliquer le passer d'un personnage a souvent une répercussion négative sur le rythme de l'oeuvre. Personne ne peut nier que Naruto est exempté de ce défaut.
En fait, en termes de manga (ou de BD tout simplement), Dragon Ball est 10 fois plus maîtrisé que Naruto.
Toriyama avait aussi plus d'expérience, donc c'est en quelques sortes normal.
Attention : Naruto reste un très bon manga. Sa principale force, ce sont les messages qu'il transmet à travers ses personnages. C'est ce pourquoi il est autant apprécié. Et c'est d'autant plus dommage quand on sait que le dernier arc existe, car il vient balayer des messages fondamentaux de l'oeuvre d'un revers.
On est d'accord que c'est l'université de Genève ?
C'est l'Evergreen de France j'ai l'impression.