Bordel c'est nul
Pour moi rien ne vaut le premier Battle Royale, celui de 2000
Le 01 octobre 2021 à 18:50:02 :
Le 01 octobre 2021 à 18:44:02 :
Le 01 octobre 2021 à 18:42:36 :
les golems "ouah il est trop courageux"en attendant les frontières resteront grandes ouvertes comme le cul d'une putain
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631220952-jesussmartassmorpheus.gif Ouais mais ça, le jeune Olivier n'y peut foutrement rien malheureusement
si il avait de l'amour propre il aurait pas foutu les pieds là bas, à défaut d'être un cuck il reste un clown qui espère quelque chose de la justice
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631220952-jesussmartassmorpheus.gif
Et s'il voulait réveiller le système en sachant que ses propos seraient repris dans la presse ?
Le 01 octobre 2021 à 18:41:52 :
Lemonde ce torchon qui le présente comme un fou furieux alors qu'il énonce des vérités
Arrête sérieux, moi tout ce que je vois c'est une transcription de ce qui s'est dit et rien de plus
Le 01 octobre 2021 à 18:42:36 :
les golems "ouah il est trop courageux"en attendant les frontières resteront grandes ouvertes comme le cul d'une putain
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631220952-jesussmartassmorpheus.gif
Ouais mais ça, le jeune Olivier n'y peut foutrement rien malheureusement
Procès des attentats du 13-Novembre : un rescapé du Carillon venu « régler des comptes avec de minables petits démons »
Mercredi, à la barre, Olivier a laissé éclater sa colère et lu un texte de cinq minutes en forme de diatribe. La tension est montée d’un cran dans la salle d’audience.
Par Henri Seckel
Publié hier à 11h03, mis à jour hier à 17h30
Temps deLecture 3 min.
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Il a fallu quinze secondes pour comprendre que la colère débordante d’Olivier, arrivé d’un pas décidé à la barre, avait des chances de faire déraper l’audience, mercredi 29 septembre. Ce trentenaire blessé au bras gauche en fuyant la terrasse du Carillon n’avait « pas vraiment envie de venir », mais il le « devai[t] » à Sébastien, l’ami qui, à sa table, a été tué de sept balles de kalachnikov.
Des balles de kalachnikov, dans cette salle d’audience, « on ne sait pas ce que ça fait », dit-il d’un ton sec. Alors il montre. Bras gauche pointé comme une arme vers le box des accusés, bouche collée au micro qui sature, il hurle : « Sept balles, ça fait “BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM !” » La salle sursaute, cligne des yeux à chaque coup de feu. « Voilà, ça fait ça, sept balles. Ça détruit quelqu’un. Il a fallu quatre jours pour reconstituer son corps, en bouchant les trous avec de la cire. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Au procès des attentats du 13-Novembre, le témoignage délicat et bouleversant de Maya, rescapée du Carillon
Olivier poursuit. Il a écrit un texte, pour « régler des comptes avec de minables petits démons », dont la lecture ne fera jamais baisser la tension que son entrée en matière a instaurée, au contraire. Le récit des faits laisse rapidement place à la diatribe. Personne, jusqu’alors, n’avait été aussi véhément à la barre.
Il cible Valls, la France
Le jeune homme s’en prend aux « guerriers de pacotille qui ont le cerveau grillé par le cannabis », à l’ancien premier ministre, « Manuel Valls, incapable de protéger la France contre l’afflux de migrants syriens dans lesquels se cachaient les terroristes », et à la France elle-même, « ventre mou de l’Occident, une nation qui a renoncé à tout », et « vend des armes au Qatar et à l’Arabie saoudite, qui ont financé l’Etat islamique ».
Les mots les plus lourds sont pour « M. Abdeslam qui, soyons clairs, n’est rien d’autre qu’une petite racaille qui cherche à magnifier sa pauvre existence en faisant croire qu’il est un guerrier. J’aurais préféré mille fois qu’il se fasse péter en se ratant comme son frère [Brahim]. On aurait tous gagné du temps ».
« La porte du dialogue doit toujours rester ouverte », avait osé le principal accusé, une semaine plus tôt. « S’il reste un peu d’honneur dans ce pays, répond Olivier en s’adressant au président de la cour Jean-Louis Périès, n’ouvrez jamais la porte au dialogue avec ce cancer qu’est l’islamisme. Quand on est malade, on ne dialogue pas avec ses métastases. On les combat et on les écrase. » La diatribe a duré cinq minutes.
Les avocats outrés
« Bien, on va revenir un peu sur les faits », tente le président. Trop tard. Les bancs de la défense s’agitent, on ne saisit pas tout des vifs échanges hors micro, mais on devine que certains propos n’ont pas été du goût de l’avocate de Salah Abdeslam, Olivia Ronen, à qui Olivier lance, sans ciller : « Il faut bien choisir ses clients, parce qu’on finit par leur ressembler. »
L’avocate de Salah Abdeslam, Olivia Ronen, à Paris, le 29 septembre 2021.
L’avocate de Salah Abdeslam, Olivia Ronen, à Paris, le 29 septembre 2021. JEAN-LUC NAVETTE POUR « LE MONDE »
Le ton monte, chacun se coupe la parole, on frôle la suspension d’audience. « J’ai énormément de mal à laisser passer les insultes et les invectives personnelles qui troublent la sérénité des débats, s’agace Me Ronen.
– Alors je compte sur vous pour que votre client modère aussi ses propos, réplique le président. Si un homme dit “ces terroristes sont mes frères” alors qu’on vient de voir des images où des gens sont abattus froidement, il ne faut pas s’étonner que certaines parties civiles tiennent des propos virulents à la barre. »
« On ne peut tolérer d’insultes dans salle d’audience, insiste Martin Vettes, second avocat de Salah Abdeslam.
– Il n’y en a pas eu !, répond l’avocat d’Olivier.
– “Minable petit démon”, “racaille”, c’est pas des insultes, confrère ? »
C’était le deuxième jour consacré aux dépositions de parties civiles. On en a entendu vingt-cinq ; plus de 300 sont encore attendues à la barre.
Le 01 octobre 2021 à 18:27:48 :
Un abonné à ce noble journal qu'est Le Monde peut poster la suite de l'article ?
Attends, j'envoie
Le 01 octobre 2021 à 18:21:39 :
Une diatribe réaliste qui ne réveillera pas l'encéphalogramme plat des gauchistes, pas plus qu'elle ne conduira notre classe politique sur le banc des accusés
Ca a provoqué un petit bordel dans la salle d'audience mais c'est tout, malheureusement
Le 01 octobre 2021 à 18:17:07 :
PitoyableAu passage ni le Qatar ni l’AS n’ont armé ou fiancé l’EI, qu’il ferme sa gueule au lieu de faire son complotiste
On sait très bien qu'ils jouent double-jeu ces bâtards Ce ne sont pas les seuls, certes, on le fait bien nous aussi, mais c'est comme ça
Le 01 octobre 2021 à 18:16:22 :
Rapport avec le Cannabis ?
Le rapport c'est que c'est des racailles de cité qui absorbent du bédo en grande quantité, faut pas chercher plus loin
D'ailleurs ça puait bien le shit dans la bagnole d'Abdeslam quand il s'est enfui en Belgique ce soir-là, les gendarmes qui l'ont contrôlé lui ont même dit de ralentir un peu sur le oinj avant de le laisser passer
Le 01 octobre 2021 à 18:10:20 :
Des balles de kalachnikov, dans cette salle d’audience, « on ne sait pas ce que ça fait », dit-il d’un ton sec. Alors il montre. Bras gauche pointé comme une arme vers le box des accusés, bouche collée au micro qui sature, il hurle : « Sept balles, ça fait “BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM ! BOUM !” » La salle sursaute, cligne des yeux à chaque coup de feu. « Voilà, ça fait ça, sept balles. Ça détruit quelqu’un. Il a fallu quatre jours pour reconstituer son corps, en bouchant les trous avec de la cire. »
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480030907-1475859478-picsart-10-07-06-55-05.png
Dommage qu'on puisse pas voir la vidéo avant 2071
Le jeune homme s’en prend aux « guerriers de pacotille qui ont le cerveau grillé par le cannabis », à l’ancien premier ministre, « Manuel Valls, incapable de protéger la France contre l’afflux de migrants syriens dans lesquels se cachaient les terroristes », et à la France elle-même, « ventre mou de l’Occident, une nation qui a renoncé à tout », et « vend des armes au Qatar et à l’Arabie saoudite, qui ont financé l’Etat islamique ».
Les mots les plus lourds sont pour « M. Abdeslam qui, soyons clairs, n’est rien d’autre qu’une petite racaille qui cherche à magnifier sa pauvre existence en faisant croire qu’il est un guerrier. J’aurais préféré mille fois qu’il se fasse péter en se ratant comme son frère [Brahim]. On aurait tous gagné du temps ».
« La porte du dialogue doit toujours rester ouverte », avait osé le principal accusé, une semaine plus tôt. « S’il reste un peu d’honneur dans ce pays, répond Olivier en s’adressant au président de la cour Jean-Louis Périès, n’ouvrez jamais la porte au dialogue avec ce cancer qu’est l’islamisme. Quand on est malade, on ne dialogue pas avec ses métastases. On les combat et on les écrase. » La diatribe a duré cinq minutes.
Je faisais ma première communion, normal. Au moment où c'est mon tour, le prêtre me présente l'hostie en marmonnant un truc en latin puis il lève la tête vers moi, et là il ouvre des grands yeux
Et il me dit : "Seigneur, mais tu es hideux ! Ta laideur est l'oeuvre du Malin" et il a brandi sa grosse croix en or au-dessus de ma tête en criant : "Hors de ma vue, Satan !"
Je me suis enfui en pleurant C'est peut-être la cause de mon pucelage à 29 ans
S'il est gay, regarde les principaux sites de rencontres et d'applis gay, si tu le trouves c'est que tu peux y aller (IRL hein, pas via l'appli)
Sinon... bonne chance