Le 14 septembre 2021 à 10:23:21 :
Des milliards oui, les prévisions démographiques tablent sur 4 milliards d’africains en 2100 alors que même avec les conditions climatiques et alimentaires actuels ils ont déjà du mal
Inutile de préciser où tous ces gens vont se ruer au cours du XXIème siècleL'avenir se sera dans le grand nord canadien, la Sibérie ou même une partie de l’Antarctique
doublement de la population africaine mais les rendements agricoles seront divisé par 2
Le 14 septembre 2021 à 10:20:46 :
Faut se tailler en chine ou en russie avant 2050
La chine sera plus impacté par le changement climatique que l'europe
Le 14 septembre 2021 à 10:19:48 :
Youpi
Baisse de la production agricole, pénurie d'eau, hausse du niveau de la mer... Le réchauffement climatique pourrait pousser 216 millions de personnes à migrer d'ici 2050, avertit la Banque mondiale. Mais "si les pays commencent maintenant à réduire les gaz à effet de serre, les écarts en matière de développement, à restaurer les écosystèmes vitaux et aider les gens à s'adapter", cette migration pourrait être beaucoup moins forte que prévu.
La Banque mondiale tire la sonnette d'alarme sur le réchauffement climatique. Jusqu'à 216 millions de personnes pourraient migrer d'ici 2050 dans le monde pour fuir son impact, selon l'institution de Washington. Elle a publié un rapport complétant le premier du genre dévoilé en 2018 qui s'était alors focalisé sur trois régions du monde : l'Afrique subsaharienne, l'Asie du sud et l'Amérique latine. Elle avait alors projeté 143 millions de "migrants climatiques" d'ici 2050 pour ces parties du monde en développement.
Cette fois, la Banque mondiale a ajouté trois autres régions : l'Asie de l'Est et le Pacifique, l'Afrique du nord ainsi que la partie regroupant Europe de l'est et Asie centrale, afin d'élaborer "une estimation mondiale", explique Juergen Voegele, vice-président de la Banque mondiale chargé du développement durable dans le rapport. "Il est important de noter que cette projection n'est pas inscrite dans le marbre", a-t-il commenté. "Si les pays commencent maintenant à réduire les gaz à effet de serre, les écarts en matière de développement, à restaurer les écosystèmes vitaux et aider les gens à s'adapter, la migration climatique pourrait être réduite d'environ 80%, à 44 millions de personnes d'ici 2050", explique-t-il.