Le 20 janvier 2022 à 15:40:03 :
Euh ouais, et ? On entend parler d'agressions racistes et de racisme systémique mais pas de plaintes pour racisme en soi, donc je ne suis pas certain de saisir l'enjeu.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496496929-tomokkoo.png
Non on combine des faits divers qui certe méritent d'être médiatisé mais on augmente leur visibilité à dessin. Les chiffres des plaintes c'est un des argument qui permet de justifier cette idées que le racisme monte au-delà du fait divers. Donc ça aide la narrative du racisme systémique entre autre.
Cette info relayé partout est full bullshit, je vous explique comment fonctionne l'arnaque (un flic m'a lui même expliqué) :
L'état demande depuis plusieurs années aux fonctionnaires de police de recenser absolument toutes les plaintes de racisme, qu'elles soient vérifiées ou non, vous pouvez aller demain au commissariat dire que vous avez été victime d'un acte raciste votre plainte sera comptabilisé sans être vérifié par personne, c'est le cas des asso anti-raciste qui déposent des plaintes quotidiennement (personne ne peut vérifier la légitimité de ces plaintes pourtant elles sont bien prises en compte dans les chiffres officiels).
Ces chiffres seront ensuite utilisés par les partis politiques que vous devinez à des fins électorales et les golem votent en masse
aucun discours rationnel, pédagogue, sourcé et documenté n'arrivera a les faire changer d'avis car ils se bornent dans leur complotisme maladif qui fait passer un argumentaire rationnel et sourcé pour une "preuve de la propagande médiatique"
Clé déjà admet que la science se contredit énormément dans pleins pleins de domaines. Et justement la méthode scientifique c'est aussi chercher toutes les contradictions possibles. Je comprend bien qu'individuellement beaucoup de gens sont totalement bornés mais ça c'est vrai pour les pro comme les anti. Sans contradictions n'importe quel pouvoir ou entité est libre de dire et faire de la merde, les contradicteurs sont nécessaires au fonctionnement d'une société sur le long terme. D'ailleurs ces camps c'est une création médiatique qui n'admet aucun entre deux et qui bloque la pensé en binaire si on y accorde autant de sens que tu semble en donner.
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Le 20 janvier 2022 à 15:20:42 :
Le 20 janvier 2022 à 15:15:24 :
Le 20 janvier 2022 à 15:08:52 :
Croire qu'il y a eu une crise sanitaire en 2k22Tout est bidon hein
Même depuis 2019
- cobid = plan de la CIA pour reprendre le contrôle
- a permis les élections par correspondance aux USA
- a permis à la chine de se débarasser de Trump
- a permis de mettre fin aux GJ en France
- a permis aux 6 premieres fortunes mondiales de doubler leur fortune en 3 ans
- a permis de réduire les libertés de la populace
- a permis aux labos pharmaceutiques de s'enrichir comme jamais2% d'hospitalisation selon le rapport de l'ATIH
Les gilets jaunes c'était fini bien avant le covid
Nope y'avait un regain de mobilisation jusqu'au confinement.
Mais c'était plus que des manifs donc plus très utile... contrairement aux blocages.
Le 20 janvier 2022 à 15:12:19 :
Le vent tourne
Putain oui enfin
Le 20 janvier 2022 à 15:15:59 :
le vrai visage des provax :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/fake-news-agression-a-la-sortie-dun-centre-de-vaccination
Des malades
Le 19 janvier 2022 à 14:59:41 :
Aiekilluhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1488915523-issou.png
Pire vendu lui une grosse pute même si c'est la norme dans le youtubeuse game.
Le 19 janvier 2022 à 13:32:09 :
Le 19 janvier 2022 à 13:29:13 :
Le 19 janvier 2022 à 13:27:44 :
Oubliez pas qu'à la place des boomers vous auriez pris EXACTEMENT les mêmes décisions.Ceci enfin pas tous mais beaucoup. Au final énormément d'entre nous rêveraient d'être à leur place.
Non. J'aurais pas ouvert les vannes de l'immigration ni sacrifié des gamins. Ni défendu la décadence totale de mai 1968. C'est une génération pourrie c'est tout.
T'en sais rien du tout, époque différente, pensé différente. De plus ce ne sont pas "les boomers" qui contrôlaient la politique de la France mais uniquement l'oligarchie et l'état ce qui représente qu'une petite partie de la population.
Le 19 janvier 2022 à 13:27:44 :
Oubliez pas qu'à la place des boomers vous auriez pris EXACTEMENT les mêmes décisions.
Ceci enfin pas tous mais beaucoup. Au final énormément d'entre nous rêveraient d'être à leur place.
Je suis mitigé car d'un côté oui les plus pro restrictions sont les boomers...
Tandis que les plus anti restrictions qui se sont bougés le cul... étaient des boomers aussi.
Tandis que les jeunes ont rien fait, pas mouftés, sont plus vaccinés que les vieux au final et semblent complètement apathiques.
Donc je suis contrasté mais oui les boomers cassent les couilles.
Ayaa donc les médias vont nous faire un tir de barrage sur le racisme maintenant que le covid se tasse ?
Putain d'enculés de diviseurs
En vrai je vais justifier mon YRR
En gros la Russie peut rouler sur l'Ukraine easy dans le sens ou personne fera la WW3 pour l'Ukraine je pense. Les USA ont pas les moyens de se déployer en nombre suffisant à la porte de la Russie pour une guerre conventionelle.
L'Europe pourrait aider mais bon... qui va se ruiner pour ça ?
Donc ça flex
Du côté Russe la prise du Donbas + Crimé a pas mal coûté à Poutine en popularité mais surtout économiquement. Une guerre c'est cher et une nouvelle serait très très coûteuse.
En revanche ils sont tellement sanctionnés économiquement que bon maintenant ils osef un peut de ces sanctions.
Russie était l'URSS et avait des territoire partout dont l'Ukraine. À l'époque un des président de l'URSS a donné la Crimée et d'autres régions à l'Ukraine.
Pendant la guerre Froide la Russie (URSS) est en cimpétition avec les USA et donc les USA essayent comme la Russie de retourner des pays pour encercler l'adversaire.
L'URSS chute, gros bordel, les USA arrivent à prendre beaucoup de terrain mais la Russie garde certains pays anciennement membre de l'URSS dans sa sphère d'influence notament l'Ukraine par lequel passe le gaz russe et qui a des ports stratégiques très important (la Crimée est un accès stratégique vers la Méditerranée)
Les USA essayent de retourner l'Ukraine contre la Russie plusieurs fois depuis les 2000 et y arrive finalement avec la révolution Ukrainienne de 2014. La révolution chasse le dirigeant pro Russe.
La Russie envoie des hommes sous faux drapeau et reprend la Crimé (officiellement) et le Donbas (pas officiel). Les USA pas content du tout.
Depuis c'est la guerre dans l'est (Donbas) mais ça n'avance pas.
Aujourd'hui les USA veulent renforcer leur position rn Ulraine comme les Russes donc ça chauffe mais je pense que YRR
Le 19 janvier 2022 à 12:36:57 :
Il se passe quoi en ce moment pour que tous les pays rejettent le pass en même temps ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/6/1618615265-ahi-gros-zoom.jpg
Ils préparent le memory hole du covid
Le 19 janvier 2022 à 09:42:56 :
Le 19 janvier 2022 à 09:38:51 :
Voila ce qu’il se passe quand on fait tourner la planche à billets.A ce rythme on va se balader avec des brouettes de billets pour aller s’acheter une baguette
Tout dépend de comment tu utilises ta planche, mais c'est clair qu'injecter des billions dans les marchés financiers en priant pour que ça ne se répercute pas sur l'économie réelle (oups les investisseurs institutionnels spéculent sur l'immobilier et les futures des matières premières) c'est pas une bonne idée.
Enfin, sauf si tu détiens déja des actifs, alors dans ce cas c'est banco
Non clé c'est à 100% de la merde surtout quand tu possède même pas la planche. Le quantitative easing c'était le début de la fin (années 70)