Messages de AssumerInceste

« Alors, dis-moi, on t’avait déjà enculée, avant que je ne t’enfonce mon mandrin au creux des reins ? » lui demandai-je à nouveau, tout en continuant à marteler ses fesses de mes amples pénétrations. Elle ne répondit rien, continuant à gémir plaintivement sous le choc des coups que je lui infligeais. « Tu as mal au cul ? » l’interrogeai-je avec sollicitude, tout en adoucissant un peu la fermeté de mes poussées entre ses fesses. Elle souffla un « oui » grimaçant, accompagné de larmes : elle était vierge de l’anus, et j’étais en train de lui infliger un dépucelage peu empreint de délicatesse et qui devait à coup sûr passablement l’éprouver. Mais il était clair dans mon esprit que ceci n’était qu’un péripétie anecdotique et qu’une seule chose importait : investir le cul de ma mère, en faire un instrument de jouissance et accroître par là-même les modalités de nos rapports charnels.
Pour finir, je me mis à l’enculer à une cadence effrénée, jusqu’à ce que toute ma semence jaillisse dans ses intestins. Simultanément, je lui débitai un chapelet d’injures : « Catin ! salope ! Tu es vraiment une enculée ! Une chienne anale ! Un réceptacle à foutre ! » Elle ne cessa de geindre et de crier, durant cette folle agitation, témoignant ainsi de la souffrance physique et morale que représentait cet enculage brutal. Alors, prenant son clitoris entre mon pouce et mon index, je pinçai très fort celui-ci, jusqu’à faire hurler ma mère, étalée au milieu des plats et des assiettes, dont deux exemplaires chutèrent bruyamment à terre, se brisant en mille morceaux.
Après cela, je me retirai de ses fesses et quittai la cuisine, abandonnant de façon méprisante ma mère, avachie au milieu de sa vaisselle sale, en train de gémir et pleurnicher. Son trou du cul venait d’être mien, et elle aurait dorénavant à me subir également par cet orifice.

(à suivre)

Je bandais très fortement, car cette pénétration anale allait être une étape nouvelle dans la dépravation caractérisant nos relations. Le cul de ma mère était devant mes yeux, bien offert et ouvert par sa propriétaire elle-même. Je voulais solenniser l’instant, afin qu’elle s’associe sans ambiguïté à sa sodomie et qu’elle ne vienne pas ultérieurement prétendre que je l’y avais contrainte par la force physique ; aussi lui dis-je :
« - Je vais enfoncer ma pine dans ton cul, je vais t’enculer, te défoncer le fion. Tu en es d’accord, n’est-ce pas ? Demande-moi de t’enculer !
- Encule-moi », me répondit-elle timidement, ce que je lui fis répéter plusieurs fois consécutives jusqu’à obtenir un énoncé clairement formulé.
Alors, avec lenteur, j’introduisis mon mandrin tendu entre ses fesses. Mon gland fit pression sur la rondelle et s’insinua avec détermination, ce qui détermina une grimace de ma mère. Je n’en assurai pas moins ma prise, en introduisant cette partie de mon pénis dans son anus serré, déclenchant un gémissement de sa part.
« - Tu acceptes toujours que je t’encule ? lui demandai-je.
- Ca me fait mal ! », me répondit-elle dans un soupir où transparaissait la douleur.
« - Ca, je veux bien te croire. Mais, bon ! tu n’en acceptes pas moins que je t’encule ? que j’enfonce la totalité de mon chibre dans ton trou du cul ? » lui demandai-je, en usant d’un vocabulaire volontairement grossier.
« - Oui », gémit-elle dans une grimace.
Fort de cet acquiescement de confirmation, j’enfournai le reste de mon engin dans le fourreau de son fondement, provoquant un hurlement de douleur de la part de ma mère : son cul était, après son con, devenu mien ! Bien emboîté en elle, je savourai cet instant de possession, inespéré peu de jours auparavant.
Puis l’enculage actif suivit. Ma pine entrait et sortait, sortait et entrait du cul maternel, chaque mouvement d’aller et retour s’accompagnant du bruit de clapotement de l’eau de l’évier, dans laquelle baignaient les seins de ma mère, s’accompagnant aussi des gémissements de celle-ci, consécutifs à l’envahissement de ses entrailles : elle devait bougrement « dérouiller » ! Ma verge était luisante de la vaseline abondamment dispensée en vue de son intromission entre les fesses du corps que je pilonnais en ce moment. Le spectacle que j’avais sous les yeux était édifiant : ma mère, courbée sur un évier au milieu de la vaisselle plus ou moins propre, dépoitraillée, les jambes nues écartées, la croupe offerte, enculée jusqu’à la garde et sans ménagement par son fils, gémissant de manière plaintive comme une femelle astreinte à subir le mâle.
« - Je me demande si, à l’avenir, je ne vais pas que te sodomiser. Il faut que je t’ouvre bien le cul, que tu sois ma ’’femelle culière’’ », lui dis-je vicieusement, tout en la bourrant énergiquement.
« - Oooh ! » ne put-elle qu’émettre dans une plainte douloureuse.
« - Tu veux que je t’ouvre le cul ? que je te le défonce ? Moi, j’ai vraiment envie de te pratiquer par cet orifice ; peut-être même uniquement par cet orifice-là. Dis-moi. »
Elle agita la tête en tous sens, au milieu de ses plaintes, dont il devenait difficile de démêler si elles relevaient de la douleur ou du plaisir. Je feignis d’interpréter ses mouvements comme une dénégation et lui dis : « Tu aimerais peut-être être enculée et baisée simultanément ? Hein, salope ? … Comme ça ! » Et, disant cela, je lui introduisais deux doigts dans le conduit vaginal, que je fis ensuite aller et venir, en synchronisation avec les allers et retours de ma pine dans son cul, donnant à ma mère l’illusion d’une double pénétration, anale et vaginale : « Ah, oui ! Ah, oui ! … » finit-elle par répéter, tandis que je torpillais son trou du cul et que je fuselais son vagin.

Le 09 septembre 2021 à 04:28:15 :
Pas lu mais j'ai bandé au titre

Normal :oui:

Quelques jours plus tard, en soirée, ma mère était à la cuisine, achevant de faire la vaisselle. J’étais nu, le sexe en érection devant le spectacle de ma mère, penchée sur l’évier. Ses longues jambes fuselées nues et la raie de ses fesses, aux quatre cinquièmes couverte par la blouse, tout cela avait suscité ma concupiscence et m’excitait brusquement. Oui, voilà, j’avais une envie irrépressible de sodomiser ma mère ! Je me plaçai alors derrière elle, l’embrassai dans le cou, tandis que de mes deux mains je pétrissais sans retenue son avantageuse poitrine, en pinçant également les tétons. Soulevant le pan arrière du vêtement, je découvris entièrement sa croupe ; je lui demandai à l’oreille d’écarter ses jambes, ce qu’elle fit ; puis je promenai lentement ma verge bandée, le long de sa raie culière. Je lui murmurai alors : « J’ai envie de t’enculer. » A l’évidence surprise par la nature de la proposition, elle ne put s’empêcher de laisser échapper un « Ah ! non, pas ça ! » Cette exclamation témoignait-elle de sa non-familiarité avec la sodomie, que, pour ma part, j’avais pratiquée avec entrain et compétence en compagnie de mon initiatrice aux choses de l’amour ?
« On ne t’a jamais enculée ? » lui demandai-je.
« - Mais … Tu vas me déchirer » objecta-t-elle, s’abstenant en vérité de répondre à la question que je lui avais posée.
« - Te déchirer, moi ? Mais non, voyons. Je vais bien te lubrifier le cul, je vais également enduire ma pine de vaseline. »
De fait, j’allai chercher un tube de vaseline dans ma chambre. Et, tandis que ma mère continuait à s’activer à sa tâche ménagère, j’en déposai une noix sur sa rondelle frémissante, dont je fis rentrer la substance dans son trou du cul au moyen de mon doigt, et je tapissai les parois de ce lubrifiant ; pour faire bonne mesure, j’en fis entrer une seconde dose, tout aussi copieuse, m’attachant à réaliser les mêmes soins, tout cela en vue de rendre son orifice anal accueillant à ma verge. Je répandis sur cette dernière un film du même produit. Je peaufinai ce travail préparatoire en lui doigtant vigoureusement le trou du cul par l’intromission de deux doigts. Tout cela provoqua gémissements, grimaces et mouvements corporels contrariés chez ma mère, subissant ces attouchements. Visiblement, cette façon de faire lui déplaisait par le caractère humiliant de son application : ce fut une raison suffisante, à mes yeux, pour la faire durer le plus longtemps possible, en l’assortissant des commentaires didactiques appropriés : « Tu vois, je veux contribuer à l’ouverture de ton trou du cul. Pour qu’il soit bien large et qu’ainsi je puisse indistinctement te prendre par tous tes orifices. Pour tout dire, je veux faire de toi mon en – cu - lée ! »
Après cela, je courbai ma mère sur l’évier, m’arrangeant pour que ses seins, que j’avais dénudés, plongeassent leurs extrémités dans l’eau chaude et grasse ; ce contact inattendu provoqua chez elle un mouvement de recul, que j’enrayai aussitôt en appuyant sur son dos afin que sa poitrine continuât à être immergée. Ceci acquis, j’invitai ma mère à écarter elle-même ses fesses au moyen de ses mains que j’attirai derrière elle.

Suite ?

Claque de daron direct.

"Comment tu parles à ton père toi ? Sans moi tu serais dans le néant et tu n'aurais ni chambre ni vie ni rien, alors range ta chambre, fils de laxiste va"

C'est une tumeur cancéreuse en phase terminale :diable:
envoie + preuve que c'est bien la tienne
Je lis des histoires X comme "la maman de michel" (go google) pour servir de trame à mes fantasmes :hap:
Il s'est pas fait démonter en prison pour ce qu'il a fait à Bassem lui ?

Ma mère ressemble à la MILF sur mon avatar :bave:

Quand je la vois faire certaines expressions du visage ou porter un décolleté je bande direct :bave:

Sans déconner. Ce qui fait le plus fantasmer c'est l'interdit. C'est de choper ce qu'on n'a pas le droit de choper. Dans l'Antiquité les pharaons se mariaient entre frère et soeur alors que c'était interdit aux autres. Et niveau choix de meufs potentielles un pharaon pouvait se taper tout ce qu'il voulait, alors choisir sa soeur :coeur:

Je suis sûr que tout le monde ici a déjà fantasmé sur sa mère. Quand elle prend les vêtements du lave linge et qu'elle se penche, son cul qui se dessine sous le vêtement. :bave:

Assumons nos envies d'inceste :oui:

(et non, je ne suis pas du nord)