Le 07 septembre 2021 à 23:55:59 :
Sylvain Duriff mais il ne se représentera pas.
Le 07 septembre 2021 à 23:46:31 :
Le 07 septembre 2021 à 23:45:43 :
Sérieusement vous pensez que y'a des chances que ce pays finisse musulman ?On est bien parti là
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
30% Mélenchon EELV Hidalgohttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Le Pen est quand même devant
Le 07 septembre 2021 à 23:07:55 :
Le 07 septembre 2021 à 23:06:18 :
Le 07 septembre 2021 à 23:00:16 :
Le 07 septembre 2021 à 22:50:24 :
Le 07 septembre 2021 à 22:47:11 :
Le 07 septembre 2021 à 22:45:45 :
Les élites abusent, violent et tuent des pauvres gamins dans les réserves autochtones depuis plus d’1 siècle. La réponse ? On va brûler des livres de tintinC’est déplorable cette époque.
Source?
Je vis au Canada khey, c’est pour ça cette agitation. A cause des charniers découverts il y a plus d’1 mois, je retrouve les articles et je te link ça.
Ah d'accord
Les politiciens canadiens en sueur car on a retrouve les charniers d'enfants des loges franc-maçonnes
Tout s'explique
Non c'était des établissements catholiques qui visaient à "civiliser" les amerindiens.
"Cette institution a laissé des séquelles très graves sur les peuples autochtones : « Loin de leur famille et de leur communauté, sept générations d’enfants autochtones ont été privés de leur identité à la suite d’efforts systématiques et concertés visant à anéantir leur culture, leur langue et leur esprit. » Ce système a porté atteinte à leur respect de soi et a « miné leur capacité à s’occuper des tâches quotidiennes de la vie[6]. »"
C’est pour évangéliser et assimiler les populations autochtones que le gouvernement fédéral et les Églises ont instauré les pensionnats autochtones[11]. Les conditions de vie des pensionnats étaient très difficiles et plusieurs pensionnaires en conservent encore aujourd'hui des séquelles psychologiques importantes[12].
Les Autochtones étaient considérés comme des personnes que l’on devait civiliser. Le premier pensionnat est créé en Colombie-Britannique en 1863[14], mais le régime des pensionnats est officiellement instauré en 1892, par suite d'ententes avec les clergés catholiques, anglicans, méthodistes et presbytériens.
En 1876, le gouvernement fédéral du Canada adopte une loi initialement désignée « Acte des Sauvages », définissant sa responsabilité fiduciale envers les « Indiens » résidant dans une réserve. En 1883, le premier ministre John A. Macdonald autorise la mise en oeuvre de pensionnats, un système conçu pour couper tout lien entre les jeunes autochtones et leur culture, et pour les isoler de leur milieu familial. En 1884, un amendement de la Loi sur les Indiens permet au Canada de créer et financer des pensionnats, gérés par le gouvernement et les églises catholique, anglicane, méthodiste, presbytérienne et unie[15],[16].
En vertu de la loi sur les Indiens modifiée en 1920 sous la direction de Duncan Campbell Scott (en)], tous les enfants des Premières Nations âgés de 7 à 15 ans devaient fréquenter une école ou un pensionnat autochtone au moins 10 mois par année[17].
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pensionnats_pour_Autochtones_au_CanadaLes conditions de vie dans les pensionnats étaient souvent difficiles. L’une des causes directes des maladies et des décès était le financement largement inadéquat de la part du gouvernement, ce qui entraînait un manque de qualité, de quantité et de variété de la nourriture. La solitude, l’absence de contact avec les parents et la famille, la frustration liée à l'interdiction de parler sa langue maternelle, la piètre qualité de l’enseignement, la faim, l’institutionnalisation, le travail excessif, les règles strictes, la brutalité et l’absence de personnes de confiance sont des aspects que l’on a pu retrouver dans la majorité des pensionnats[21].
Les conditions sanitaires étaient propices à l'expansion de la tuberculose, ainsi que l'a vivement dénoncé Peter Bryce, alors médecin engagé par le gouvernement fédéral pour superviser 35 pensionnats. Il rapporte notamment que, en 1907, le quart des élèves mouraient et que dans une école le taux de mortalité avait atteint 75%. Il intervient à plusieurs reprises auprès du ministère pour obtenir des changements radicaux, mais il se heurte à une fin de non-recevoir de la part de Duncan Campbell Scott. En désespoir de cause, il publie une brochure dénonçant cette situation en 1922[22].
Lors de leur arrivée au pensionnat, les jeunes étaient dépouillés de leurs effets personnels et de leurs vêtements traditionnels. On coupait leurs cheveux, changeait leur nom et on leur donnait un numéro. Ils recevaient un uniforme correspondant à leur tranche d'âge[23].
À l'instar des méthodes alors utilisées en France pour faire disparaître les langues régionales[24], les enfants étaient punis s'ils utilisaient leur langue.
Les pauvres bordel