Le 07 janvier 2022 à 10:20:33 :
Ne pas en parler semble la meilleure option non ? Si ton boulot n'oblige pas à avoir un pass, personne n'a à savoir si t'es vacciné ou non. Tu peux dire un truc du genre "j'évite de parler de ça, les gens sont devenus très agressifs d'un côté comme de l'autre".
Sinon tu go full berserk et tu leurs explique la vie avec mon pavé que je me suis fait chier à rédiger pour vous expliquer simplement les choses :
1. L'inefficacité d'un "vaccin" injectable contre une maladie respiratoire :
Un virus respiratoire infecte en premier lieu les muqueuses des voies respiratoires (nez, sinus, trachée, bronches, poumons). La réaction immunitaire naturelle face à ce type de virus se fait par la production en surface de ces muqueuses d'anticorps sécrétoires. La maladie est ainsi combattue avant son entrée dans le sang.
Le "vaccin" étant injecté, il ne permet de créer que des anticorps circulants, qui se déplacent dans les vaisseaux sanguins. Ce qui explique qu'un vacciné puisse attraper la maladie et avoir les poumons éclatés quand même.
De plus, le "vaccin" ne ciblant qu'une seule des protéines du virus, il suffit que cette protéine mute (ce qui est hautement probable pour ce type de virus et dans une population vaccinée où la pression de sélection des virus "diiférents" est forte) pour que les anticorps créés par le vaccin ne soient d'aucune utilité.
2. La perte de cellules et l'attaque auto-immune des organes :
Le "vaccin" à ARNm tel qu'il est conçu, fait fabriquer par nos propres cellules des protéines spike du virus, qui vont se placer en surface de nos cellules. Le système immunitaire les détecte et ordonne la destruction de ces cellules.
Dans des tissus qui se regénèrent facilement (épiderme, muscle...), cela ne pose pas vraiment de problème. Par contre, dans des tissus non regénératifs comme ceux du cœur, du cerveau, des gonades (testicules et ovaires) et de plein d'autres organes, il s'agit d'une perte irréversible.
Des réactions sont visibles (myocardite auto-immune suite à l'injection : des cellules du muscle cardiaque ont produit de la protéine spike et sont attaquées par le système immunitaire), d'autres ne le sont pas (fertilité ?). Le nombre d'injection fait de cet effet un effet cumulatif : plus vous aurez d'injection, plus vos organes seront détruits (pour ceux qui pensent que la protéine spike n'est produite que dans le muscle sur le point d'injection, je vous invite à lire le dossier d'AMM de Pfizer qui contient un tableau montrant la présence de protéine spike dans tous les organes principaux).
3. L'effet coagulation (thromboses) :
Une cellule circulant dans le sang (un globule blanc par exemple) qui serait touchée par le "vaccin" produira des protéines spike à sa surface. Avant d'être détruit par le système immunitaire, il est possible qu'il devienne un aimant à plaquettes, créant ainsi un caillot de sang (appelé thrombose) :
- La protéine spike a la capacité à se lier au récepteur ACE2 de nos cellules (c'est une protéine de surface aussi)
- Les plaquettes sont des cellules qui ont beaucoup de récepteurs ACE2
- Les plaquettes viennent s'agréger à la cellule qui a des protéines spike en surface et les plaquettes ont aussi la capacité de s'agréger entre elles : on obtient une thrombose.
Une thrombose dans un capillaire du bout du doigt, ce n'est pas grave, par contre dans le cerveau ça fait un AVC, dans une artère coronaire ça fait un infarctus, dans le poumon ça fait une embolie pulmonaire... Bref que des trucs mortels.
4. Les effets à long terme ne sont pas connus :
Il y a par exemple des études qui ont montré une diminution des lymphocytes suppresseurs de tumeur après la vaccination, ce qui laisse penser que le nombre de cancers risque d'augmenter dans les années à venir.
Toutes ces raisons n'invitent pas vraiment à vouloir se faire injecter ce "vaccin". Je n'ai cité volontairement que des arguments purement scientifiques et j'ai mis de côté la volonté politique de transformer les êtres humains en bétail pucé et tracé, les projets de dépopulation, les revenus énormes générés par toutes ces conneries, etc.
Qu’un vaccin à ARN messager génère une maladie auto-immune, c’est par nature impossible. Les vaccins par ARN ne rentrent pas dans le noyau de la cellule et sont dégradés très rapidement. Les molécules que l’on injecte n’existent plus chez la personne qui les a reçues au bout d’un jour ou deux maximum.
La seule chose qui pourrait se passer, c’est que la réponse immunitaire aille attaquer la cellule qui a produit la protéine au début et la détruise, mais seules quelques cellules auront été concernées et auront reçu les molécules. Et elles vont ainsi s’éduquer à reconnaître cette fameuse protéine et rester en mémoire chez l’individu. La seule façon qu’elles auront de se réactiver, ça sera si la personne rencontre le virus un jour. Mais pas contre leurs propres cellules, puisque ces dernières ne produisent plus la protéine au bout de quelques heures
