Le 18 décembre 2019 à 16:52:34 RYAN_O_REILY a écrit :
Elle et ilJohanna jeune homme transgenre, maintenant Mike doit faire face à la vie et aux méchantes personnes qui se moquent de lui.
Alors que tout le monde est contre lui, il fera la rencontre de Anaëlinae, jeune femme transgenre qui a également changé de genre.
Un long-métrage sur un amour et une rencontre haut en couleur, d'acceptation contre le harcèlement et la discrimination.
12/20 aucune recherche mais ça passe facile sur france 3
Le 18 décembre 2019 à 16:46:34 MacLeMort a écrit :
"La grosse bite de Rachid"Corentin et Rachid sont dans la même classe au collège.
Un jour après un cours de natation, corentin observe Rahhid sous la douche et est circonspet devant la taille massive du sexe de Rachid.Au fil des jours, Corentin se rapproche de Rachid et ne cesse de le questionner sur son appareil gargantuesque.
S'en suit une tendre histoire d'amitié complice où les deux protagonistes partagent une relation ambiguë. Rachid c'est l'école de la rue, l'école de la vie. Petit à petit il va apprendre à Corentin que pour séduire les filles il faut un gros sexe et il se proposera d'initier corentin à la découverte de sa vie sexuelle.À la fin Rachid est reimigré.
Malik bentala dans le rôle du bou.... du Rachid
j'imagine une scène ou Corentin est allongé avec une jeune fille maghrébine. La fille reçoit un SMS de Rachid " je vais me faire expulser"
Corentin est étonné et la Karima lui dit " tu crois quoi c'est ce qu'on vit nous, on est chez nous ici"
Karima pleure et Corentin la prend dans ses bras et Karima dit " il faut qu'on fasse un truc pour l'aider COren"
l'été 2008
C'est l'été, tout devait bien se passer mais après une grosse dépense imprévue la famille béranger est contrainte de rester à la maison, le fils Théo 17 ans, jeune garçon de nature gentille et innocente va devoir trouver une moyen de passer les vacances.
Un jour sur son ordinateur il tombe sur un forum qui prônent des idées d’extrêmes droite, Théo qui s'ennuie et qui est à la recherche d'appartenance à un groupe se laisse vite entraîner.
Mathilde la mère remarque des changement brutaux chez son fils. Tout tourne mal lorsque Théo se met lors d'un repas de famille à faire des allusions racistes en présence de Rachid, le petit ami de sa soeur
Le 18 décembre 2019 à 16:32:04 TinTinclusif a écrit :
Le dernier verre de ChouchenJean-Claude (incarné par Christian Clavier), un veuf breton âgé de 65 ans essaie de profiter de sa retraite et de ses rentes malgré le chagrin causé par la perte de sa femme Françoise (Josiane Balasko), ancienne reporter de guerre tuée sur un champ de bataille contre l'État islamique.
Aigri par cette perte, Pierre-Tanguy en vient à renier ses idéaux de jeunesse, ancien militant du parti socialiste après avoir mené la lutte en mai 68, il se renferme sur lui-même et ne quitte plus sa faste malouinière.
Inquiétée par la haine qui semble ronger Jean-Claude, sa famille se détache de celui qui semble sombrer définitivement dans la peur de l'autre et de sa religion.Louis, petit fils de Jean-Claude n'est toutefois pas de cet avis et continue à fréquenter son grand-père, permettant à ce dernier de rester connecté avec le réel.
Un jour, Jean-Claude, ayant consommé trop de Chouchen décide de se rendre en ville. À Dinan, il exprime toute sa violence et passe à tabac un couple de jeunes maghrébins homosexuels. Sous le coup de la colère, il brise la colonne vertébrale de l'un d'eux.
Deux semaines plus tard, Jean-Claude est victime d'un AVC. Ne pouvant sortir de chez lui, un médecin est envoyé chez lui pour le soigner.
Quelle n'est pas la surprise de Jean-Claude quand il voit débarquer Farid (Ary Abittan), conjoint d'Ismael (Eric Eramzy) qu'il a auparavant passé à tabac.
D'abord effrayé, il fair face à la douceur et au charme de Farid qui sait lui accorder son pardon et lui enseigner la valeur de la tolérance.Réticent, Jean-Claude saura-t-il surpasser le deuil de sa compagne et ses préjugés ? Apprendra-t-il le sens du vivre-ensemble ? Aura-t-il la chance de se rapprocher du couple formé par Farid et Ismael qu'il semblait en réalité jalouser ?
Cette fable attendrissante portée par des acteurs touchants pose les bonnes questions et apporte les réponses adaptées. Évoquant les thématiques du partage, du pardon, de l'innonce enfantine et adulte, de la tolérance et s'engageant sur la voie du polyamour constitue une fresque habile de notre époque.
20/20 magnifique, poignant
Le 18 décembre 2019 à 16:31:50 Puceausousweed a écrit :
C'est l'hiver à Paris. Face à la crise et au froid, le gouvernement français prend une décision radicale : chaque foyer se voit imposer de partager son "espace vital" avec des inconnus. Dans leur immeuble cossu des beaux quartiers, les Dubreuil (sympathisants de droite) et les Bretzel ("bobos" socialistes) réagissent différemment à cette mesure qui les contraint à héberger du monde chez eux. Avec l'aide de leur concierge (qui est elle, sympathisante de l'extrême droite), toutes les solutions sont bonnes pour esquiver cette mesure...Oui ce film existe et j'ai eu la CHANCE de le voir.
une merde sans nom
bonne idée 14/20
Le 18 décembre 2019 à 16:26:21 Luci1Lachance a écrit :
Baignade InterditeQuand Khadija et Samia, deux amies d'enfance, apprennent qu'à la suite de la victoire de la droite aux municipales, la piscine de leur ville ne propose plus des horaires réservés aux femmes, leur tempérament méditerranéen explose ! Elles décident de former un collectif appelé "Baignade Interdite" et décide de lutter pour récupérer leurs droits. Cachées sous leur burka et se faisant passer pour des parasols dans une scène hilarante où la communauté musulmane prouve qu'elle sait rire de ses propres codes contrairement aux occidentaux, les deux amies espionnent le nouveau maire et parviennent à prouver qu'il a tenu des propos climatosceptiques, lorsqu'il a avancé que "les gaz à effet de serre n'étaient pas si grave que ça pour la couche d'ozone". Démi de ses fonctions et contraint au suicide, la maire disparait et la gauche revient au pouvoir, permettant non seulement à la piscine municipale de remettre en place des horaires pour les femmes, mais aussi de rendre obligatoires les ablutions musulmanes avant d'entrer dans l'eau. Une grande fête est organisée dans le grand bassin entre femmes, présentée hors-champ dans le film toutefois, afin de respecter la pudeur des actrices.
Mademoizelle : 5/5 - Un film nécessaire.
bordel 19/20
Le 18 décembre 2019 à 16:17:26 jeanmarielep a écrit :
Les roues de la libertéSamir n'a pas eu une enfance facile. Fils d'une femme de ménage, son grand frère Abdoul est en prison pour braquage.
Sa mère est menacée d'expulsion pour loyers impayés. Samir va devoir faire un choix quand les anciens complices de son frère lui proposent un "coup facile". Devra-t-il renoncer à son rêve de devenir proctologue ?Mademoiselle : Un chef d'œuvre, on regrettera.e cependant que l'homosexualité.e du personnage.e soit aussi implicite
14/20 mais j'ai plus ri au commentaire de Mademoiselle
La raie
Tout commence bien au bureau pour Sophie jusqu'au moment au elle laisse tomber son stylo
elle le ramasse mais malheureusement on peut apercevoir sa raie et une partie de sa culotte
ses collègues masculins sont tous derrière elle pour admire le spectacle
durant toute la journée ses collègues font des commentaires salaces sur elle
Nous sommes alors plongés dans la violence du regard masculin. la caméra nous permet de nous mettre à la place de sophie et e comprendre ce qu'elle vit durant cette journée en enfer
Le 18 décembre 2019 à 16:10:34 Luci1Lachance a écrit :
Fils de FachoLorsque Timéo, 5 ans, apprend à son père Didier, docker veuf, qu'il veut devenir une femme, c'est toutes les certitudes de Didier qui s'envolent. Rentrant aviné d'un meeting du FN, Didier passe à tabac Timéo en le traitant de "sale tapette" avant d'être pris de remord et d'appeler les secours, leur expliquant qu'il est tombé dans les escaliers après avoir marché sur un pan de sa robe. Au service traumatologie du CHR, Didier fait la rencontre de Radia, une aide-soignante algérienne qui lui apprendra la tolérance et le vivre-ensemble. Didier se surprend alors à rendre de plus en plus souvent visite à son fils Timéo, toujours dans le coma, dans le simple espoir de recroiser Radia. Quand enfin Timéo se réveille, il a déjà 18 ans. Il tarde à reconnaître son père avec sa longue barbe et sa djellaba, main dans la main avec Radia voilée, et leurs 6 enfants métis. Timéo pleure de joie en reconnaissant son père et en voyant qu'il a retrouvé l'amour. Le film se conclut par l'opération de changement de sexe de Timéo, où dans un ultime plan caméra à l'épaule, un imam bénit le scalpel qui tranchera ce pénis blanc.
Le Nouvel Obs : Un film coup de poing, qui en secouera plus d'un en interrogeant sa conscience. Le dernier plan est très fort et courageux. Une belle leçon de vie.
20/20 il y a tout et la scène de fin me donne des frissons et elle pourrait faire scandale , changer les mentalité
un vrai film qui regarde dans les yeux les problèmes de notre époque
Le 18 décembre 2019 à 16:09:16 CASSETARACEnew a écrit :
Pourquoi en faire toute une salade ?George est un agriculteur spécialisé dans les salades. Il vit dans un petit village et est le descendant d'une longue lignée d'esclavagistes. Il revendique haut et fort ses racines, lui même raciste et d'extreme droite.
Son entreprise commence à couler, désespérer, il décide de suivre le chemin de ses salades jusqu'au marché de Belleville dans la capitale. Alors qu'il s'attend à tomber sur des travailleurs fainéant et peu travailleur, il découvre un couple de vendeurs au marché : "Espoir" et sa femme "Aimée", tout les deux sont noirs et se donnent au maximum pour vendre le plus possible de salades venues de l'agriculture de George.
George est alors complètement chamboulé, ce couple de deux citoyens français ne sont pas un poids pour son entreprise mais bien une chance !
18/20 très bonne idée et j'espère que le vendeur c'est Lucien jean baptiste
Le 18 décembre 2019 à 16:03:51 ChineseNustraIe a écrit :
Dis moi qui tu esCamille est une brillante architecte de 24 ans mais désespérement seule à cause de son travail. Quand elle prend la tête du chantier de contruction du nouveau musée d'art moderne de Paris elle est loin de douter que sous le prestige se cachent des travailleurs illégaux qui prennent tous les risques. Kirikou, un jeune soudeur ne compte pas ses heures et commence à s'interesser aux oeuvres de Richard Orlinski.
Camille va alors aller à l'encontre de ses préjugés et le prendre sous son aile pour finalement braver le code établi et renommer le "musée de la Mixité".
Quotidien: Un cri du coeur. Louane dans un rôle solaire.
17/20 magnifique si en plus tu me dis que Omar sy joue le rôle je mets 1 point de plus
Le 18 décembre 2019 à 15:59:54 PasDDBouCancer2 a écrit :
Place des Victoire:Bruno, un quadragénaire au chômage depuis peu et qui risque d’être expulsé de chez lui croise la route de Gajic, un jeune Rom de 11 ans avec qui il va se lier d’affection. Ensemble, ils vont faire les 400 coups et tenter de s’entraider. Un premier long-métrage autour d’une amitié improbable et gentillette entre Guillaume de Tonquédec et Piti Puia
C´est un vrai film
12/20 franchement
Le 18 décembre 2019 à 15:59:03 Naples[4] a écrit :
Le village au cœur de la vallée :Un village alpin et dépeuplé par l’exode rural accueille un centre de migrants érythréens. Après plusieurs semaines d’une cohabitation difficile, Zoé (Mélanie Doutey), l’institutrice de la commune décide d’organiser un festival de musique latine pour unir les deux communautés et rapprocher les cœurs. A cette occasion festive, Jean-Marc (Richard Bohringer), un berger au charme bourru, rencontre Aaida (Édouard Montoute), un ancien enfant soldat de 35 ans. Ensemble, ils construiront une relation filiale émouvante qui rejaillira sur tout le village, loin des préjugés et de la méfiance des débuts. Une histoire d’accueil et d’humanité. Tout simplement.
14/20 simple bon efficace
Le 18 décembre 2019 à 15:53:51 QuenelleDe200 a écrit :
Guillaume est un militant patriote pour l'association Ancienne France. Lors d'un voyage en Bavière, il est agressé pour une bande de jeunes étudiants qui se revendiquent du nazisme.Irkam, un immigré érythréen, est le seul à intervenir. Au péril de sa vie, il permet à Guillaume de s'enfuir et finit par se faire rouer de coups à sa place. Lorsque la police arrive, les voyous se sont enfuis et Irkam est arrêté pour sa clandestinité.
Guillaume décide alors de tout faire pour qu'il régularise sa situation. Au-delà de la bataille juridique qu'il s'apprête à mener, il va découvrir les souffrances de ceux qui fuient la guerre et la pauvreté. Une formidable aventure humaine !
19/20 très beau putain j'ai failli pleurer
Le 18 décembre 2019 à 15:51:48 PasDDBouCancer2 a écrit :
Notre-Dame
Maud Crayon est architecte. À la suite d’un merveilleux malentendu, son projet est accepté par l’Hôtel de ville. Elle n’en croit pas ses yeux. Dans son cabinet, c’est l’émoi. Ce beau résultat l’encourage. Il fallait ça. À côté, sa vie n’est pas folichonne. Elle a deux enfants, son ex s’invite chez elle sans prévenir et elle découvre qu’elle est enceinte de lui (quatre mois).
Mystérieux et Notre Dame 16/20
Le 18 décembre 2019 à 15:48:46 TinTinclusif a écrit :
Martin (Christian Clavier), réactionnaire et irrascible arpente les rues de Neuilly après avoir assisté à la messe.
Perdu dans ses pensées, il s'égare et se retrouve dans un quartier de banlieue.
Victime d'une agression orchestrée par une bande de skinheads attirés par sa tenue bourgeoise, il est sauvé in estremis par Rayan (Mister V) et Baboucar (Kerry James), deux jeunes musulmans du quartier, qui s'interposent et font fuir les racailles.Frappé dans ses certitudes Martin va initier une profonde remise en question et proposer à Rayan et Baboucar de s'associer à lui dans son commerce de cigarettes électroniques. Cependant, il découvre le terrible secret des deux comparses, anciens dealers de drogue.
De l'ignorance à la découverte d'autrui, ce récit moderne et poignant saura toucher et faire réfléchir, interrogera nos représentations et mettra à l'épreuvebles stéréotypes.
Bon casting belle Histoire 18/20
Le 18 décembre 2019 à 15:46:30 Luci1Lachance a écrit :
La MépriseDominique est un non-binaire, une personne n'étant ni homme ni femme même s'il présente une apparence de genre masculine, avec sa barbe de trois jours, ses pectoraux saillants et sa voix de ténor.
Fabienne quant à elle, après un remariage a quitté sa campagne natale pour la grande ville, afin d'y ouvrir une pâtisserie, son rêve d'enfance.
Un samedi après-midi, alors que Dominique doit acheter un gâteau pour le goûter qu'il délivre en l'honneur de Claude, son ami récemment pansexuel et récemment opéré pour devenir femme, il entre dans cette nouvelle pâtisserie qui a ouvert dans son quartier, scellant ainsi son destin à celui de Fabienne. Cette dernière comment en effet la mortelle méprise de dire "Bonjour Monsieur" à Dominique, le mégenrant sans autre forme de procès.
Fou de rage, humilié face à tous les autres clients, Dominique tonne qu'il ne voit aucune raison qu'on l'appelle Monsieur et se lance dans un monologue inspiré vantant la différence et la théorie des genres. Fabienne reconnaît alors son erreur en organisant elle-même la fête de changement de sexe de Claude, notamment en y présentant sa dernière création pâtissière, "La Tête de Non-Binaire", un gâteau ayant autant le goût de vanille que de chocolat. Dans le dernier plan, Dominique conclue le film en affirmant que même si on a nos différences, un bon gâteau apaisera toujours tous les maux.Télérama : 4/5 étoiles "Un beau film avec un message fort et nécessaire en ces temps troubles. Dommage que le casting ne représente pas davantage la diversité ethnique de la France, qui est son essence même."
17/20 très travaillé
Le 18 décembre 2019 à 15:33:23 Satanville a écrit :
Vivien est un jeune cadre dynamique qui s'apprête à épouser Bérangère, une jeune fille issue d'un milieu social proche du sien.
Mais l'arrivée dans sa boîte d'un collègue masculin, attirant et mystérieux, va peu à peu plonger Vivien dans un océan de doutes quant à sa sexualité. Derrière ce récit contemporain finement mené, c'est une peinture sensible et solaire de notre société qui est faite. Sélectionné à la Mostra de Venise.
12/20