Messages de Golemnumero679

Le 03 septembre 2021 à 23:42:14 :
Trop de forum

Comment ça

Le 03 septembre 2021 à 23:39:45 :
Finalement j'en viens à espérer la fin de ce forumhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/09/1488372360-7f95f2925afeac091c5f746acef4941f.png

J'en viens à croire que c'est donner de la confiture à des cochonshttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/09/1488372360-7f95f2925afeac091c5f746acef4941f.png

DDB insultes

Up les gars

Le 03 septembre 2021 à 23:38:29 :
malaise

Comme ta naissance

Up

Le 03 septembre 2021 à 23:33:58 :
J'ai bandayhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/26/1/1498430734-mac2.png

Chaud

Le 03 septembre 2021 à 23:35:34 :
ta gueule

DDB

C’était un samedi soir, ou plutôt un dimanche, à 2h du matin. Fin de soirée bien arrosée, je décide de rentrer chez moi, seul et à pieds. Sur ma route, j’ai croisé un clochard éveillé, mendiant quelques centimes, avec un air désespéré. Il puait la mort dans un rayon d’au moins 15 mètres. Bizarrement, je me suis arrêté, et l’odeur au lieu de me rebuter, a procuré une excitation en moi. Je suis allé le voir, je me suis posé à coté de lui, et lui offra ma barre de céréale qui était dans ma poche.
Il me remercia, puis la mangea en deux bouchés, comme s’il n’avait pas mangé depuis 3 semaines. Il n’y avait pas de bruit, le silence reignait. J’étais secrètement attiré par ce clochard, que je voyais comme un héros, qui vivait sans argent dans ce monde capitaliste. Il déposa alors sa main contre ma cuisse, et commença a me carresser tendrement.
Je n’ai rien su dire, étant à la fois entre culpabilité contre moi même, et excitation. Je ne bougeais plus. Il su alors qu’il fallait qu’il aille plus loin. Au fond de moi, je n’attendais que ça. Il descendit sa main sous mon pantalon, et commencera à me caresser le sexe au travers de mon boxer moulant.
Ma bite commençait à durcir le long de sa main.
Je n’avais jamais eu une gaule aussi forte. A ce moment même, je pris sa tête entre mes mains, admira ses lèvres toutes noires et gercées, ses dents jaunâtres et cassés, et senti son haleine forte. Je colla alors mes lèvres contre les siennes, et l’embrassa tendrement. Il enfourna alors sa langue dans ma bouche, et nous échangions nos salives.
Son haleine étant si nauséabonde, j’eu plusieurs rejets de suite, jusqu’à ce que le vomi sorte. J’ai vomi dans sa bouche. Mais nous continuons à nous embrasser, et l’odeur nous excitait de plus belle. Etant excité comme jamais, sur le point d’éjaculer lorsqu’il passa sa main sous mon boxer et empoigna mon gros chibre qu’il masturbe en faisant des vas et viens avec sa main sale et poilu.
Je sentais mon gland se décalloter puis recalloter. Je le stoppa net. J’étais trop excité, un seul mouvement et je pouvais éjaculer des litres de sperme. Je lui fit retirer sa main de mon sexe, et je lui retira son pantalon et son slip en même temps. Je voyais sa petite bite dressée de soixantenaire. Son gland n’étant pas décalloté, j’empoigna son petit pénis d’environ 10cm en main, et tira sur la peau recouvrant sa verge. Son gland était gros, sa bite ressemblait alors à un marteau.

Mais que vis-je ?
il était recouvert d’une substance blanchâtre, avec une odeur répugnante. Du fromage de bite. Je me rapprocha alors avec ma bouche, et suça tendrement son gland tout en aspirant toute cette substance dans ma bouche. Il avait l’air si heureux. Je le suça pendant quelques secondes, mais il éjacula dans ma bouche.

Je n’avais jamais gouté quelque chose de si bon.
Même la cuisine de ma mère ne faisait pas le poids à coté. A peine qu’il éjacula, il rebanda de suite lorsque je lui montra mon petit cul sans poil. Il enfourna son index dedans. Mon cul s’était auto lubrifié, l’envie de sentir une bite en moi était au plus fort. Je me suis mit alors sur le dos, les jambes en l’air, les cuisses écartées. Il me pénétra de suite avec son engin, n’étant pas plus gros que son doigt. Il fit des vas et viens tout en branlant mon sexe gros et dur. J’étais au 7ème ciel. Quelques minutes passèrent, il éjacula au même moment que moi.
Sentir sa semence en moi me rendit puissant. Je me sentais libre, mon anus contenait la semence de mon héros, cet homme si courageux de vivre seul dans la rue. M’étant arrosé de mon sperme sur tout mon cors et mon visage, je ne voyais plus rien, j’étais comme dans un rêve. Je senti alors sa langue lécher mon visage pour retirer tout le sperme. Je l’aida en avalant celui qui était au bord de mes lèvres.
Il le prit mal.
Il me dit de lui laisser ce repas. Il prit une dizaine de minute à avaler tout ce sperme et à me nettoyer le corps avec sa langue rempli de boutons sur le point d’expulser tout le pus. Il me demande de me mettre à 4 pattes et me fit un anulingus pour récupérer sa semence et la manger. Il me remercia pour le repas et je m’en allais.

Le 03 septembre 2021 à 23:32:35 :
Mec premier ou second degrés t'as un grain pour écrire ça.

Taré

Le 03 septembre 2021 à 23:31:08 :
J'ai hurlé

Terrible

C’était un samedi soir, ou plutôt un dimanche, à 2h du matin. Fin de soirée bien arrosée, je décide de rentrer chez moi, seul et à pieds. Sur ma route, j’ai croisé un clochard éveillé, mendiant quelques centimes, avec un air désespéré. Il puait la mort dans un rayon d’au moins 15 mètres. Bizarrement, je me suis arrêté, et l’odeur au lieu de me rebuter, a procuré une excitation en moi. Je suis allé le voir, je me suis posé à coté de lui, et lui offra ma barre de céréale qui était dans ma poche.
Il me remercia, puis la mangea en deux bouchés, comme s’il n’avait pas mangé depuis 3 semaines. Il n’y avait pas de bruit, le silence reignait. J’étais secrètement attiré par ce clochard, que je voyais comme un héros, qui vivait sans argent dans ce monde capitaliste. Il déposa alors sa main contre ma cuisse, et commença a me carresser tendrement.
Je n’ai rien su dire, étant à la fois entre culpabilité contre moi même, et excitation. Je ne bougeais plus. Il su alors qu’il fallait qu’il aille plus loin. Au fond de moi, je n’attendais que ça. Il descendit sa main sous mon pantalon, et commencera à me caresser le sexe au travers de mon boxer moulant.
Ma bite commençait à durcir le long de sa main.
Je n’avais jamais eu une gaule aussi forte. A ce moment même, je pris sa tête entre mes mains, admira ses lèvres toutes noires et gercées, ses dents jaunâtres et cassés, et senti son haleine forte. Je colla alors mes lèvres contre les siennes, et l’embrassa tendrement. Il enfourna alors sa langue dans ma bouche, et nous échangions nos salives.
Son haleine étant si nauséabonde, j’eu plusieurs rejets de suite, jusqu’à ce que le vomi sorte. J’ai vomi dans sa bouche. Mais nous continuons à nous embrasser, et l’odeur nous excitait de plus belle. Etant excité comme jamais, sur le point d’éjaculer lorsqu’il passa sa main sous mon boxer et empoigna mon gros chibre qu’il masturbe en faisant des vas et viens avec sa main sale et poilu.
Je sentais mon gland se décalloter puis recalloter. Je le stoppa net. J’étais trop excité, un seul mouvement et je pouvais éjaculer des litres de sperme. Je lui fit retirer sa main de mon sexe, et je lui retira son pantalon et son slip en même temps. Je voyais sa petite bite dressée de soixantenaire. Son gland n’étant pas décalloté, j’empoigna son petit pénis d’environ 10cm en main, et tira sur la peau recouvrant sa verge. Son gland était gros, sa bite ressemblait alors à un marteau.

Mais que vis-je ?
il était recouvert d’une substance blanchâtre, avec une odeur répugnante. Du fromage de bite. Je me rapprocha alors avec ma bouche, et suça tendrement son gland tout en aspirant toute cette substance dans ma bouche. Il avait l’air si heureux. Je le suça pendant quelques secondes, mais il éjacula dans ma bouche.

Je n’avais jamais gouté quelque chose de si bon.
Même la cuisine de ma mère ne faisait pas le poids à coté. A peine qu’il éjacula, il rebanda de suite lorsque je lui montra mon petit cul sans poil. Il enfourna son index dedans. Mon cul s’était auto lubrifié, l’envie de sentir une bite en moi était au plus fort. Je me suis mit alors sur le dos, les jambes en l’air, les cuisses écartées. Il me pénétra de suite avec son engin, n’étant pas plus gros que son doigt. Il fit des vas et viens tout en branlant mon sexe gros et dur. J’étais au 7ème ciel. Quelques minutes passèrent, il éjacula au même moment que moi.
Sentir sa semence en moi me rendit puissant. Je me sentais libre, mon anus contenait la semence de mon héros, cet homme si courageux de vivre seul dans la rue. M’étant arrosé de mon sperme sur tout mon cors et mon visage, je ne voyais plus rien, j’étais comme dans un rêve. Je senti alors sa langue lécher mon visage pour retirer tout le sperme. Je l’aida en avalant celui qui était au bord de mes lèvres.
Il le prit mal.
Il me dit de lui laisser ce repas. Il prit une dizaine de minute à avaler tout ce sperme et à me nettoyer le corps avec sa langue rempli de boutons sur le point d’expulser tout le pus. Il me demande de me mettre à 4 pattes et me fit un anulingus pour récupérer sa semence et la manger. Il me remercia pour le repas et je m’en allais.

C’était un samedi soir, ou plutôt un dimanche, à 2h du matin. Fin de soirée bien arrosée, je décide de rentrer chez moi, seul et à pieds. Sur ma route, j’ai croisé un clochard éveillé, mendiant quelques centimes, avec un air désespéré. Il puait la mort dans un rayon d’au moins 15 mètres. Bizarrement, je me suis arrêté, et l’odeur au lieu de me rebuter, a procuré une excitation en moi. Je suis allé le voir, je me suis posé à coté de lui, et lui offra ma barre de céréale qui était dans ma poche.
Il me remercia, puis la mangea en deux bouchés, comme s’il n’avait pas mangé depuis 3 semaines. Il n’y avait pas de bruit, le silence reignait. J’étais secrètement attiré par ce clochard, que je voyais comme un héros, qui vivait sans argent dans ce monde capitaliste. Il déposa alors sa main contre ma cuisse, et commença a me carresser tendrement.
Je n’ai rien su dire, étant à la fois entre culpabilité contre moi même, et excitation. Je ne bougeais plus. Il su alors qu’il fallait qu’il aille plus loin. Au fond de moi, je n’attendais que ça. Il descendit sa main sous mon pantalon, et commencera à me caresser le sexe au travers de mon boxer moulant.
Ma bite commençait à durcir le long de sa main.
Je n’avais jamais eu une gaule aussi forte. A ce moment même, je pris sa tête entre mes mains, admira ses lèvres toutes noires et gercées, ses dents jaunâtres et cassés, et senti son haleine forte. Je colla alors mes lèvres contre les siennes, et l’embrassa tendrement. Il enfourna alors sa langue dans ma bouche, et nous échangions nos salives.
Son haleine étant si nauséabonde, j’eu plusieurs rejets de suite, jusqu’à ce que le vomi sorte. J’ai vomi dans sa bouche. Mais nous continuons à nous embrasser, et l’odeur nous excitait de plus belle. Etant excité comme jamais, sur le point d’éjaculer lorsqu’il passa sa main sous mon boxer et empoigna mon gros chibre qu’il masturbe en faisant des vas et viens avec sa main sale et poilu.
Je sentais mon gland se décalloter puis recalloter. Je le stoppa net. J’étais trop excité, un seul mouvement et je pouvais éjaculer des litres de sperme. Je lui fit retirer sa main de mon sexe, et je lui retira son pantalon et son slip en même temps. Je voyais sa petite bite dressée de soixantenaire. Son gland n’étant pas décalloté, j’empoigna son petit pénis d’environ 10cm en main, et tira sur la peau recouvrant sa verge. Son gland était gros, sa bite ressemblait alors à un marteau.

Mais que vis-je ?
il était recouvert d’une substance blanchâtre, avec une odeur répugnante. Du fromage de bite. Je me rapprocha alors avec ma bouche, et suça tendrement son gland tout en aspirant toute cette substance dans ma bouche. Il avait l’air si heureux. Je le suça pendant quelques secondes, mais il éjacula dans ma bouche.

Je n’avais jamais gouté quelque chose de si bon.
Même la cuisine de ma mère ne faisait pas le poids à coté. A peine qu’il éjacula, il rebanda de suite lorsque je lui montra mon petit cul sans poil. Il enfourna son index dedans. Mon cul s’était auto lubrifié, l’envie de sentir une bite en moi était au plus fort. Je me suis mit alors sur le dos, les jambes en l’air, les cuisses écartées. Il me pénétra de suite avec son engin, n’étant pas plus gros que son doigt. Il fit des vas et viens tout en branlant mon sexe gros et dur. J’étais au 7ème ciel. Quelques minutes passèrent, il éjacula au même moment que moi.
Sentir sa semence en moi me rendit puissant. Je me sentais libre, mon anus contenait la semence de mon héros, cet homme si courageux de vivre seul dans la rue. M’étant arrosé de mon sperme sur tout mon cors et mon visage, je ne voyais plus rien, j’étais comme dans un rêve. Je senti alors sa langue lécher mon visage pour retirer tout le sperme. Je l’aida en avalant celui qui était au bord de mes lèvres.
Il le prit mal.
Il me dit de lui laisser ce repas. Il prit une dizaine de minute à avaler tout ce sperme et à me nettoyer le corps avec sa langue rempli de boutons sur le point d’expulser tout le pus. Il me demande de me mettre à 4 pattes et me fit un anulingus pour récupérer sa semence et la manger. Il me remercia pour le repas et je m’en allais.

C’était un samedi soir, ou plutôt un dimanche, à 2h du matin. Fin de soirée bien arrosée, je décide de rentrer chez moi, seul et à pieds. Sur ma route, j’ai croisé un clochard éveillé, mendiant quelques centimes, avec un air désespéré. Il puait la mort dans un rayon d’au moins 15 mètres. Bizarrement, je me suis arrêté, et l’odeur au lieu de me rebuter, a procuré une excitation en moi. Je suis allé le voir, je me suis posé à coté de lui, et lui offra ma barre de céréale qui était dans ma poche.
Il me remercia, puis la mangea en deux bouchés, comme s’il n’avait pas mangé depuis 3 semaines. Il n’y avait pas de bruit, le silence reignait. J’étais secrètement attiré par ce clochard, que je voyais comme un héros, qui vivait sans argent dans ce monde capitaliste. Il déposa alors sa main contre ma cuisse, et commença a me carresser tendrement.
Je n’ai rien su dire, étant à la fois entre culpabilité contre moi même, et excitation. Je ne bougeais plus. Il su alors qu’il fallait qu’il aille plus loin. Au fond de moi, je n’attendais que ça. Il descendit sa main sous mon pantalon, et commencera à me caresser le sexe au travers de mon boxer moulant.
Ma bite commençait à durcir le long de sa main.
Je n’avais jamais eu une gaule aussi forte. A ce moment même, je pris sa tête entre mes mains, admira ses lèvres toutes noires et gercées, ses dents jaunâtres et cassés, et senti son haleine forte. Je colla alors mes lèvres contre les siennes, et l’embrassa tendrement. Il enfourna alors sa langue dans ma bouche, et nous échangions nos salives.
Son haleine étant si nauséabonde, j’eu plusieurs rejets de suite, jusqu’à ce que le vomi sorte. J’ai vomi dans sa bouche. Mais nous continuons à nous embrasser, et l’odeur nous excitait de plus belle. Etant excité comme jamais, sur le point d’éjaculer lorsqu’il passa sa main sous mon boxer et empoigna mon gros chibre qu’il masturbe en faisant des vas et viens avec sa main sale et poilu.
Je sentais mon gland se décalloter puis recalloter. Je le stoppa net. J’étais trop excité, un seul mouvement et je pouvais éjaculer des litres de sperme. Je lui fit retirer sa main de mon sexe, et je lui retira son pantalon et son slip en même temps. Je voyais sa petite bite dressée de soixantenaire. Son gland n’étant pas décalloté, j’empoigna son petit pénis d’environ 10cm en main, et tira sur la peau recouvrant sa verge. Son gland était gros, sa bite ressemblait alors à un marteau.

Mais que vis-je ?
il était recouvert d’une substance blanchâtre, avec une odeur répugnante. Du fromage de bite. Je me rapprocha alors avec ma bouche, et suça tendrement son gland tout en aspirant toute cette substance dans ma bouche. Il avait l’air si heureux. Je le suça pendant quelques secondes, mais il éjacula dans ma bouche.

Je n’avais jamais gouté quelque chose de si bon.
Même la cuisine de ma mère ne faisait pas le poids à coté. A peine qu’il éjacula, il rebanda de suite lorsque je lui montra mon petit cul sans poil. Il enfourna son index dedans. Mon cul s’était auto lubrifié, l’envie de sentir une bite en moi était au plus fort. Je me suis mit alors sur le dos, les jambes en l’air, les cuisses écartées. Il me pénétra de suite avec son engin, n’étant pas plus gros que son doigt. Il fit des vas et viens tout en branlant mon sexe gros et dur. J’étais au 7ème ciel. Quelques minutes passèrent, il éjacula au même moment que moi.
Sentir sa semence en moi me rendit puissant. Je me sentais libre, mon anus contenait la semence de mon héros, cet homme si courageux de vivre seul dans la rue. M’étant arrosé de mon sperme sur tout mon cors et mon visage, je ne voyais plus rien, j’étais comme dans un rêve. Je senti alors sa langue lécher mon visage pour retirer tout le sperme. Je l’aida en avalant celui qui était au bord de mes lèvres.
Il le prit mal.
Il me dit de lui laisser ce repas. Il prit une dizaine de minute à avaler tout ce sperme et à me nettoyer le corps avec sa langue rempli de boutons sur le point d’expulser tout le pus. Il me demande de me mettre à 4 pattes et me fit un anulingus pour récupérer sa semence et la manger. Il me remercia pour le repas et je m’en allais.

PAS de COPINE
03/09/2021 23:21
Go escorte
Tchétchène

Le 03 septembre 2021 à 22:59:46 :
Y’a pas de petites économies pour certains :)

:)

Elle veut se faire mettre enceinte sélection naturelle :)