Messages de Aprosope
Le 20 juin 2022 à 20:14:40 :
Sans abuser je pense que le forum est composé comme ça :
10 % de kheys qui semblent capable de discuter de tout sans dire d’aberration, et en développant
20% de troll qui font semblant de ne pas comprendre
40% de personnes qui gobent tout ce qu’on leur dit qui ne vient pas d’un média mainstream et ne remettent jamais en doute leurs convictions
20% de ghostfag qui postent une fois par mois
10% de marginaux ayant leur propre monde composé de leur propres codes. Ils sont capables eux de débattre intelligemment tout en assumant leur marginalité
"Tout est légal": accusé de vouloir "fausser" les législatives, le député Meyer Habib se défend
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Nul ne sut précisément quand le Fléau de la Tétrade s’éveilla de l'abîme primordial.
Le grand Dévoreur.
Le Symbiôme d'outre-monde.
L'Omphalos de cendres et de sang strié éventrant les cieux.
Mais on l’entendit par cette rumeur sourde qui déchira les entrailles de la Terre, cette étrange harmonie qui ne glorifie aucun monde et qui ne laisse pas de nier les sociétés qui l'ont fait naître.
Qui ? Mais QUI ?
חביב ! Hermès Trismégite de l’Huile Philosophale... lance de Longin plantée dans le flanc de l'Être, hypostase méontique de l’Éternel Saindoux ! Du non-être il s'éploie vertigineux en un monolithe anthracite, croc crépusculaire, synarchie opaline d’os d'ongles et de chair fondus, blessure cosmique qu'irrigue à rebours de son cours le fleuve du temps dans laquelle il s'abîme, s'habîbe, s'imbibe...
Et la terre sacrifiée gémit en se fissurant sous le fracas de son vouloir, feu oriental aorgique, et la voûte céleste, hoquetante, écartèle ses nuées en poumons écarlates, offrandes aux haruspices du Vide Insatiable ! De ses bourrelets milles dévastations stridulent, strangulant le katechon tels les anneaux serpentins d'un crotale solaire...
חביב ! Éternelle boursouflure levantine, si enflée que c'est depuis Israël qu'elle passa le confinement dans ses bourrelets, gigantesque blob de graisses kasher ! Oui, le roi Œdipe aux yeux crevés avait un œil en trop : ses phosphènes, vestiges hallucinés de cette involution cosmogonique; sa bouche mutique, barbelée d'éloquence, avenance de la Fugue infernale dilacérant les méridiens !
חביב ! Super-nid à viande convulsante, tératome minéral et non-euclidien de chairs fluides pulsantes de runes gématriales ! Canope cinéraire en surplomb de l'embrasement du tout, le Tyran aprosope s'engraisse de l'offrande charriée par son Serviteur : en son sein, les légions démoniaques des régions infra-terrestres se concentrent en nuées hurlantes ; à sa cime, le cruel Borée charrie les âmes en un cyclone de cendres pour le compte du Maître dont le regard, retourné dans son orbite, ne se détourne point des vagissements des âmes broyées, si synchrones et coalescentes qu'elles se désamorcent de la plus parfaite manière, égalant le plus impénétrable des silences...
Autour et alentours de l’œil de Typhon, la consomption du tout, jubilé universel : les forêts, enlacées de serpents ; putride, la chair des arbres ; la guerre est le ciel, et l'océan est une foule !
Feu, le corps du peuple !
L'incendie du monde fait rage...
Méduse obèse déployant ses pseudopodes en filaments de suif, les tripes de grasnit de l'hécatonchire infernal s'étendent, lierre inexorable et impossible, fusionnent avec les buildings dévastés dans un large rayon autour de son épicentre. Dans l'antichambre tétraédrique taillée comme un bétyl, les cavités mouchetées de glaires et de pus forment des arabesques en yiddish. Bée en son centre la Fosse épouvantable, iatrogenèse du monde répandant son carnage miasmatique, dévorant, boulimique...
Là, dans ses tréfonds qu'incubent les infectes excrétions des entrailles murales aux membranes vireuses, des pifs colossaux germent, champignons vénéneux, et pulsent au rythme du cœur des ténèbres du Pentateuque.
Là, entre les piliers d'obsidienne veinés du sang des vaincus, dans le ventre immonde de la Bête, un prince démoniaque, revêtu du maphorion cérémoniel fait de nuits et de brouillards, incante de sinistres mélopées nécromantiques visant à ressusciter 6 millions de cadavres, quelques savons et des fours à pains, sous le diabolique regard encastré à même la roche-chair de ce juifaillon porcin. Les tarins immenses, minéraux, de jais d'émeraude et d'opale sertis, vibrent alors à l'unisson des sombres pavanes de Pourim.
Convoquées hagardes, les cohortes rescapées de la conflagration du monde passent sous la futaie nasale aux reflets kaléidoscopiques de laquelle s'écoulent, en cascades, d'épais et jaunâtres torrents de morvesève. Voici que sous cette douche leurs traits s'affaissent, leur regard bistrent, leurs paupières s'abaissent ; s'en allant l'esprit brisé, ils formeront les légions infernales des électeurs LR zombies, des zergs LAREM, de la gauche néo marxiste ainsi que de l'extrême droite au RNaught antiraciste.
Qui osera porter le coup de grâce à cette engeance abominable, d'huile si suintante qu'une allumette négligemment jetée à la face suffirait à enflammer, divin holocauste hespérien qui seul plaît au Dieu de justice ?
Mais c’est trop tard : la terre est rouge sang, le ciel rouge sang, la mer rouge sang.
L’Omphalos hurle de ténèbres : "mais puisque je te dis que tout est légal, goy !"
Le 04 septembre 2021 à 01:44:38 :
Une crotte partie de moi
https://zupimages.net/up/21/35/7x3c.jpgBesoin d'attention passagère. Lâches toi
Mon fantasme sexuel est de gazer les narines du poisson-lune communiste Greta Thunberg. Laurent Alexandre la foutriquerait devant l’hologramme outré du philosophe Hans Jonas, duquel cette créature tire sa praxis.
La bouche mutine de la petite Suédoise serait tubulée de pipelines reliées aux gaz à effet de serre de mon anus. Nous dégusterions chacun un steak au jus tombant sur ses fesses qui coulisseraient de leur propre vouloir le long de nos techno-chibrons augmentés. Devant elle, un écran aux images défilantes à toute vitesse montrant la fonte progressive de la banquise, Hitler caressant des animaux, des centrales nucléaires qui explosent, Bambi, du CO2 visible à l’œil nu, la carte du QI qu'il ne faut pas diffuser... les possibilités sont infinies.
C'est que M. Alexandre, comme moi, aimons la mignonne, toute vulnérable et totalitaire Greta Thunberg. Tout particulièrement son minois dominateur, insolent, d'autiste à forte mâchoire séchant les cours, machine à humilier nos politiciens qui redemandent, tous transis et frissonnant de plaisir, du fouet écolo claquant sur leur vieille viande de bourgeois blanc consumé par la haine de soi. Une vilaine fille turbulente à remettre dans le droit chemin, indubitablement !
Nous procéderions par étape avec mon wing transhumaniste : tout d'abord, il s'agirait de la provoquer en dégustant des steaks Lidl devant elle. Puis de la rendre folle, inquisitrice, en énumérant la quantité astronomique de produits chimiques, de terres à exploiter et d'eau requise à sa production. Nous aimerions voir ses yeux s'embuer de larmes à l'évocation de leur empreinte carbone, et un coin de son visage s'illuminer d'un sourire pervers à mesure que, la chatouillant, nous lui expliquerions que le techno-capitalisme gagnera toujours, quoiqu'elle fasse.
J'aimerai voir les lèvres pincées de cette adorable et menue autiste, toute pète-sec et hésitante, trembler de rage et esquisser de vaines protestations teintées de plaisir lorsque, alors que nous l'harnachons telle une poupée cyberpunk, nous lui exposerions en quoi le techno-capital est l'avenir inéluctable de l'Homme et son dépassement dialectique nécessaire. Laurent Alexandre lui récitera du Kurzweil et je la bercerais dans mes bras pour la consoler et la refaire sourire après lui avoir révélé que son devenir-cyborg est sur le point de devenir réalité. "Greta, tu es une autiste inexpressive au regard de poisson crevé, ton logiciel de pensée n'est pas le tien, tu es déjà une intelligence artificielle, mais tu es imparfaite, et nous t'éléverons par delà bien et mal, par delà toute humanité. Nous réalisons là ta nature, ton telos, tu es une plante rare qu'il faut faire bourgeonner."
Nous lui enfoncerons alors impitoyablement la pipeline dans sa bouche, bouche reliée aux pets riches et fertiles de mon anus, ainsi qu'à son limon malodorant. Ligotée, M.Alexandre lui polluera alors pédagogiquement le fion pour la punir de son manque de respect envers les adultes, pour la punir d'avoir sécher les cours. L'éducation sociale-démocrate et républicaine doit être réaffirmée avec force !
Nous discuterons alors, moi et mon wing transhumaniste, de l'impact de mes pets pestilentiels chargés de méthane dans l'élévation topique de la température interne de Greta, de la part déterminante de nos boucles de rétro-éjaculation négative, modéliserons l'insémination totale et sans reste de son éco-système virginal rouge-brun par les coups de boutoir de notre techno-capitalisme socdem triomphant.
L'éducation, selon M.Alexandre, est effectivement l'affaire d'une adaptation de la pédagogie aux désavantagés cognitifs, un enjeu politique de taille pour notre société contemporaine, au regard de l'émergence future d'une IA techno-capitaliste forte. Greta Thunberg, le ventre gonflé de mes pets puissants et virils, en pleine formation républicaine, se mettrait alors d'elle-même à ballonner et léviter, flatulant directement dans l'atmosphère, aggravant son réchauffement, Marianne miraculeuse à propulsion anale de l'apocalypse climatique ! Elle sentirait alors les rayons du soleil s'intensifier et cloquer sa peau pâle, neo-Icare-montgolfière que nous chevaucherions fièrement dans les nuages acides de la stratosphère, lune gazeuse dans un bocal de notre conception fait de chemtrails, d'ozone et de modules de contrôle atmosphérique.
To the moon !
Le 04 septembre 2021 à 00:23:24 :
Des questions ?
https://twitter.com/Meyer_Habib/status/1344586893246296064
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Nul ne sut précisément quand ce Fléau s’éveilla de l'abîme.
Le grand Dévoreur.
Le Symbiôme d'outre-monde.
L'Omphalos de cendres et de sang strié éventrant les cieux.
Mais on l’entendit par cette rumeur sourde qui déchira les entrailles de la Terre, cette étrange harmonie qui ne glorifie aucun monde et qui ne laisse pas de nier les sociétés qui l’ont fait naître.
Qui ? Mais QUI ?
חביב ! Hermès Trismégite de l’Huile Philosophale... lance de Longin plantée dans le flanc de la Terre, hypostase de l’Éternel Saindoux ! Des tréfonds il s'érigea vertigineux en un monolithe anthracite, croc crépusculaire, synarchie opaline d’os d'ongles et de chair fondus, blessure cosmique qu'irrigue à rebours de son cours le fleuve du temps dans laquelle il s'abîme, s'habîbe, s'imbibe...
Et la terre se mit à trembler des échos de son vouloir, feu oriental aorgique.
Et ses bourrelets stridulèrent milles dévastations, tels les anneaux serpentins d'un crotale solaire.
חביב ! Éternelle boursouflure levantine, si enflée que c'est depuis Israël qu'elle passa le confinement dans ses bourrelets, gigantesque blob de graisses kasher ! Le roi Œdipe aux yeux crevés avait un œil en trop : ses phosphènes, vestiges hallucinés de cette vision de cataclysme.
חביב ! Super-nid à viande convulsante, tératome minéral et non-euclidien de chairs fluides couvertes de runes gématriales ! Canope cinéraire en surplomb de l'embrasement du tout, le Tyran aprosope s'engraisse de l'offrande charriée par son Serviteur : en son sein, les légions démoniaques des régions infra-terrestres se concentrent en nuées hurlantes ; à sa cime, le cruel Borée charrie les âmes en un cyclone de cendres pour le compte du Maître dont le regard, retourné dans son orbite, ne se détourne point des vagissements des âmes broyées, si synchrones et coalescentes qu'elles se désamorcent de la plus parfaite manière, égalant le plus impénétrable des silences.
Autour et alentours de l’œil de Typhon, la consomption du tout, jubilé universel : les forêts, enlacées de serpents ; putride, la chair des arbres ; la guerre est le ciel, et l'océan est une foule !
Feu, le corps du peuple !
L'incendie du monde fait rage...
Méduse obèse déployant ses pseudopodes en filaments de suif, les tripes de grasnit du Béhémoth s'étendent, lierre inexorable et impossible, fusionnent avec les buildings dévastés dans un large rayon autour de son épicentre. Dans l'antichambre tétraédrique taillée comme un bétyl, les cavités mouchetées de glaires et de pus forment des arabesques en yiddish. Bée en son centre la Fosse épouvantable, iatrogenèse du monde répandant son carnage miasmatique, dévorant, boulimique.
Là, dans ses tréfonds qu'incubent les infectes excrétions des entrailles murales aux membranes vireuses, des pifs colossaux germent, champignons vénéneux, et pulsent au rythme du cœur des ténèbres du Pentateuque.
Là, entre les piliers d'obsidienne veinés du sang des vaincus, dans le ventre immonde de la Bête, un prince démoniaque, revêtu du maphorion cérémoniel fait de nuits et de brouillards, incante de sinistres mélopées nécromantiques visant à ressusciter 6 millions de cadavres, quelques savons et des fours à pains, sous le diabolique regard encastré à même la roche-chair de ce juifaillon porcin. Les tarins immenses, minéraux, de jais d'émeraude et d'opale sertis, vibrent alors à l'unisson des sombres pavanes de Pourim.
Convoquées hagardes, les cohortes rescapées de la conflagration du monde passent sous la futaie nasale aux reflets kaléidoscopiques de laquelle s'écoulent, en cascades, d'épais et jaunâtres torrents de morvesève. Voici que sous cette douche leurs traits s'affaissent, leur regard bistrent, leurs paupières s'abaissent ; s'en allant l'esprit brisé, ils formeront les légions infernales des électeurs LR zombies, des zergs LAREM, de la gauche néo marxiste ainsi que de l'extrême droite au RNaught antiraciste.
Qui osera porter le coup de grâce à cette engeance abominable, d'huile si suintante qu'une allumette négligemment jetée à la face suffirait à enflammer, divin holocauste hespérien qui seul plaît au Dieu de justice ?
Mais c’est trop tard : la terre est rouge sang, le ciel rouge sang, la mer rouge sang.
L’Omphalos hurle de ténèbres : "#bonne année 2021!"