Messages de Creationdivin5

La Révolution
1789-1799

INTRODUCTION : Avec la Révolution tout un monde bascule. L'Ancien Régime, bâti de plus de 1500 ans s'effondre, une société nouvelle nâit dans les prolongements s'étendent jusqu'à nous. Dix ans ont suffi pour repousser le passé et préparer l'avenir. "Les Révolutions se font d'abord dans les esprits avant de passer dans les choses".
Les problèmes des vestiges de la féodalités, de la répartition des impôts et de la réforme financière auraient pu trouver une solution, mais le pays souffrait d'une crise morale et d'une crise d'autorité. Sa bourgeoisie, trop écartée des fonctions publiques et qui fut à l'origine des revendications, découvre en mai 1789, avec les états-généraux, l'espoir d'une ère de justice et de liberté. Quoi qu'on ait affirmé, la Révolution n'est pas un bloc. Elle est au contraire d'une extrême complexité. On peut admirer les idées généreuses et la grandeur des principes et déplorer les atrocités commises. Comme à dit Chateaubriand, "la liberté ne doit pas être accusée des forfaits qu'on commet en son nom". Pendant 10 années, le monde entier à eu les yeux fixés sur notre pays. Les idées nouvelles ont été admirées ou redoutées. "La Révolution intéresse l'humanité tout entière". Note Fichte en 1793
[...] La RF se situe en effet au coeur même de l'histoire du monde contemporain.
Comment a-t-elle commencé ? La monarchie, financièrement aux abois, à convoqu" en mai 1789 les états-généraux, rapidement transformés en Assemblée constituante (9 juillet - 30 septembre 1791 ou domine l'influence du tier-état (en faite celle de la bourgeoisie). Après la prise de la Bastille, symbole de l'absolutisme royal, le peuple prend conscience de sa force. La noblesse propose d'elle-même l'abolition de ses privilèges et l'Assemblée rédige la DDHC. Mais Louis XVI ne reconnaît pas les décrets et appelle des troupes à Versailles. Les révolutionnaires pressentent le danger et, au cours des "journées d'octobre" ramènent de force la famille royale à Paris.
L'année 1790 est relativement paisible, la Constituante continue l'élaboration de la future Consitution. Cependant en juin 1791, le roi, las de se sentir prisonnier aux Tuileries blessé en outre dans ses convictions religieuses - il désapprouve la Constitution civile du clergé - tente de s'enfuir, mais il est rejoint et arrêté à Varennes. Ce départ clandestin transforme les sentiments de beaucoup de Français : le roi en fuite ne compte plus auprès de ses sujets, le nombre de républicains augmente dans le pays. Louis XVI accepte finalement officielement la Constitution (14 septembre 1791). Désormais le monarque et une nouvelle assemblée, la Législative (1er Octobre 1791 - 10 août 1792), travailleront ensemble à la prospérité du pays et au bonheur des Français.
Dix mois plus tard, toutes les illusions ont disparu. Le jeu constitutionnel aurait peut-être pu réussir si l'ardeur bélliqueuse des girondins - alors parti "avancé" de l'Assemblée - n'avait déclenché la guerre contre l'Autriche.
Dès les premières défaites, les patriotes accusèrent le roi de trahison et dressent contre la monarchie les forces unies de la nation. L'insolent manifeste du Duc prussien Brunswick met le feu aux poudres. L'arrivée des fédérés à Paris, l'installation d'une Commune insurectionnelle permettent l'assaut finale contre les Tuileries (10 août 1792).
Après 13 siècles de monarchie "le dernier des rois" disparaît de la scène. La Commune fait conduire la "famille Capet" au donjon du Temple. La Législative, moribonde, n'a plus son mot à dire. Elle termine piteusement sa carrière.
Avec la Convention (20 septembre 1792 - 26 octobre 1795) s'ouvre l'ère républicaine. En septembre après les terribles massacres dans les prisons, une nouvelle Assemblée est élue : la Convention. La première séance se tient le jour même de la victoire de Valmy, le 20 septembre 1792. Les armées françaises vont maintenant pouvoir passer à l'offensive : c'est le début de la guerre de conquête.
A paris, deux partis rivaux se disputent âprement le pouvoir : girondins et montagnards. Au millieu de ces luttes se déroulent le procès du roi. Il est condamnée à 5 voix de majorité. Son exécution (21 janvier 1793) amène la formation de la première coalition contre la France révolutionnaire et le début d'une atroce guerre civile en Vendée.
Voyant les girondins incapables de conjurer les périls, les Montagnards les fait exclure de l'Assemblée (2 juin 1793). En fait, ils sont promis à la guillotine : l'escalade des haines continues. Les montagnards sont désormais les maîtres de l'Assemblée : ils gouvernent avec les voix d'un "centre" apeuré. Il doivent à la fois lutter contre les ennemis de l'intérieur (montée très brève du fédéralisme) et ceux de l'extérieur. La levée en masse permet de redresser la situation militaire, tandis que la terreur est organisée comme moyen de gouvernement révolutionnaire : la reine, les girondins, les généraux suspects sont guillotinés, les prêtres réfractaires à la Constitution traqués.
Pour palier les périls, il faut un gouvernement fort dictatorial. Aux rébellions, aux invasions, la Convention répond par des mesures extraordinaires.
Il s'agit moins de punir que d'anéantir les suspects. Robespierre l'explique avec simplicité :"La Terreur n'a pas pour but la conversion, mais la destruction des ennemis de la République". Chaque jour, la guillotine atteint son lot de victimes.
On a souvent dit que malgré les atrocités commises la Tereur a tendu les ressorts de la France au moment des plus grands dangers qu'eût jamais connus la patrie. Mais, dès lors que les victoires éloignaient le spectre de l'invasion, rien ne pouvait plus justifier cet excès de rigueur. Les charretes quotidiennes de condamnées ne sont plus applaudies que par les tricoteuses.
Les membres de la Convention tremble devant Robespierre. Chacune de ses paroles est commenté avec inquiétude. La chute de Robespierre sera spectaculaire et terrible. Il tombre le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). L'ère de l'épouvante est terminée.
Alors commence la période de la "Convention thermidorienne". "On semblait sortir du tombeau et renaître à la vie", dit Thibeaudeau. Mais à partir de cette date la Révolution stagne. Les grands acteurs ont disparu de la scène ; les passions, les colères font face aux intrigues.
Cependant la misère générale grandit, des émeutes provoqués par la faim sont durement répirmées. Des victoires à l'extérieur et d'avantageux traités consolident heuresement la situation de l'Assemblée. Mais la Convention juge qu'elle a remplis sa tâche. Suite à un plébiscite, le Directoire la remplace. Entre-temps, un jeune général, Bonaparte, a maté à paris l'insurrection royaliste. Malgré tout le sang versé, la Convention a accompli une oeuvre politique et sociale considérable - abolition de l'esclavage, création du système métrique, du Grand Livre de la dette publique, de diverses écoles...- Mais surtout elle a, par son énergie sauvé le pays de l'invasion étrangère. Elle laisse cependant aux nouveaux du Directoire (27 octobre 1795 - 10 novembre 1799) un lourd héritage : vie chère, misère, banqueroute, spéculation.
La Constitution de l'an III a donné le pouvoir législatif à deux assemblée et l'exécutif à 5 directeurs. Rapidement des conflits vont naître entre ces deux forces. [...]
Pour occuper les généraux, distraire l'attention du public et, si la victoire sourit, renflouer le Trésor, rien de tel que la guerre. [...]
Pour ne pas être mêlée à des intrigues qui le dévaloriseraient et rassurer les directeurs inquiets de sa popularité l'envoie en Egypte. Tandis qu'il combat au loin, le "pourrissement" du Directoire s'amplifie. [...] De nouvelles défaites en Italie accentuent l'impopularité des dirigeants politiques.
Les partisans de la révision de la Constitution veulent pouvoir s'appuyer sur une force militaire : ils cherchent un "sabre". Le retour de Bonaparte à Paris va permettre le coup d'Etat de brumaire (9 novembre 1799). La Révolution est, cette fois bien terminée, mais une partie de son oeuvre survivra.

:up:
L'immigration est une chance circulezhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/13/1/1553468873-21258-full.jpg

Le 05 septembre 2021 à 15:52:20 :
l'auteur a oublié ce détail :)

Lequel ? :)

https://www.ladepeche.fr/2020/07/17/mort-de-philippe-monguillot-a-bayonne-lemotion-et-la-colere-sont-toujours-aussi-fortes-8983171.php

Les quatre agresseurs que plusieurs médias nomment Mohamed C., Moussa B., Sélim Z. et Mohammed A. sont âgés d'une vingtaine d'années. Les deux principaux suspects ont été mis en examen pour "homicide volontaire sur un agent de réseau de transports publics".

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493812942-larry-hasard.png

Le 05 septembre 2021 à 15:45:24 :
Trop de low sur ce topic mais je reste jusqu'à delete :) qu'on se delecte un peu de ce seum

D'accord le gaucho :)

vivement :)

Le 05 septembre 2021 à 15:38:30 :

Le 05 septembre 2021 à 15:34:36 :

Le 05 septembre 2021 à 15:32:53 :

Le 05 septembre 2021 à 15:13:52 :

Le 05 septembre 2021 à 15:12:30 :
à vomir, comment pas avoir un peu la haine....

On se demande bien qu'elle est le problèmehttps://www.cnews.fr/videos/france/2021-08-25/immigration-le-bouleversement-demographique-1119140https://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png

Le problème c'est les politiques, ces gens sont pas venus de force, on les a laissé venir. Mais vu que vous êtes des faibles et lâches vous pointez du doigt l'immigré plutôt que le dirigeant. :)

Y'a aussi des immigrés au gouvernementhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png

T'es vraiment un petit bras, tu fais peine à lire.

Ok le dhimmi oublie pas ta repentance quotidienne face à ces colonshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png

Le 05 septembre 2021 à 15:32:53 :

Le 05 septembre 2021 à 15:13:52 :

Le 05 septembre 2021 à 15:12:30 :
à vomir, comment pas avoir un peu la haine....

On se demande bien qu'elle est le problèmehttps://www.cnews.fr/videos/france/2021-08-25/immigration-le-bouleversement-demographique-1119140https://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png

Le problème c'est les politiques, ces gens sont pas venus de force, on les a laissé venir. Mais vu que vous êtes des faibles et lâches vous pointez du doigt l'immigré plutôt que le dirigeant. :)

Y'a aussi des immigrés au gouvernementhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/53/6/1609595374-laddbent-oups.png

:up:
:up:

Le 05 septembre 2021 à 15:26:55 :

Le 05 septembre 2021 à 15:25:49 :

Le 05 septembre 2021 à 15:23:58 :

Le 05 septembre 2021 à 15:22:57 :
J'habite un village les kheys. Et les écoles primaires sont financées et gerees par la commune. Je comprends pas qu'on accuse l'Etat lorsqu'une primaire ou maternelle ferment ?

Qui subventionne les mairies ?

Bah mes putain d'impôts. On à une ligne sur les impôts locaux pour l'école. Je peux même te dire que ça revient à 120€ env/an . Donc c'est bizarre...

Les impôts c'est juste en partie, c'est très largement insuffisant

Une salle de classe et un professeur c'est chère à payer ? Par contre donner des milliard à Fatoumata de la CAF et payer les avocats de ses gosses qui tuent qui volent et qui violent ça on sait faire :)

:up:
:up:

Le 05 septembre 2021 à 15:24:39 :

Le 05 septembre 2021 à 15:18:57 :
En même temps y a personne dans les campagnes et ce qui est mis en place fonctionne un minimum.

ceci

quand t'as un village ou y a 5 gosses
effectivement c'est compliqué de maintenir une école dans le village
donc tu centralises les écoles ect...

Ce n'est même pas une école généralement tu as une salle de classe dans la mairie.
ça symbolise tout de même la préférence étrangères de nos elites :)

Le 05 septembre 2021 à 15:22:57 :
du coup, ce n'est pas zéro qu'il y a eu en villages, vu qu'il y a eu des fermetures, c'est - 75 milliards je suppose

Faut bien donner l'argent aux métèques tu comprends :)

:up:
Ne vous défendez pas le doyen est un dhimmi et pense qu'avec ses voisins il a de "bonnes relations" :)
Il n'y a pas de guerre de civilisation circulezhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/52/1483107685-jesuscrs2agentfisher.png

l'inconnu a frappé le prêtre à la tête avant de le rouer de coups de poing, jusqu'à ce que ce dernier tombe à terre. Les fidèles sont immédiatement intervenus et, lorsque la police est arrivée sur les lieux, l'agresseur «demandait aux policiers de lui donner leur arme pour tuer le prêtre», rapporte le maire.

l'agresseur avait déjà fait l'objet de plusieurs condamnations par le passé,

«Nous vivons dans un quartier qui n'est pas facile, nous avons de bonnes relations avec nos voisins m**ulmans, et nous ne voulons pas que ça change.

L'agresseur est une chance ? Bah c'est la faute du quartier qui est "difficile". :)

Source : https://www.lefigaro.fr/faits-divers/colmar-un-pretre-violente-a-l-heure-de-la-messe-20210107