Le 16 janvier 2021 à 20:07:22 Kertine a écrit :
Sûrement mais après c'est juste des sbires qui sont présent pour nos besoins primaires, les médecins psychiatres sont au dessus si je puis dire ainsi
les psychiatres sont encore pires
Le 16 janvier 2021 à 20:03:43 Kertine a écrit :
Non ils ne me font rien de tout ça bien au contraire ils sont sympaAprès je suis pas le genre de patient complètement amorphe avec le filet de bave au coin de la bouche, si y'a un soignant qui tente quoique ce soit c'est pied bouche direct
ils sont sympas en apparence mais en réalité ils te considèrent comme une merde
parce que les aides soignants sont comme des policiers
ils te savatent ? te crachent au visage ? te considère comme un chien ?
tu sais qu'on enferme les opposants politique en Hp
en gros ceux qui dérangent le gouvernement on les fout en hp
Le 16 janvier 2021 à 19:25:36 FunkPunk11 a écrit :
Le 16 janvier 2021 à 19:23:40 Yolitoto a écrit :
donner des neuroleptiques à un dépressif, qu'elle bonne idéehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474551948-1474294460-picsart-08-24-03-10-19.png Apparemment ça se fait en complément des antidépresseurs. Un bon petit cocktail
c'est peut etre pour calmer les idées suicidaires, parce que sinon ça aggrave la dépression
Le 16 janvier 2021 à 19:21:42 FunkPunk11 a écrit :
J'ai pris des neuroleptiques pendant 1 an, pour dépressionJ'avais une petite dose, ça a suffit pour me transformer en zombie. Je dormais 12h par nuit et j'étais quand même crevé
Et j'ai pris 15kg que je galère encore à perdre alors que j'ai tout arrêté il y a plus d'un anQuand je parlais des effets secondaires à mon merveilleux psychiatre il se contentait de me changer de médicament
Une fois il m'a même dit que je devrais faire un bilan à l'hôpital parce que c'est pas normal que je sois toujours fatigué
J'ai la haine
aya c'est pas normal que tu sois fatigué
ce fils de
la psychiatre agit au nom de l'Etat pour que les opposants à ce dernier acceptent la tyrannie dont ils sont victimes et de faire preuve d'immoralité
en gros plus vous êtes normaux plus vous serez immoraux
et moins la psychiatrie vous cherchera la merde
le but est de stigmatiser les gens en disant que certaines personnes sont folles car elles refusent d'être immoral et de les foutres en prison (en hp)
il a pour but de faire de vous des légumes pour mieux vous soumettre
les psychiatres sont des tarés
Parce que les allemands ne pouvaient plus attaquer, car la Russie attaquait
Et que la France était trop faible pour attaquer l'armee allemande
Les idiots qui disent pas de chars
Genre y'avait pas de chars pendant Napoléon et y'avait pas de tranchées
Ils dirigent l'opinion des gens et empêchent les gens de réfléchir par eux même
Il faut les combattre
Qu’est-ce que la psychiatrie ? (lisez que un des paragraphes si vous avez la flemme)
Officiellement, les médecins ont pour but de soigner une personne ayant des troubles mentaux. Soigner, c’est rendre un objet (un être vivant) à nouveau autonome, performant, capable de produire des gestes sans être trahi par une quelconque défaillance, qu’elle soit d’origine intérieure ou extérieure. Le combat entre deux êtres vivants limiterait la capacité motrice de notre objet mais ceci n’est pas considéré comme une défaillance dans notre cas. En psychiatrie, les médecins considèrent que le problème est propre à la personne. La personne développerait un problème à l’intérieur d’elle-même sans que le problème soit en lien avec le monde extérieur. L’individualité est mise en exergue en psychiatrie alors que c’est en reliant tous les êtres humains que l’on arrive à définir un phénomène physique, en considérant qu’une action ne s’arrête pas à une personne mais à deux personnes qui interagissent entre elles. Chaque individu est en réalité le prisme à travers lequel le monde entier se reflète, et non pas « un pion » qui bouscule toutes les autres personnes, ces derniers n’étant alors que des « pions immobiles » subissant l’acte agressif d’un individu isolé. C’est en réalité le monde entier (c’est-à-dire tous les autres pions) qui poussent « le pion isolé » à percuter tous les autres ! Le pion isolé forme un tout unique avec le reste des pions, c’est-à-dire que un seul des pions ne peut être compris qu’en définissant dans le même temps tous les autres pions. L’individualisation des problèmes est donc une optique fausse et une vaine chimère. Le psychiatre considère quant à lui que le patient est seul responsable de son mal et que donc son corps dysfonctionne.
Dans un premier temps, définissons le trouble mental. C’est un processus durant lequel une personne souffre toute seule ou bien fait souffrir d’autres personnes. Lorsque qu’une personne fait souffrir autrui, on considère qu’elle dérange les autres. Il se peut que nous dérangions autrui, soit par le biais d’un trouble mental, soit car notre caractère est différent (notre nature). En effet, un conflit peut avoir pour origine la non-compatibilité de la nature d’une personne avec son entourage ou, plus globalement, la société. Dans ce cas-là nous touchons à l’essence d’une personne. On ne peut pas modifier l’essence d’une personne, car c’est ce pourquoi elle agit (dans le cadre d’une action). La nature d’une personne (son essence) est ce qui produit le fondement de son action en raison de son caractère, c’est-à-dire sa volonté innée d’un désir à l’égard d’un objet. Si des gens mal avisés venaient à considérer que l’essence d’une personne, c’est-à-dire sa nature, n’est pas souhaitée, alors ces gens agiraient de façon tyrannique à l’égard de la personne concernée. Chaque personne réagit de façon différente à son entourage en fonction de sa nature, et c’est cette nature qui est souvent considéré comme un trouble mental en psychiatrie. De quel droit peut-on considérer que ce qui fait l’essence d’une personne n’a pas le droit d’exister ? La nature d’une personne ne peut pas être changée, à moins de considérer que l’on doit supprimer cette personne. La Nature d’un individu, c’est ce qui interagit avec le monde qui l’entoure. Si il existe une non-compatibilité entre la société (et donc son chef) et la nature d’une personne, doit-on considérer que si un conflit éclate c’est celui qui est seul contre tous qui est en tort ? C’est, selon moi, tout sauf l’indication que le problème mental viendrait de la personne seule. Pourquoi ? Car une idée peut-être vraie indépendamment du fait que la majorité des gens la considère fausse, ici le fait d’avoir raison seul contre tous (d’être dans son bon droit ou dans son tort). Se fier au Nombre pour savoir si une idée est juste relève de l’idiotie. Remettre en cause l’essence d’un individu (sa nature) est par ailleurs immoral, car toute personne évoluant selon ses propres règles et les règles fixées par Dieu (dit d’un acte naturel) a de facto tous les droits. Pour quelles raisons ? Si je considérais l’essence d’une personne mauvaise, trouvant alors injuste qu’on lui donna la vie, je nierais alors son existence en tant qu’être vivant dont la volonté est différente de la mienne mais qui n’exerce nullement une contrainte contre son bonheur. Si par malheur sa volonté exerce une contrainte contre mon bonheur, dois-je considérer que son existence est néfaste pour moi ? Oui, mais c’est alors à « une loi » de trancher. La frontière entre psychiatrie et législation (et donc police) est bien mince. Car en effet, dans tous différent nous essayerons de résoudre le conflit entre deux personnes. Le juge utilisera le psychiatre pour le résoudre, considérant que une des personnes a un trouble mental. Y a-t-il un vrai trouble mental ? Peut-on croire qu’une personne qui reste seul dans son coin, souffrant seule de sa folie, sera de force soigner par la psychiatrie ? Non. C’est lorsque la folie supposé d’une personne crée un trouble public ou un conflit avec le voisinage, que le psychiatre interviendra. Il agit en réalité comme un juge. Il y a fort à parier que la majorité des patients soignés en psychiatrie n’ont en réalité aucune pathologie mentales mais qu’ils ont été en réalité dans leur vie les ennemis de quelques personnes, de l’entreprise dans laquelle ils travaillent, de leur entourage ou de toutes sortes de personnes issus de la société. Ces gens possèdent (pour une partie) des troubles mentaux, mais ces troubles sont le fruit de leur altercation avec une partie de la société, autrement dit de la violence qu’ils ont subis ou qu’ils subissent encore. Je me permets une petite réflexion par une simple question. Si la psychiatrie stigmatise les gens, leur donnant le sentiment d’être des « voleurs », des créateurs de désordre, des « fous » nuisant à l’ordre public, la psychiatrie n’aggrave-t-elle pas les symptômes des personnes ? C’est la psychiatrie qui crée les symptômes de pathologies mentales chez les gens. Car elle fait partie de l’Etat, agit activement en son nom, et sert ses intérêts. Un des buts principaux de la psychiatrie est de stigmatiser les gens qui développent des troubles mentaux en raison de la violence qu’ils subissent de la part de l’Etat et de la société. Par curiosité personnelle, je m’intéresserais maintenant à la question suivante : Pourquoi le désir ou la volonté d’un état, que ce soit celle d’un seul homme ou de tous, auraient moins de valeur que le désir d’un seul ? Je pense que si le motif de la volonté de quelqu’un prend racine dans la Haine pour l’un et dans l’Amour pour l’autre, c’est celui qui a pour but d’aimer des êtres humains, et non celui de les tyranniser pour ses propres besoins, qui prime. La psychiatrie vise donc à résoudre des conflits et elle considère que celui qui est seul contre tous à des problèmes mentaux, considérant que c’est l’individu isolé qui est forcément coupable de violence, et non la société qui l’accule. La psychiatrie stigmatise et par sa renommée et sa légitimité pose un jugement qui a pour but de stigmatiser, c’est-à-dire nommé celui qui est coupable.
Qu’est-ce qu’un problème mental ? L’acteur et ses jugements sont considérés comme compromis. Les décisions d’une personne sont mal avisées ou ne prennent pas en compte l’environnement, l’entourage. Exemple : Franchir un feu rouge est mal avisé. Mais dira-t-on que le résistant en France en 1942 pendant l’occupation était mal avisé lorsqu’il distribuait des tracts contre le nazisme et l’occupation allemande ? On peut dire ainsi qu’il ne prend pas en compte le danger et il aurait, donc, un problème mental. Je note qu’il était d’ailleurs jugé fou et cité comme « extrémiste » (c’est-à-dire diabolisé) par la presse française sous occupation. La presse influençant et (en réalité) dirigeant l’opinion publique, c’est toute la population française qui considérait les résistants français comme des terroristes. Y aurait-il un lien entre la folie suggérée d’une personne et sa diabolisation ? Toute personne ayant des troubles mentaux est, quasiment tout le temps, en conflit avec la société (ou son entourage). Dans le cadre d’un conflit, sommes-nous d’accord pour dire que l’ennemi est diabolisé en toutes circonstances ? De ce fait, on peut dire que l’homme qui développe des troubles mentaux, étant en conflit avec ses voisins, la société, est diabolisé. Diabolisé par qui ? Le psychiatre. Qui n’est autre que le sous fifre de l’Etat. Il est la Main de l’Etat. La psychiatrie, ayant la volonté de résoudre des conflits et désignant le coupable (le responsable), a donc un lien fort avec le Politique. La politique et la psychiatrie ne font en réalité qu’un. Qu’est-ce que la politique ? C’est agencer et réguler la société, selon des règles, partant du principe que des conflits (petits ou grands) éclatent entre les citoyens. Comment l’esprit serait perturbé ? A quel moment considère-t-on qu’il y a un trouble de l’esprit, autrement dit que l’esprit est défaillant ? Le psychiatre considère que l’esprit d’une personne est défaillant lorsque son attitude et ses réactions provoquent un trouble dans l’espace public. L’objectif du psychiatre est de rendre la personne docile, elle doit se soumettre aux règles imposées par l’Etat pour que nous puissions tous vivre ensemble, dit-on. Il s’agit en effet du « bien commun » qui suggère que chacun peut trouver son propre bonheur en respectant une diatribe de règles imposées. Ces règles empêcheraient « sa nature » de prendre le dessus pour faire un acte immoral. L’être humain serait donc, selon eux, par essence immoral et les personnes riches (les médecins) devraient par devoir venir en aide aux gens pauvres (la plus grande masse de gens) pour qu’ils deviennent moraux. Le psychiatre a donc une mission morale. Celle de rendre les gens moraux (les sujets ayant des troubles mentaux) et celle de donner à l’espace public un caractère sain. Le psychiatre fait donc la Loi, il a une action législative.
Avec quels outils le psychiatre agit-il ? Il a à sa disposition dans un premier temps la carte de l’Hôpital psychiatrique qui est en réalité la « mise en prison », la mise en détention de la personne. Et dans un second temps il utilise des médicaments. Quel est le but du médicament ? Quel est le but du neuroleptique ? Le but est de dérober les fonctions vitales au patient, de le rendre inerte. Nous tentons de diminuer son énergie, de nuire à sa capacité de vivre naturellement (au fonctionnement naturel de son corps). Le but est de rompre l’équilibre psychique du patient. Qu’est-ce qu’un équilibre psychique ? C’est la capacité du corps d’un être humain à réguler des substances, des liquides, ou en produire dans le but de répondre à ses demandes, que ce soit dans un but moteur (le corps), ou intellectuel (l’esprit). Comment suis-je arrivé à un tel raisonnement ? Il me semble que l’on ne peut pas créer un nouveau « circuit » dans le cerveau, il est donc probable que l’on essaye d’augmenter ou de diminuer l’activité d’un « circuit » préexistant. On décide donc, probablement, de diminuer ou d’augmenter l’énergie du patient. La substance visée était donc la dopamine, selon toute raison gardée. Quelle substance produite par le corps vise-t-on à nuire dans le cadre du « médicament » neuroleptique ? Il s’agit bel et bien de la dopamine. La dopamine est source d’énergie, elle régule les humeurs et elle se trouve en grand nombre lorsque l’esprit est agité. Elle est source de bonheur. C’est la dopamine qui crée un lien entre les frémissements de l’esprit et le mouvement du corps. Elle permet une indépendance mentale du sujet. S’attaquer à elle, c’est s’attaquer à la liberté de la personne. La baisse de la dopamine ou sa régulation (selon les termes des médecins) par neuroleptique crée une baisse d’énergie. Si il y avait un dérèglement de la dopamine réel, alors pour quelles raisons sa saturation est tout à fait normale chez les patients en dehors des crises ? Avoir un taux de dopamine plus élevé lors d’une crise est la réponse normale du corps à un stimulus qui a pour origine un esprit enclin à l’excitation. Comment ne pas non plus considérer que un esprit qui serait excité en permanence n’est pas quelque chose de bénéfique plutôt que négatif ? Il me semble que le calme d’un esprit reflète le manque d’intelligence de quelqu’un. C’est le manque d’intelligence du psychiatre qui lui fait dire qu’un esprit réactif et rapide est un esprit incohérent. Les esprits faibles sont calmes et de nature soumise, et c’est bien la soumission qui est recherché par l’Etat, surtout lorsqu’il s’agira de former les futurs cadres du régime à l’université. Réguler c’est ici ordonner les choses d’une façon telle qu’elles deviennent agréables pour soi (utiles) en vue d’atteindre un objectif. Alors, quel est l’objectif du médicament ? Le neuroleptique a pour premier but de rendre la personne fatiguée. Le second but souhaité quand le premier est atteint est de rendre la personne malléable aux injonctions de l’Etat et donc, du psychiatre. C’est ce second but qui est recherché grâce à l’effet premier de fatigue du neuroleptique. Le but est de rendre l’élément perturbateur, « le patient », docile. Il faut prendre en compte, bien évidemment, que les termes patient, soignant, médecin ou encore médicaments sont mensongers. Le but est de changer le comportement des gens par la force. Ils utilisent d’abord la force des mains et la solidité des barreaux en plaçant l’individu dans un Hôpital psychiatrique (une prison), dans le but de sécuriser l’espace publique de façon immédiate. Puis ils décident de s’attaquer à l’esprit du patient, à sa Volonté. Il faut « briser sa volonté ». Le troisième but et ultime but du neuroleptique est la résilience du patient : son acceptation de rentrer dans les normes et d’être compatible eu égard à la Loi qui sécurise l’espace public, qui, lui, est sécurisé pour permettre à l’activité économique de battre son plein et sans entrave. On pourrait comparer un neuroleptique à un instrument de torture qui a pour but de faire souffrir le patient dans le but de lui faire concéder sa soumission. Faire pression sur le malade dans le but de le normaliser, c’est, je crois, le principal moteur de la psychiatrie, le principal but. C’est ce qui fait son essence, c’est-à-dire ce pourquoi elle existe. Pourquoi le normaliser ? On souhaite le normaliser soit pour le réintégrer à la société dans le but qu’il consomme des biens et en produise, tel un vulgaire esclave, soit, dans les cas les plus graves, qu’il cesse de déranger le reste des êtres humains et d’empêcher la société de fonctionner librement. Pour conclure, vis-à-vis du neuroleptique, les psychiatres semblent oublier une chose. Il y a une séparation nette entre le corps et l’esprit ! On peut s’attaquer au corps d’un individu que cela ne changera rien à sa détermination. L’esprit est inatteignable et il le sera à jamais !