Messages de Patgarrett
J’étais invité il y a deux jours dans l'émission de Simon Collin que je connais bien. Je n’ai pas pu faire l’émission car l’ami Simon Collin qui me recevait était depuis 2 jours en réanimation à l’hôpital après avoir avalé une centaine de médocs. Des fouille-merdes de l’équipe de Schneidermann (« Arrêt sur Images ») s’acharnent sur Simon depuis plusieurs mois, surtout depuis que son émission marche du feu de Dieu. Chaque semaine des invités différents : Yann Moix, Nicoletta, Michel Drucker, Yann Queffélec, Bigard, Ségolène Royal, Arnaud de Montebourg, Serge Moati, Jean-François Khan, Claude Lelouche, Rost, André Manoukian, Eric Naulleau… et beaucoup d’autres. D’accord, il la joue people déjanté, dandy friqué, champagne pour tout le monde. Un article diffamatoire paraît en novembre, puis un deuxième récemment, avec cette précision des journaleux d’« Arrêt sur images » : « Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? »… Il vous a répondu. Il est sur un lit d’hosto en réanimation après avoir avalé une centaine de comprimés.
En titre on peut lire : « Le youtubeur Simon Collin face à la justice. Condamné pour violences et menaces de mort, il continue de recevoir des célébrités. » Et le fouille-merde développe :
« En mai dernier, nous brossions le portrait de ce youtubeur qui anime des interviews déjantées de célébrités sur sa chaîne, "Les Clochards Célestes" : nous racontions ses proximités passées avec l'extrême droite, l'usurpation du nom de Sciences Po pour inviter politiques, intellectuels et artistes. Depuis, nous avons appris que Simon Collin s'appuie sur sa notoriété croissante pour rencontrer des jeunes femmes. L'une d'elles a porté plainte pour viol. »
« La notoriété croissante », voilà sans doute ce qui leur donne de l’urticaire – quand à l’extrême droite, c’est la diabolisation habituelle, le suprême anathème, quand on veut abattre quelqu’un. Je connais Simon. C’est une accusation bidon. Tout comme le fait d’utiliser Science Po pour attirer du monde. Il n’a jamais dit qu’il était étudiant à Science Po, ce que sont pour la plupart la trentaine de ses amis (et amies) qui assistent à ses émissions. Plainte pour viol ? Là, c’est le summum, le projecteur en pleine gueule. Une soirée borderline entre étudiants friqués, des belles nanas comme sur les photos de mode, l’alcool, le tourbillon de la soirée, et puis cette plainte : pour un baiser volé, comme on dit – mais aujourd’hui un baiser sur la bouche est considéré comme un « viol ». Simon Collin – 24 ans – était inscrit à Dauphine pour une école de journalisme. A la lecture de l’article d’Arrêt sur Images, la Fac Dauphine a refusé son inscription en le barrant, hop, d’un trait de plume. Je n’entre pas dans les détails – ce qui prendrait trop de temps.
Je pense simplement à lui sur ce lit d’hôpital, qui a failli mourir, et aux charognards qui ont osé écrire dans leur article :
« Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? » Bravo les mecs !
J’étais invité il y a deux jours dans l'émission de Simon Collin que je connais bien. Je n’ai pas pu faire l’émission car l’ami Simon Collin qui me recevait était depuis 2 jours en réanimation à l’hôpital après avoir avalé une centaine de médocs. Des fouille-merdes de l’équipe de Schneidermann (« Arrêt sur Images ») s’acharnent sur Simon depuis plusieurs mois, surtout depuis que son émission marche du feu de Dieu. Chaque semaine des invités différents : Yann Moix, Nicoletta, Michel Drucker, Yann Queffélec, Bigard, Ségolène Royal, Arnaud de Montebourg, Serge Moati, Jean-François Khan, Claude Lelouche, Rost, André Manoukian, Eric Naulleau… et beaucoup d’autres. D’accord, il la joue people déjanté, dandy friqué, champagne pour tout le monde. Un article diffamatoire paraît en novembre, puis un deuxième récemment, avec cette précision des journaleux d’« Arrêt sur images » : « Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? »… Il vous a répondu. Il est sur un lit d’hosto en réanimation après avoir avalé une centaine de comprimés.
En titre on peut lire : « Le youtubeur Simon Collin face à la justice. Condamné pour violences et menaces de mort, il continue de recevoir des célébrités. » Et le fouille-merde développe :
« En mai dernier, nous brossions le portrait de ce youtubeur qui anime des interviews déjantées de célébrités sur sa chaîne, "Les Clochards Célestes" : nous racontions ses proximités passées avec l'extrême droite, l'usurpation du nom de Sciences Po pour inviter politiques, intellectuels et artistes. Depuis, nous avons appris que Simon Collin s'appuie sur sa notoriété croissante pour rencontrer des jeunes femmes. L'une d'elles a porté plainte pour viol. »
« La notoriété croissante », voilà sans doute ce qui leur donne de l’urticaire – quand à l’extrême droite, c’est la diabolisation habituelle, le suprême anathème, quand on veut abattre quelqu’un. Je connais Simon. C’est une accusation bidon. Tout comme le fait d’utiliser Science Po pour attirer du monde. Il n’a jamais dit qu’il était étudiant à Science Po, ce que sont pour la plupart la trentaine de ses amis (et amies) qui assistent à ses émissions. Plainte pour viol ? Là, c’est le summum, le projecteur en pleine gueule. Une soirée borderline entre étudiants friqués, des belles nanas comme sur les photos de mode, l’alcool, le tourbillon de la soirée, et puis cette plainte : pour un baiser volé, comme on dit – mais aujourd’hui un baiser sur la bouche est considéré comme un « viol ». Simon Collin – 24 ans – était inscrit à Dauphine pour une école de journalisme. A la lecture de l’article d’Arrêt sur Images, la Fac Dauphine a refusé son inscription en le barrant, hop, d’un trait de plume. Je n’entre pas dans les détails – ce qui prendrait trop de temps.
Je pense simplement à lui sur ce lit d’hôpital, qui a failli mourir, et aux charognards qui ont osé écrire dans leur article :
« Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? » Bravo les mecs !
J’étais invité il y a deux jours dans l'émission de Simon Collin que je connais bien. Je n’ai pas pu faire l’émission car l’ami Simon Collin qui me recevait était depuis 2 jours en réanimation à l’hôpital après avoir avalé une centaine de médocs. Des fouille-merdes de l’équipe de Schneidermann (« Arrêt sur Images ») s’acharnent sur Simon depuis plusieurs mois, surtout depuis que son émission marche du feu de Dieu. Chaque semaine des invités différents : Yann Moix, Nicoletta, Michel Drucker, Yann Queffélec, Bigard, Ségolène Royal, Arnaud de Montebourg, Serge Moati, Jean-François Khan, Claude Lelouche, Rost, André Manoukian, Eric Naulleau… et beaucoup d’autres. D’accord, il la joue people déjanté, dandy friqué, champagne pour tout le monde. Un article diffamatoire paraît en novembre, puis un deuxième récemment, avec cette précision des journaleux d’« Arrêt sur images » : « Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? »… Il vous a répondu. Il est sur un lit d’hosto en réanimation après avoir avalé une centaine de comprimés.
En titre on peut lire : « Le youtubeur Simon Collin face à la justice. Condamné pour violences et menaces de mort, il continue de recevoir des célébrités. » Et le fouille-merde développe :
« En mai dernier, nous brossions le portrait de ce youtubeur qui anime des interviews déjantées de célébrités sur sa chaîne, "Les Clochards Célestes" : nous racontions ses proximités passées avec l'extrême droite, l'usurpation du nom de Sciences Po pour inviter politiques, intellectuels et artistes. Depuis, nous avons appris que Simon Collin s'appuie sur sa notoriété croissante pour rencontrer des jeunes femmes. L'une d'elles a porté plainte pour viol. »
« La notoriété croissante », voilà sans doute ce qui leur donne de l’urticaire – quand à l’extrême droite, c’est la diabolisation habituelle, le suprême anathème, quand on veut abattre quelqu’un. Je connais Simon. C’est une accusation bidon. Tout comme le fait d’utiliser Science Po pour attirer du monde. Il n’a jamais dit qu’il était étudiant à Science Po, ce que sont pour la plupart la trentaine de ses amis (et amies) qui assistent à ses émissions. Plainte pour viol ? Là, c’est le summum, le projecteur en pleine gueule. Une soirée borderline entre étudiants friqués, des belles nanas comme sur les photos de mode, l’alcool, le tourbillon de la soirée, et puis cette plainte : pour un baiser volé, comme on dit – mais aujourd’hui un baiser sur la bouche est considéré comme un « viol ». Simon Collin – 24 ans – était inscrit à Dauphine pour une école de journalisme. A la lecture de l’article d’Arrêt sur Images, la Fac Dauphine a refusé son inscription en le barrant, hop, d’un trait de plume. Je n’entre pas dans les détails – ce qui prendrait trop de temps.
Je pense simplement à lui sur ce lit d’hôpital, qui a failli mourir, et aux charognards qui ont osé écrire dans leur article :
« Comment enquêter sur un jeune homme à la santé psychique fragile, qui menace de se suicider si nous publions notre article ? » Bravo les mecs !
Salutations nocturnes. Mon vrai nom c'est Jean-Paul Bourre. Bravo à l'équipe d'Arrêt sur images" qui s'acharne sur Simon Collin. Ils ont réussi leur coup. Je devais passer ce soir sur sa chaîne en invité de l'émission. Impossible. Simon est en réa après avoir avalé une centaine de comprimés. Il s'en sortira, mais c'est limite. Surtout qu'après l'a article nauséeux du site de Schneidermann la fac Dauphine, où il était inscrit, vient de refuser son inscription.
L'hommage à Johnny de mon pote Jean Paul Bourre :
"Il a allumé une dernière cigarette... et il est parti, sans se retourner.
Ok - ça c'est dans les films, et ça ne s'est pas passé comme ça. Il n'est pas mort "dans la poussière les bras en croix", mais dans un lit d'hôpital, ou chez lui, dans sa chambre médicalisée - une mort neutre et sans couleur, comme nous tous. Il n'est pas tombé au pas de charge du rock'n roll, mais détruit lentement de l'intérieur. Et alors ?
Il a accompagné avec intensité ma jeunesse rebelle, blousons noirs, rock'n roll et Fureur de vivre. Je dépose ces deux livres sur sa tombe. Je ne peux pas faire plus. Le rock'n roll n'est jamais mort, comme le chante Neil Young. Il survit à la décomposition du corps. Il a utilisé celui d'un certain Jean-Philippe Smet, né le 15 juin 1943, pour répandre l'incendie, et faire sa révolution, chez nous, en France. Johnny fut son prophète. C'est une grâce mystérieuse et magique, incompréhensible à l'homme ordinaire. A travers temps et espace, la course à 200 à l'heure ne s'arrête jamais."
De la part de mon pote Jean Ppaul Bourre :
"Il a allumé une dernière cigarette... et il est parti, sans se retourner.
Ok - ça c'est dans les films, et ça ne s'est pas passé comme ça. Il n'est pas mort "dans la poussière les bras en croix", mais dans un lit d'hôpital, ou chez lui, dans sa chambre médicalisée - une mort neutre et sans couleur, comme nous tous. Il n'est pas tombé au pas de charge du rock'n roll, mais détruit lentement de l'intérieur. Et alors ?
Il a accompagné avec intensité ma jeunesse rebelle, blousons noirs, rock'n roll et Fureur de vivre. Je dépose ces deux livres sur sa tombe. Je ne peux pas faire plus. Le rock'n roll n'est jamais mort, comme le chante Neil Young. Il survit à la décomposition du corps. Il a utilisé celui d'un certain Jean-Philippe Smet, né le 15 juin 1943, pour répandre l'incendie, et faire sa révolution, chez nous, en France. Johnny fut son prophète. C'est une grâce mystérieuse et magique, incompréhensible à l'homme ordinaire. A travers temps et espace, la course à 200 à l'heure ne s'arrête jamais.