Le 26 août 2021 à 00:36:52 :
Train insta dans la barre de recherche
C'est un compte insta
Donnez tout vos bots/techniques/appli, je suis prenant de tout,
J'en ai marre que tout mes potes aient + que moi, pourtant aucun de nous ne met de tof ni de story
Pour l'instant j'en ai 100 et je dois minimum dépasser les 300
Le 25 août 2021 à 04:06:02 :
Perso un jour il pleuvait, ben à 18h j'ai fermé ma trousse
Le 25 août 2021 à 04:03:06 :
J'ai tellement honte et je stresse tellement que je commence à pleurer, des gens se foutent de ma gueule et la prof vient me demander ce qu'il y a... C'est à ce moment là que je sors l'excuse la plus exceptionnelle de ma vie: "Toute ma famille est morte en Argentine."
Et ton mensonge s'est jamais fait cramer ?
Si, un jour c'était réunion prof-parents...
à part ça, j'ai toujours été un asocial donc tout le monde s'en bas les couilles, et j'ai déménagé l'année même
Et toi, t'as pas d'anecdotes ?
Bon, pour ma part :
Un jour en cours d'histoire géo au collège - en 3 eme - on avait besoin de nos livres. La fille plus mignonne de la classe (j'étais amoureux d'elle sans jamais lui avoir parlé) n'avait pas son livre et comme j'étais l'unique élève tout seul, la prof lui demande de venir à coté de moi pour le cours.
J'ai vraiment eu un coup de chaud en entendant ça. A l'époque, j'étais asocial level 1000.
J'étais tétanisé..
La fille s'assoit à coté de moi elle regarde mon livre et me demande "où c'est l'Argentine ?" sur la carte car on faisait un cours sur l'Amérique du Sud. Rien que le fait qu'elle me pose une question m'avait glacé, je stressais tellement que je transpirais, j'ai même pas su lui répondre. J'étais bloqué, le bug total.
Elle me repose la question en croyant que j'ai pas entendu mais je stresse tellement que je suis paralysé.
Impossible de bouger ma main.
Je réponds "c'est là" mais sans pouvoir lui montrer..
"- bah où ça là ?"
"- là..." en essayant de lui montrer avec mon regard
"- mais où ça putain montre moi t'es con ou quoi toi ???"
La moitié de la classe se retourne vers nous.
J'ai tellement honte et je stresse tellement que je commence à pleurer, des gens se foutent de ma gueule et la prof vient me demander ce qu'il y a... C'est à ce moment là que je sors l'excuse la plus exceptionnelle de ma vie: "Toute ma famille est morte en Argentine."
J'ai un peu repris mes esprits ensuite, je me suis levé j'ai pris mon sac et je suis parti.
La fille m'a regardé comme ça:
Dans les couloirs je me suis mis à courir et je me suis pas arrêté jusqu'à chez moi.
Inutile de vous dire que j'ai jamais choppé cette fille...
Le 25 août 2021 à 03:36:53 :
Le 25 août 2021 à 03:34:37 :
Le 25 août 2021 à 03:32:47 :
Caissier
Footballeur pro + 10K par semaine
Le 25 août 2021 à 03:35:01 :
Le 25 août 2021 à 03:34:05 :
Chômage Rsa
Raté
Le 25 août 2021 à 03:32:47 :
Chapitre cinq :
- Tu attends quoi ?
J'avais complètement oublié mes remords quand elle me dit ça. J'enlevais ma ceinture puis mon bouton. Mes mains étaient moites et elle tremblaient. Dans la panique, je n'arrivais pas à me défaire de ce maudit pantalon.
Alors elle vint à ma rescousse ... Elle s'agenouilla et rampa doucement vers moi. Puis me lança un regard.
Elle mit les mains sur mon bouton et d'un coup d'un seul, les enleva tous. Mon pantalon me toma alors au chevilles. Elle fit de même avec mon caleçon qu'elle fit rouler délicatement sur mes cuisses.
Elle approcha sa tête doucement vers mon sexe
Je sentais son souffle chaud.
Elle ouvrit la bouche et déroula lentement sa langue. Elle parcourue toute la longueur de mon sexe avec sa langue trois fois de suite. Je sentais des frissons parcourir tout mon corps
Puis elle revint vers le bout de mon sexe et enfonça dans sa bouche ma verge tout en me regardant dans les yeux
Lentement, elle fit des allers-retours, ses yeux dans les miens. Je tint ses cheveux entre mes mains et je poussa sa tête lorsqu'elle arriva au bout de ma verge.
Au bout de deux minutes, je la releva. Ses lèvres étaient à ma hauteur et nos yeux plongeaient les uns dans les autres. Je l'embrassa avec vigueur tout en la dirigeant vers le lit.
Arrivés devant le lit, je la poussa sauvagement. Elle s'allongea les cuisses ouvertes et ses mains qui se dirigeaient lentement vers son bas du ventre. Je mit un genou à terre. Sa chatte était devant mes yeux. Je pris ses cuisses entre mes mains et j'approcha ma tête de son sexe tout en sortant ma langue de ma bouche. Je la sentit se cambrer au contact entre ma langue et ses lèvres.
Elle poussait de petit bruit au fur et à mesure que je faisais tourner ma langue sur son clitoris. J'enleva ma main droite de sa cuisse et je l'approcha de son vagin. Je senti son grain de peau effleuré mes doigts que je rapprochais inexorablement de cette fente. La chaleur se fit de plus en plus forte au bout de mes doigts. Arrivé à la source, j'y enfonça mon majeur lentement tout d'abord. Elle se cambra de plus en plus.
Mon autre main quitta sa cuisse et je la fit grimper le long de son ventre pour arriver jusqu'au galbe de ses seins que j'attrapa fermement. Mon sexe était en feu. Je ne put me retenir trop longtemps. Je monta mon visage à hauteur du sien et nos sexes se touchèrent.
Sans trop d'efforts, je la pénétra d'un coup de rein qu'elle me rendit aussitôt
Plus je la baisais, plus elle poussais de petit bruits qui me parvenaient aux oreilles. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque et elle tenait mes cheveux dans ses mains. Dans les miennes se trouvaient ses seins que je tenaient fermement. Les coups de reins se faisaient de plus en plus rapide et je sentais monter en moi un force spectaculaire que je n'avais jamais sentie auparavant. Je me sentais invincible. Je le sentais. C'était là. Ça vient.
Je sortit rapidement mon sexe et je la tira par la nuque pour la mettre à genoux. Elle se laissa faire sans broncher. Je tremblais et je la regardais dans les yeux. Une douce chaleur m'emplissait le corps. Enfin le sperme coula sur son visage et sur ses lèvres. Elle ferma doucement les yeux comme pour me remercier de ce doux moment.
On entendit la porte du bas s'ouvrir ...
FIN
Finalement moi et Christelle on s'est fait tèj de la maison, on a fait chacun notre vie et quand on s'est rencontrés on a baisé comme des animaux, et c'est comme cela que nait le 18-25
Chapitre quatre :
- Oui ?
- Tu peux venir s'il te plaît ?
- Euh, d'accord.
Je ne savais pas pourquoi, mais cette situation ne me disait rien qui vaille. J'avais comme un mauvais pré-sentiment. Mais dans le doute, je poussa la porte.
- O-Oui ?
Elle était là, assise sur son lit et complètement dénudée. Ses belles jambes à peine arquées, l'une recouvrant l'autre, d'une teinte dorée qui sublimait ses mollets. Ses fines cuisses où l'on pouvait voir la trace de bronzage de son maillot de bain. Ses hanches lui faisaient une taille de guêpe à peine couvertes par ses poignées d'amour. Et ce ventre plat ...
Je fis mine de me couvrir les yeux. Pour ne pas paraître trop obsédé.
- D-Désolé
- Allons, découvres tes yeux Célestin. Il n'y a pas de mal
J'enleva doucement ma main de mes yeux et je continua de la regarder tandis qu'elle ne bougea pas.
Mon regard montait alors vers ses seins.Ils étaient fermes et un tantinet gonflés, sans tomber dans l'abondance. Ses tétons rosés pointaient en ma direction et m’envoûtaient complètement. Les traces de son soutien-gorge étaient ornés de ses petits cheveux qui couraient ici et là sur ses frêles épaules.
- Ce corps est parfait
Sur ces paroles, elle écarta doucement les cuisses.
Le 24 août 2021 à 05:32:23 :
Le potentiel s'est arrêté à peu près ici:- B-Bah C-Christelle, f-fallait pas te déranger, je l'aurais ramassé seul
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480119520-1480107987-ris51.png - Ne t'en fais pas Célestin, tu es mon frère, je ferai tout pour toi hihi
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483717748-dobrev1.jpg On dirait une parodie au pif d'un foromeur
Oui je vois c'est devenu un peu fade j'avoue, n'empêche que c'est ma première fic
Chapitre trois :
Une trentaine de minutes plus tard, je me leva, un peu plus en forme cette fois-ci.
"Bon il se fait tard. Je vais me coucher."
J'éteignit la télé puis je me dirigea d'un pas lent vers la salle de bain.
J'essayais tant bien que mal d'effacer les images que j'avais en tête ... Je les savais malsaines.
Pendant que je me brossais les dents, des idées obscènes se bousculaient dans mon esprit ...
Mes efforts pour oublier ces images étaient vains
"Mon dieu ... Quel monstre je fais. Quelle horreur. Quelle infamie."
Les jambes lourdes, je monta les escaliers pour me rendre dans ma chambre
"Que penseraient mes parents s'ils savaient que leur fils est un détraqué ?". Ils auraient sûrement été dégoûtés
Et d'ailleurs, je me dégoûtais moi-même...
J'arriva enfin en haut de l'escalier et je leva les yeux. Une lueur s'étirait le long du cadre de la porte de Christelle.
Le parquet craquait sous mon poids malgré mes précautions pour ne faire aucun bruit.
Je fus à hauteur de sa porte quand
- Célestin ? dit-elle depuis sa chambre