Celui là est pas mal aussi
Le 26 août 2021 à 14:52:54 :
Le 26 août 2021 à 14:51:57 :
18-24 ans : 82% alors que le covid leur fait rien du tout, chaud le nombre de golems50% des jeunes infectés par le covid développent un covid long donc je préfère aller me faire vacciner
tellement faux
Le 25 août 2021 à 17:38:05 :
Le 25 août 2021 à 17:36:36 :
Il était pas à 35% avant ?ça c'est pour les dernières études israéliennes, c'est le temps que l'information traverse la Méditerranée.
Il sera à 35% en France quand ils essayeront de justifier la 3ème dose pour toute la population (d'ici 1 ou 2 mois)
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Partie 2 : Premiers pas aux côtés de la douleur
Je pense qu’il serait impossible de décrire le panel de sensations qui s’abattent sur toi lorsque tu te réveilles.
Tu es au sol, nu, sur un sol rocailleux.
Un cri à vous en déchirer les tympans, à la hauteur de la douleur que je ressentais. Vous serez étonné d’apprendre que pourtant, je suis certain que personne ne l’a entendu, tellement la masse de hurlements environnants surpassait le mien. Non, je n’étais pas le seul à souffrir.
Je me tournais, me retournais, mais rien ne pouvait soulager l’incommensurable douleur. Avec tout cet acide dégoulinant sur l’intégralité de mon corps, vous comprendrez qu’il m’a été encore plus insupportable de réussir à ouvrir les yeux. Je tiens d’ailleurs à faire une petite parenthèse. J’ai appris là-bas qu’on ne s’habituait pas à la douleur. Jamais.
Bref, j’ai commencé à réussir à me concentrer, pour distinguer ce qu’il y avait autour de moi. Il faisait sombre, le ciel était d’une teinte noirâtre. De la lumière émanait de quelques roches incandescentes. Le sol était fait de cailloux, de rochers, et j’apercevais quelques cavités un peu plus loin, dans le relief. A quelques mètres de moi, je distinguais une personne, allongée sur le sol. C’était un homme à qui il manquait les deux jambes. Derrière lui, je pouvais voir une trainée mêlant sang et acide. Il ne faisait pas un bruit, mais tremblait, à la limite de la convulsion.
La douleur étant toujours tout aussi insoutenable, j’ai décidé de m’élancer vers l’une des cavités afin de tenter de me protéger du crachin. Peut-être que si vous vous immolez, et que vous tentez de courir par la suite sur un tapis de braise, vous pourrez ressentir une part de ce que je ressentais alors. Je courais, en tentant de m’arracher la peau, les cheveux, pour chercher à trouver un quelconque soulagement cette sensation de brûlure indescriptible. En vain, évidemment. En m’approchant de l’espèce de grotte, j’eu le temps de distinguer deux silhouettes humaines à l’entrée.
Tout à coup, un objet long, pointu, vint perforer mon abdomen, stoppant net ma course. Il déchira la peau de mon dos en ressortant de l’autre côté. Une des deux personne venait de m’empaler avec ce qui semblait être plusieurs os liés entre eux par de la peau. A l’abris du crachin, dans la cavité, la douleur liée à l’attaque venait de remplacer celle de l’acide. Avant même que je ne puisse dire le moindre mot, je sentis une seconde lame s’abattre sur ma gorge. Son possesseur dû s’y reprendre une dizaine de fois, avant de réussir à couper ma tête.
Il me semble alors nécessaire de faire une deuxième parenthèse.
En enfer, on ne meurt pas, on est en quelque sorte réinitialisé. Il n’y a qu’une façon d’être réinitialisé, comme je l’apprendrai également plus tard, c’est par la destruction d’une poche de peau collée sur le cœur. En fait, tout ce qu’on peut considérer comme étant notre conscience se trouve à l’intérieur. Tant que la poche est intacte, on reste. Ne me demandez pas pourquoi c’est comme ça, je n’en sais rien.
Pour en revenir à moi, j’étais donc privé de tête, et par cette occasion privé de la vue, de l’ouïe, et de l’odorat. J’étais également privé de toute fonction motrice, je n’étais plus qu’un pantin, un pantin ressentant toujours, par je ne sais quelle malédiction, la douleur. Je ne souhaite à personne, même pas à mon pire ennemi, de se retrouver dans une telle situation. Le sang s’agglutinant, les sorties d’air créées au niveau de mon cou se sont très vite retrouvées bouchées. J’ai donc suffoqué, sans toutefois mourir, ou tomber dans l’inconscience, pendant une quinzaine de minutes, je dirais. C’est très difficile à évaluer, chaque seconde paraissant s’étendre sur une éternité. Imaginez que vous vous étouffez sans jamais sombrer, condamnés subir cette sensation pour l’éternité ? C’est alors qu’ils m’ont assené une multitude de coups à la poitrine, déchirant par cette occasion ladite poche.
Un soulagement me direz-vous : ils auraient aussi bien pu me balancer comme ça sous le crachin me condamnant à une perpétuelle suffocation emprunte de brûlure insoutenable. Vous pouvez vous rassurer sur un point, ce n’était pas dans leur intérêt. Toutefois, ça m'a permis d'apprendre qu’ici, je devrai tout faire, absolument tout ce qui est possible, pour éviter la réinitialisation.
L'OP. J'ai réecris ton histoire, en beaucoup plus digeste.
Partie 2 : Premiers pas aux côtés de la douleur
Je pense qu’il serait impossible de décrire le panel de sensations qui s’abattent sur toi lorsque tu te réveilles.
Tu es au sol, nu, sur un sol rocailleux.
Un cri à vous en déchirer les tympans, à la hauteur de la douleur que je ressentais. Vous serez étonné d’apprendre que pourtant, je suis certain que personne ne l’a entendu, tellement la masse de hurlements environnants surpassait le mien. Non, je n’étais pas le seul à souffrir.
Je me tournais, me retournais, mais rien ne pouvait soulager l’incommensurable douleur. Avec tout cet acide dégoulinant sur l’intégralité de mon corps, vous comprendrez qu’il m’a été encore plus insupportable de réussir à ouvrir les yeux. Je tiens d’ailleurs à faire une petite parenthèse. J’ai appris là-bas qu’on ne s’habituait pas à la douleur. Jamais.
Bref, j’ai commencé à réussir à me concentrer, pour distinguer ce qu’il y avait autour de moi. Il faisait sombre, le ciel était d’une teinte noirâtre. De la lumière émanait de quelques roches incandescentes. Le sol était fait de cailloux, de rochers, et j’apercevais quelques cavités un peu plus loin, dans le relief. A quelques mètres de moi, je distinguais une personne, allongée sur le sol. C’était un homme à qui il manquait les deux jambes. Derrière lui, je pouvais voir une trainée mêlant sang et acide. Il ne faisait pas un bruit, mais tremblait, à la limite de la convulsion.
La douleur étant toujours tout aussi insoutenable, j’ai décidé de m’élancer vers l’une des cavités afin de tenter de me protéger du crachin. Peut-être que si vous vous immolez, et que vous tentez de courir par la suite sur un tapis de braise, vous pourrez ressentir une part de ce que je ressentais alors. Je courais, en tentant de m’arracher la peau, les cheveux, pour chercher à trouver un quelconque soulagement cette sensation de brûlure indescriptible. En vain, évidemment. En m’approchant de l’espèce de grotte, j’eu le temps de distinguer deux silhouettes humaines à l’entrée.
Tout à coup, un objet long, pointu, vint perforer mon abdomen, stoppant net ma course. Il déchira la peau de mon dos en ressortant de l’autre côté. Une des deux personne venait de m’empaler avec ce qui semblait être plusieurs os liés entre eux par de la peau. A l’abris du crachin, dans la cavité, la douleur liée à l’attaque venait de remplacer celle de l’acide. Avant même que je ne puisse dire le moindre mot, je sentis une seconde lame s’abattre sur ma gorge. Son possesseur dû s’y reprendre une dizaine de fois, avant de réussir à couper ma tête.
Il me semble alors nécessaire de faire une deuxième parenthèse.
En enfer, on ne meurt pas, on est en quelque sorte réinitialisé. Il n’y a qu’une façon d’être réinitialisé, comme je l’apprendrai également plus tard, c’est par la destruction d’une poche de peau collée sur le cœur. En fait, tout ce qu’on peut considérer comme étant notre conscience se trouve à l’intérieur. Tant que la poche est intacte, on reste. Ne me demandez pas pourquoi c’est comme ça, je n’en sais rien.
Pour en revenir à moi, j’étais donc privé de tête, et par cette occasion privé de la vue, de l’ouïe, et de l’odorat. J’étais également privé de toute fonction motrice, je n’étais plus qu’un pantin, un pantin ressentant toujours, par je ne sais quelle malédiction, la douleur. Je ne souhaite à personne, même pas à mon pire ennemi, de se retrouver dans une telle situation. Le sang s’agglutinant, les sorties d’air créées au niveau de mon cou se sont très vite retrouvées bouchées. J’ai donc suffoqué, sans toutefois mourir, ou tomber dans l’inconscience, pendant une quinzaine de minutes, je dirais. C’est très difficile à évaluer, chaque seconde paraissant s’étendre sur une éternité. Imaginez que vous vous étouffez sans jamais sombrer, condamnés subir cette sensation pour l’éternité ? C’est alors qu’ils m’ont assené une multitude de coups à la poitrine, déchirant par cette occasion ladite poche.
Un soulagement me direz-vous : ils auraient aussi bien pu me balancer comme ça sous le crachin me condamnant à une perpétuelle suffocation emprunte de brûlure insoutenable. Vous pouvez vous rassurer sur un point, ce n’était pas dans leur intérêt. Toutefois, ça m'a permis d'apprendre qu’ici, je devrai tout faire, absolument tout ce qui est possible, pour éviter la réinitialisation.