Le 05 août 2021 à 22:14:50 :
Le 05 août 2021 à 22:13:06 :
Le 05 août 2021 à 22:09:10 :
Le 05 août 2021 à 22:04:35 :
Il a juste pompé ce que faisaient les autres dans les années 60, et est allé jusqu'à reprendre la bande son pour faire un c/c parfaitVous êtes des teubés d’un tel niveau sur ce forum, tout en cuistrerie.
Les films de Tarantino sont des collages post-modernes mais de manière meta, il place toujours ses films dans des socles auto-référentiels. Ce sont des films sur le cinéma, de manière indirecte, et ils entretiennent donc une sorte de conversation avec les œuvres référencées. Tarantino dépasse donc ses références parce qu’il est conscient du fait qu’il les référence et qu’il ne s’en cache jamais. Au-delà de ça, il a aussi des talents de metteur en scène et de scénariste indéniable. Sa manière de traiter la tension par des digressions, son talent pour les dialogues et les différents niveaux de sous-texte qu’il arrive à injecter, sa façon de passer très aisément d’un ton à un autre, tout ça en fait un réalisateur génial.
Il raconte quoi avec Django ?
Django est un subtil mélange de message BLM (le gentil Noir qui tue les méchants Blancs) avec le soupçon de racisme anti-Noir inconscient de Tarantino (le Noir qui ne sait s'exprimer que par la violence, et le Blanc pseudo-européen qui est cultivé et lui apprend la vie)
C’est faux. Django ne sait pas que s’exprimer par la violence: il apprend vite et finit par ruser.
Par ailleurs, au fur et à mesure, il montre un répondant qui déconcerte les esclavagistes et autres racistes et il s’avère très bien capable de s’adapter aux impératifs du stratagème de Schultz.
Le 05 août 2021 à 22:13:06 :
Le 05 août 2021 à 22:09:10 :
Le 05 août 2021 à 22:04:35 :
Il a juste pompé ce que faisaient les autres dans les années 60, et est allé jusqu'à reprendre la bande son pour faire un c/c parfaitVous êtes des teubés d’un tel niveau sur ce forum, tout en cuistrerie.
Les films de Tarantino sont des collages post-modernes mais de manière meta, il place toujours ses films dans des socles auto-référentiels. Ce sont des films sur le cinéma, de manière indirecte, et ils entretiennent donc une sorte de conversation avec les œuvres référencées. Tarantino dépasse donc ses références parce qu’il est conscient du fait qu’il les référence et qu’il ne s’en cache jamais. Au-delà de ça, il a aussi des talents de metteur en scène et de scénariste indéniable. Sa manière de traiter la tension par des digressions, son talent pour les dialogues et les différents niveaux de sous-texte qu’il arrive à injecter, sa façon de passer très aisément d’un ton à un autre, tout ça en fait un réalisateur génial.
Il raconte quoi avec Django ?
Plusieurs choses mais grosso modo, il recontextualise le Western - genre qui a contribué à donner une dimension mythologique à l’histoire des USA (au détriment des natifs américains, par exemple) - en le plaçant dans la période de l’esclavage. Avec Django, il utilise donc les codes mythologiques du Western pour créer un nouveau héros mythique. Cet héros, c’est Django.
Le 05 août 2021 à 22:11:44 :
Plutot Nietzsche en sahhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/48/3/1574859659-ronaldo-celestin.jpg
La honte.
Le 05 août 2021 à 22:04:35 :
Il a juste pompé ce que faisaient les autres dans les années 60, et est allé jusqu'à reprendre la bande son pour faire un c/c parfait
Vous êtes des teubés d’un tel niveau sur ce forum, tout en cuistrerie.
Les films de Tarantino sont des collages post-modernes mais de manière meta, il place toujours ses films dans des socles auto-référentiels. Ce sont des films sur le cinéma, de manière indirecte, et ils entretiennent donc une sorte de conversation avec les œuvres référencées. Tarantino dépasse donc ses références parce qu’il est conscient du fait qu’il les référence et qu’il ne s’en cache jamais. Au-delà de ça, il a aussi des talents de metteur en scène et de scénariste indéniable. Sa manière de traiter la tension par des digressions, son talent pour les dialogues et les différents niveaux de sous-texte qu’il arrive à injecter, sa façon de passer très aisément d’un ton à un autre, tout ça en fait un réalisateur génial.
Le 05 août 2021 à 20:14:12 :
se taper des momes aussi j'imagine?
Il a seulement parler des rencontres avec Epstein.
Epstein qui avant son ultime incarcération avait déjà été condamné pour pédophilie.
Le 05 août 2021 à 19:48:59 :
Police tout dépend.CRS par contre c’est au même niveau qu’un cafard sur l’échelle du respect.
Les distinctions de ce genre n’ont pas lieu d’être. Ils obéissent au même logiciel de pensée et ont les mêmes vices.
Le 05 août 2021 à 19:23:25 :
Je suis de plutôt bonne humeur, j'ai envie de partir voyager je regarde que ça depuis quelques semaines et je prend de plus en plus de recul sur l'absurdité de ce que font les gens de leur vie (ça me parle à moi), genre la j'ai commandé Flash ou le grand voyage si ça peut t'aider
Go regarder “The Walkabout”
Elle est jolie, c’est vrai.
Sinon Dextre, ta sœur se tape toujours un congolais ? Est-ce qu’elle t’introduit toujours comme étant “un petit nazi” auprès de ses amies ?
Ta mère est tellement grosse que j’ai pu la niquer en même temps que ton père et c’est qu’en sortant de la pièce qu’on s’en est rendu compte.
Noban, cédelumour
Ça dépend le type de contrat.
Si c’est un contrat d’artiste, tu vas te faire sucrer tes ventes et tu pourras te faire un peu de fric sur les concerts. De l’autre côté, t’as la certitude d’être bien encadré mais c’est sacrifier une partie de tes revenus et de ta liberté pour une sécurité.
Si c’est une licence, c’est déjà plus équilibré. Ils s’occuperont de la distribution et de la promo. Ça peut être casse-couilles mais tu gagneras bien plus sur tes ventes.
Sinon, t’as juste le contrat de distribution. La maison de disque fait le minimum, c’est-à-dire s’assurer que ta musique soit disponible là où elle doit l’être mais pour le reste, tu te démerdes entièrement.
Le FN a été fondé par des collaborateurs.
Mais d’un autre côté, LaREM a fait beaucoup de mal au pays.