Messages de Sauciste6
Le 06 octobre 2021 à 00:55:17 :
ils perdent le contrôle de leur propre créature
vous n'avez honte de rien les antisémites, les juifs se prennent cette monstruosité de wokisme de plein fouet mais "ololz c'est quand même eux" 
au lieu de creuser pour comprendre ce qui ne va pas, ce qui a en réalité pour effet d'alimenter le mauvais mood, il faut se dire "osef, en dehors de moi tout va bien" et surtout tenir, par principe, toutes les idées qui viennent comme étant du bullshit car étant juste des émanations du mauvais mood, genre vraiment, se poser en amont l'interdiction formelle de retenir quoi que ce soit là-dedans même si les idées semblent commencer à se tenir
il faut vraiment prendre l'habitude de n'accorder du crédit qu'à ce qui finira, à terme, par nous conforter systématiquement dans la béatitude
perso mon cerveau skip l'idée de me suicider automatiquement juste par accoutumance à l'échec, c'est-à-dire que quand je voudrais être comme avant en mode "ok il faut que je travaille sur ma réticence au suicide jusqu'à l'abolir complètement et passer à l'acte" je switch direct en mode "nan mais j'ai déjà été dans cette optique là tant de fois sans succès que je sais d'avance que je le ferai pas", du coup alors que mes pensées gravitent énormément autour du suicide, la question explicite du suicide est comme un tabou dans ma tête, c'est-à-dire que dès qu'elle s'insinue elle enclenche automatiquement les deux étapes précédemment décrites rendues très rapides par habitude extrême et je repars en boucle dans une sorte d'oscillation entre une recherche de mots pour exprimer quelque chose qui veut sortir, et l'idée que rien ne veut sortir et qu'il faut juste couper court à ce processus de recherche sans objet 
alors évidemment cette oscillation va se faire de plus en plus rapide à force de renforcement synaptique, jusqu'à se confondre en une fonction d'interruption de ma petite voix intérieure activée systématiquement par le thème du suicide, soit plus fondamentalement par tout inconfort, ce qui va faire que tout ce qui n'est pas heureux chez moi ne va plus jamais parler, les seules pensées proprement dites dont je serai alors capable seront celles... d'un CHAD