Le 16 août 2021 à 21:33:00 :
Il n'est jamais trop tard khey. J'ai également connu la dépression mais aujourd'hui c'est fini. Grâce au Christ.
"Je suis avec toi chaque jour, jusqu'à la fin du monde" Matthieu 28;20https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/3/1619646183-pprd.png
J’aimerai vraiment être croyant crois moi. Si je faisais un pari pascalien tiens ? Après tout qu’est ce que j’ai a perdre ?
Le 16 août 2021 à 21:31:07 :
Pourquoi tu t'inscris pas dans une église protestante près de chez toi ? .
Tu pourras devenir croyant et
Les gens sont sympas aussi
Parce que je suis quelqu’un de trop sincère. En faite, je peux simuler a ceux qui m’importent peu. Par exemple au travail aucun soucis.
Mais des croyants je ne pourrai pas. Je sais qu’ils sont fondamentalement bons, je crois que ceux sont eux qui ont le plus de mérite. Face au bien je ne peux pas mentir.
Le 16 août 2021 à 21:27:31 :
Le 16 août 2021 à 21:25:59 :
rien ne change ta génétique et l'éducation que tu as eu de 0 à 18 ans; RIENPour la génétique. Tu as absolument raison. Ce qui est écrit, est écrit.
En ce qui concerne l'éducation, tu as tort. Un homme déterminé à s'élever fini toujours par y arriver. Toujours.
Injustice du fond du coeur je te remercie
Certes, tu ruines les espoirs et détruit des vies
Mais pour 1000 que tu plombes, humilies et assommes
Toujours 1 se relève et inspire les hommes
Le 16 août 2021 à 21:25:59 :
rien ne change ta génétique et l'éducation que tu as eu de 0 à 18 ans; RIEN
C’est ce que je me dis, j’ai pourtant été indépendant et seul dès l’âge de 18 ans. J’en ai 23 maintenant et rien n’a changé, malgré un changement absolument radical d’environnement et dd qualité de vie...
Le 16 août 2021 à 21:18:21 :
Tu confirmes quelque chose que j'ai pu, avec les années, constater et affirmer.Les gens malheureux sont pour la plupart instruits, intelligents (probablement trop), beaucoup trop conscients de notre condition humaine.
Tout ceci annihile littéralement le bonheur.
Je n'ai rien à te dire pour te réconforter.
Il faut juste essayer de lâcher prise et d'accepter notre sort. Rendre, si possible, quelqu'un heureux.
Quand on atteint ce niveau de conscience, il faut se tourner vers le bonheur d'autrui.
Dernière chose :
Les animaux peuvent être une clé. Tu devrais te rapprocher d'associations.
Côtoyer des animaux permet d'accroitre le bonheur. (Je ne me l'explique pas. Leur innocence probablement).
Je te souhaite bonne route.
Je pense que tu as raison : j’ai toujours trouvé ridicule la citation suivante « heureux sont les ignorants ». C’était pour moi un argument pour les pseudos intellectuels pédants et arrogants au possible. Mais, plus je nourris mon cerveau plus je vois la noirceur de mon quotidien. Par exemple il y a 2 semaiens, j’ai eu le malheur de me faire l’intégrale de Camus. En commençant par l’étranger et la mort heureuse. J’ai l’impression d’absorber sa vision des chose, sa vision si détaillée, si intense des choses. Et plus je l’absorbe plus je souffre.
Merci mon khey, effectivement les animaux me rendent heureux et je pense aussi que c’est lié à leur innocence
Le 16 août 2021 à 21:16:22 :
Du coup je comprends pas trop, ce que tu décris est une forme de dépression mais tu affirmes que tu n'en souffre pas...
Tu es vraiment sûr de ça ?
Oui, dans le sens où j’ai vécu une j’ai vécu une dépression extrêmement profonde ( anorexie, TS, troubles du sommeil, aucune envie de me laver etc). Maintenant j’ai certes quelques symptômes mais mon hygiène de vie m’empêche de sombrer : sport, diete, sommeil, sex, vie social et j’en passe.
Je lutte chaque jour pour ne pas sombrer même si ça ne se voit pas, je ne peux pas me considérer depressif avec ma qualité de vie actuelle
Le 16 août 2021 à 21:10:39 :
j'ai pas vécu un quart de tes problèmes, et pourtant j'arrive pas à m'en débarasser de l'esprit
Faut voir le positif : on se sent vivant quand on souffre. C’est vrai, c’est humain après tout. Une vie sans malheurs est fade.
Le 16 août 2021 à 21:09:37 :
go rétention séminale, c'est le seul véritable échappatoire de ce monde
Non non tu ne comprends pas, j’ai tout fait pour m’en sortir. Je viens d’en bas, je suis arrivé en haut. Pour ça j’ai fait des efforts surhumains, la rétention séminale je l’ai faite 1000 fois !
J’ai fais le sport, les études, les vacances, les soirées et tout ce qu’il faut pour être un bon vivant. Mais rien n’a pu alléger le poids que je porte continuellement sur les épaules. Jetouffe en permanence, je simule en permanence, tout est gris tout le temps partout...
J’ai toujours détesté cette vie en réalité, je regrette de ne pas être croyant. La religion aurait pu apaiser mon âme puisque seul la vie après la mort compte.
Je suis malheureux, ça m’énerve j’ai la rage, je saigne et ça ne s’arrête pas.
J’aimerai tellement pouvoir être normal, ma copine ne souffrirait pas de mon humeur morbide. Idem pour mon entourage et mes collègues de travail mais : je suis si seul. Sans famille un homme n’est rien, que voulez que je fasse ? Toutes ces soirées passées seul j’ai eu si mal. Impossible pourtant de revenir en arrière...
Je suis malheureux ou déprimé si vous voulez mais pas depressif.
J’ai connu la dépression, la vraie ! Pas cette fausse maladie qu’on déclare pour obtenir l’attention des autres. J’ai voulu passer le stade ultime vous savez... Je sais ce que c’est donc, et j’en suis sorti au bout de 4 mois. Depuis je n’ai jamais autre chose que malheureux.
Je crois que je suis condamné, condamné parce que j’ai été malheureux dès la puberté, dès la prise de conscience et qu’ainsi j’ai commencé à vivre l’enfer.
La pauvreté, la maltraitance, la faim, le manque d’hygiène, la violence et j’en psse. Tant d’années passées, tant d’expériencess vécues. Mon cerveau n’a servi qu’à faire l’éponge. Absorber toute la crasse, la pourriture, le côté misérable de la vie.
Et me voilà maintenant adulte, émancipé par le travail, un effort monstrueux pour échapper à mes déterminismes. Mais cela ne suffit pas. J’ai été bien trop naïf, ce n’est pas en fuyant ma souffrance que j’irai mieux. C’est en réussissant à tourner la page ! Mais je n’y arrive pas. Je n’ai jamais réussi, même une fois devenu un homme mature.
Je pense être condamné, je suis fils de malheureux alors je le resterai. Du poison coule dans mes veines, même si je meuble ma vie avec de l’argent, des femmes, des amis et j’en passe.
Ce n’est pas tant la pauvreté qui m’a traumatisé, c’est la cruauté de ma famille. Je n’ai plus de famille, peut être que j’irai mieux fondant la mienne....
Le 09 août 2021 à 19:06:53 :
Pourquoi ne jamais suivre la majorité et pourquoi se couper de certains arts mais pas la lecture
Parce que nous sommes ce que nous faisons et nous faisons ce que nous pensons. Or personne ne veut ressembler à la norme. Les valeurs, les habitudes, les passions et toutes les choses qui ont une influence sur notre vie doivent être sélectionnés avec attention. Sous peine de finir comme « les autres ».
Et puisque je suis seul alors je décide !
Ici on écoute : https://youtu.be/_XrO-kBidNI
Et si nous sommes déterminés alors :
Comment peut on parler « d’examen » de la vie avant le jugement dernier chez les religieux ?
Comment peut on parler de mérite en société ?
Comment peut on condamner quelqu’un puisque qu’il n’est pas libre de ses actes ?
Et moi, si je ne suis pas libre alors qu’est ce qui contrôle ma vie ?
Je deviens fou
Je reviens vers vous après avoir fait quelques recherches et avoir mûrement réfléchi. Je crois qu’il ne s’agit pas de chercher un moyen de devenir « libre » pour briser ses chaînes. Mais de trouver des déterminismes « positifs ».
Je crois que nous sommes tous condamnés à subir l’influence d’éventuelles causes extérieures. Parce que l’homme est comme ça, c’est une adaptation climatique, une selection naturelle bref : un fonctionnement adopté par le corps humain qui permet de vivre. Que nous le voulons ou pas nous sommes le fruit de notre environnement.
Maintenant, quelles sont les actions à mettre en place pour se tirer vers le haut ? Quelles habitudes prendre ? Quelles personnes fréquenter ? Quel niveau d’implication pour un résultat concret ? Faut il tout changer où se contenter de micro-changements ?
Pour ma part je pense qu’il faut être radical :
- Changer de ville voir de pays si besoin.
- Ne plus fréquenter de pauvres, ne côtoyer que des gens riches.
- ne JAMAIS faire comme la majorité. ( rien n’est pire que la norme )
- Rejoindre un milieux EXTRÊMEMENT compétitif : entreprenariat, études, sport peu importe.
- avoir une hygiène de vie parfaite : un corps sain vaut 10 corps malades
- se couper des réseaux sociaux, du cinéma, de la musique pour se plonger dans les livres.
Je crois que je vais m’arrêter là
Le 08 août 2021 à 12:03:48 :
Le simple fait de croire qu'il ne tient qu'à soi de sortir de son déterminisme c'est une connerie monumentale
On ne s’en sort jamais seul je suis d’accord. Mais grâce à internet personne n’est seul de toutes façons