Le 08 mars 2021 à 10:38:05 PetitMaisLucide a écrit :
Le 08 mars 2021 à 10:37:33 XavierWacongne a écrit :
oui, uniquement des femmesJe suis un homme
putain chaud
Le 08 mars 2021 à 09:42:22 Choysia_38 a écrit :
Le 08 mars 2021 à 09:36:44 XavierWacongne a écrit :
Le vote et de la démocratie parlementaire sont une illusion, "voter c'est abdiquer" comme disait Elisée Reclus. Pourtant, les misérables esclaves se sentent toujours CITOYENS. Ils croient voter et décider librement qui doit conduire leur vie. Comme s’ils avaient encore le choix. Ils n’en ont conservé que l’illusion. Tu crois vraiment qu’il existe une différence fondamentale quant au choix de société dans laquelle on veut vivre entre le PS et l’UMP en France, entre les démocrates et les républicains aux États-Unis, entre les travaillistes et les conservateurs au Royaume-Uni ? Il n’existe pas d’opposition parceque les partis politiques dominants sont d’accord sur l’essentiel qui est la conservation de la présente société marchande. Il n’existe pas de partis politiques susceptibles d’accéder au pouvoir qui remette en cause le dogme du marché. Et ce sont ces partis qui avec la complicité médiatique monopolise l’apparence. Ils se chamaillent sur des points de détails pourvu que tout reste en place. Ils se disputent pour savoir qui occupera les places que leur offre le parlementarisme marchand. Ces chamailleries sont relayées par tous les médias dans le but d’occulter un véritable débat sur le choix de société dans laquelle on souhaite vivre. L’apparence et le vide dominent sur la profondeur de l’affrontement des idées. Pour moi, tout ça ne ressemble en rien, de près ou de loin à une démocratie.La démocratie réelle elle se définit d’abord et avant tout par la participation massive des citoyens à la gestion des affaires de la cité, du pays. Elle est directe et participative. Elle trouve son expression la plus authentique dans l’assemblée populaire et le dialogue permanent sur l’organisation de la vie en commun. La forme représentative et parlementaire qui usurpe le nom de démocratie limite le pouvoir des citoyens au simple droit de vote, c'est-à-dire au néant, tant il est vrai que le choix entre gris clair et gris foncé n’est pas un choix véritable. Les sièges parlementaires sont occupés dans leur immense majorité par la classe économiquement dominante, qu’elle soit de droite ou de la prétendue gauche social-démocrate.
Le pouvoir est pourri par nature, qu’il soit exercé par un roi, un dictateur ou un président élu. La seule différence dans le cas de la « démocratie » parlementaire, c’est que les esclaves ont l’illusion de choisir eux-mêmes le maitre qu’ils devront servir. Le vote a fait d’eux les complices du système qui les opprime. Ils ne sont pas esclaves parce qu’il existe des maitres mais il existe des maitres parce qu’ils ont choisi de demeurer esclaves.
Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n'est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l'exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m'accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j'ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.
Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c'est être dupe ; c'est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d'une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l'échenillage des arbres à l'extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l'immensité de la tâche. L'histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c'est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l'honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l'homme change avec lui. Aujourd'hui, le candidat s'incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L'ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu'il était avant d'avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n'apprend-il pas à courber l'échine quand le banquier daigne l'inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l'honneur de l'entretenir dans les antichambres ? L'atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s'ils en sortent corrompus.
N'abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d'autres, défendez-les vous-même ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d'action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c'est manquer de vaillance.
Je vous salue de tout cœur, compagnons
Merci je ne l'avais pas lu depuis longtemps, ça va me faire une bonne piqûre de rappel.
Le vote et de la démocratie parlementaire sont une illusion, "voter c'est abdiquer" comme disait Elisée Reclus. Pourtant, les misérables esclaves se sentent toujours CITOYENS. Ils croient voter et décider librement qui doit conduire leur vie. Comme s’ils avaient encore le choix. Ils n’en ont conservé que l’illusion. Tu crois vraiment qu’il existe une différence fondamentale quant au choix de société dans laquelle on veut vivre entre le PS et l’UMP en France, entre les démocrates et les républicains aux États-Unis, entre les travaillistes et les conservateurs au Royaume-Uni ? Il n’existe pas d’opposition parceque les partis politiques dominants sont d’accord sur l’essentiel qui est la conservation de la présente société marchande. Il n’existe pas de partis politiques susceptibles d’accéder au pouvoir qui remette en cause le dogme du marché. Et ce sont ces partis qui avec la complicité médiatique monopolise l’apparence. Ils se chamaillent sur des points de détails pourvu que tout reste en place. Ils se disputent pour savoir qui occupera les places que leur offre le parlementarisme marchand. Ces chamailleries sont relayées par tous les médias dans le but d’occulter un véritable débat sur le choix de société dans laquelle on souhaite vivre. L’apparence et le vide dominent sur la profondeur de l’affrontement des idées. Pour moi, tout ça ne ressemble en rien, de près ou de loin à une démocratie.
La démocratie réelle elle se définit d’abord et avant tout par la participation massive des citoyens à la gestion des affaires de la cité, du pays. Elle est directe et participative. Elle trouve son expression la plus authentique dans l’assemblée populaire et le dialogue permanent sur l’organisation de la vie en commun. La forme représentative et parlementaire qui usurpe le nom de démocratie limite le pouvoir des citoyens au simple droit de vote, c'est-à-dire au néant, tant il est vrai que le choix entre gris clair et gris foncé n’est pas un choix véritable. Les sièges parlementaires sont occupés dans leur immense majorité par la classe économiquement dominante, qu’elle soit de droite ou de la prétendue gauche social-démocrate.
Le pouvoir est pourri par nature, qu’il soit exercé par un roi, un dictateur ou un président élu. La seule différence dans le cas de la « démocratie » parlementaire, c’est que les esclaves ont l’illusion de choisir eux-mêmes le maitre qu’ils devront servir. Le vote a fait d’eux les complices du système qui les opprime. Ils ne sont pas esclaves parce qu’il existe des maitres mais il existe des maitres parce qu’ils ont choisi de demeurer esclaves.
on vit à une époque où des idiots dirigent des aveugles comme l'auteur
Regarde autour de toi, le constat est simple : la servitude des esclaves moderne est volontaire, leur consentement est total. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu’ils devront servir. Pour que ce système ait pu se mettre en place, il a fallu tout d’abord ôter aux esclaves toute conscience de leur exploitation et de leur aliénation. Voilà les bienfaits de la modernité et du progrès : contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou mêmes aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe sociale totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Conséquence ? Ils ignorent la révolte qui devrait pourtant être leur seule réaction légitime. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. C'est le mauvais rêve des esclaves modernes qui se laissent aller dans la danse macabre du système de l’aliénation.
Le 08 mars 2021 à 07:44:42 Le_BeauJack a écrit :
Le 08 mars 2021 à 07:40:46 XavierWacongne a écrit :
la Pagode indochinoise de Fréjus ?Pour combien d'église et de mosquée ?
il doit y avoir une dizaine de mosquées à Fréjus vu la composition ethnique de la population