Messages de DeHaven

J'arrive pas a savoir si il est aimé ce gars :( ces morceaux passe partout, il a beaucoup de vu sur youtube mais pourtant il est détesté sur les forums et je connais personne qui aime maitre gims dans mon entourage
c'est fout comme il s'y connait en cinéma :ouch2:
Il se contredit : dans la première moitié de la vidéo, il s'acharne littéralement sur les effets spéciaux numérique, et dans la deuxième moitié il en fait l'éloge, disant même qu'il a failli faire l'effet dans matrix avant matrix...
mais comment peut-on se faire violer par une femme ????
normalement il aurait du accepter l'acte
j'avais encore jamais entendu parler d'exemple d'hommes se faisant violer par des femmes
je trouve ça improbable
Comme toi l'auteur, tout ce que j'obtiens je l'obtiens grace a une capacité déjà inné
en revanche quand il faut "affronter" putain c'est juste impossible en fait

Le 29 décembre 2020 à 23:13:47 FioPiccolo a écrit :
Il l'a sûrement bien aguiché avec son pantalon moulant et sa chemise même pas entièrement boutonné

oui enfin... moi j'aime pas trop la tete du gosse perso

L'acteur de 22 ans réaffirme avoir eu un «rapport sexuel complet» non consenti avec Asia Argento. Il s'est exprimé en direct et en présence de son avocat dimanche sur la chaîne italienne la 7. Il a indiqué que la réalisatrice a «abusé de son pouvoir» sur lui.

Le 19 août dernier, le New York Times publiait un article qui allait bouleverser le destin d'Asia Argento, figure de proue du mouvement #MeToo . Jimmy Bennett, un acteur qui a joué en 2004 à ses côtés dans le film Le Livre de Jérémie, l'accuse d'agression sexuelle. Les faits se seraient déroulés en 2013 dans un hôtel de Californie, alors qu'il était âgé de 17 ans. La réalisatrice italienne aurait ensuite acheté son silence à hauteur de 380.000 euros.

Depuis cette révélation, Asia Argento a publié un communiqué dans les médias, niant les faits et expliquant que la compensation financière était une idée de son défunt compagnon, le chef Anthony Bourdain. Peu de temps après, Jimmy Bennett a répliqué, se disant «effrayé et honteux» pour évoquer publiquement son agression au moment où elle s'est déroulée. Silencieux depuis le 22 août, il a finalement pris la parole dimanche en direct à la télévision italienne sur la chaîne La 7.

Aux côtés de son avocat, Gordon Sattro, il est revenu sur les détails du viol supposé dans l'émission Non è l'Arena («Ce n'est pas l'arène»). Les cheveux rose pâle en bataille et le visage grave, il a raconté comment «tout s'est produit très vite». «J'ai d'abord pensé à quelque chose d'amical, à une démonstration de son affection, mais ensuite ses baisers ont été plus prolongés et j'ai compris qu'elle cherchait autre chose, raconte Jimmy Bennett. Elle a posé ses mains sur moi, m'a basculé sur le lit et a enlevé mon pantalon.» Il aurait ensuite été victime d'un «rapport sexuel complet» non consenti.

Jimmy Bennett, qui entretenait une relation complexe avec Asia Argento depuis leur rencontre, indique avoir cédé aux avances de cette dernière car il avait «confiance». Elle aurait «abusé de son pouvoir» en lui promettant un nouveau rôle dans l'un de ses films. L'acteur, aujourd'hui âgé de 22 ans, estime que sa carrière a souffert de cette aggression. Il ne nie pas avoir demandé une compensation financière de 3,5 millions de dollars. Asia Argento affirme qu'il en a reçu 380.000, l'avocat du jeune homme assure qu'il s'agit en réalité d'un montant de 200.000 euros. Jimmy Bennett indique qu'il a demandé cet argent pour «ne pas discréditer» son bourreau. Il pensait alors que personne ne le prendrait au sérieux.

elle avait 37 ans

Ce jeune acteur de 17 anshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/53/2/1609279423-800px-jimmy-bennett.jpgs'était fait violer sans son consentement par une réalisatrice italiennehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/53/2/1609279742-18881049d487c6bc2d28f00b5d6f02e5.jpgen 2013

https://www.lefigaro.fr/culture/2018/09/24/03004-20180924ARTFIG00230-jimmy-bennett-reaffirme-avoir-eu-un-rapport-sexuel-complet-non-consenti-avec-asia-argento.php

J'ai 1m70 et si ma femme idéale aurait 1m65 je vois pas en quoi je me sentirais physiquement dominant
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/43/5/1509088958-img-20171027-021949.jpg

Le 29 décembre 2020 à 01:07:54 Mirarz a écrit :
Franchelent le mec raconte un peu de connerie mais c'est remplie de verités salées. Une belle diatribe.

ouais voilà

"Nikita, malgré un bon début pompé à Walter Hill (on ne va quand même pas citer Peckimpah en parlant de Besson !) s’enlise dans la mièvrerie au bout d’un quart d’heure (ce qui est le cas dès la première minute du grotesque Leon) et rate de fait l’option de devenir «le grand thriller français» qu’il aurait pu être. Avec Jeanne d’Arc, Besson se lance dans la reconstitution historique fantaisiste et atteint le Mont-Blanc du ridicule. La pauvre Milla Jovovich, ni anglaise ni française, ne semble pas bien comprendre ce que son amant de réalisateur veut lui faire jouer et elle se comporte comme si elle paradait pour un clip sur MTV."

ce passage comment il est vrai :ouch2:

luc besson a toujours tout fait pour etre le héros du cinéma français

Le 29 décembre 2020 à 01:04:24 8CmDeFilouterie a écrit :
Qui va lire plus d'une ligne ?

T'aimes pas voir luc besson se faire critiquer ?

Le petit magazine pour cinéphile avait critiqué Luc Besson dans cet article :

"BESSON M’A TUER… MON CINÉMA

Pour une année qui s’annonce riche en évènements dans la vraie vie (Irak, Al Quaida, économie, retour de le lutte des classes, quelle gauche ?, quelle révolution ?, un nouveau Houellebecq peut-être, etc) il semblait juste de remettre les pendules à leur place pour celui qui est devenu le chantre du cinéma commercial français. À l’américaine.

Besson n’est pas un cinéaste, c’est un compileur, une éponge qui restitue à un public sec de rêves et d’aventures le pauvre jus qu’il aura pris la peine d’absorber dans dix autres productions.

Besson n’a rien d’un cinéaste français et le plus ses films, ou ceux qu’il produit (de toutes façons c’est toujours la même poutine) sortent, le plus ils perdent leur éventuelle touche locale. Bien sûr, Le dernier combat en noir et blanc et sa célèbre pluie de poissons avait des vertus presque ‘nouvelle vague’ d’anticipation, mais très vite le barbu s’est porté sur une version hollywoodienne, au sens le plus général et accepté du terme, d’un cinéma de divertissement exempt de toute forme de créativité et de regard sur son temps. C’est là une des raisons de son succès prévisible. Besson reçoit la bénédiction des masses de façon régulière pour son implacable adéquation avec les stimuli immédiats de populations jeunes, faciles à combler dans leur désir de satisfaction vécu par le prisme de la consommation.
Le cinéma de Besson (soyons agréable et considérons que cela en soit) fonctionne comme un pur produit marketing et ne tient compte à aucun moment des règles qui régissent ce qu’on appelait autrefois le septième art. A-t-on jamais lu un scénario digne de ce nom dans un film de Besson, a-t-on jamais été surpris par le déroulement d’un de ses récits, avons-nous jamais été bouleversé (excepté par Parillaud dans Nikita) par un de ses acteurs ? Jamais, car Besson met exactement les choses à leur place, dans le petit compartiment destiné à chaque paramètre de ce qu’il appelle du cinéma. Besson n’est pas un cinéaste, c’est un compileur, une éponge qui restitue à un public sec de rêves et d’aventures le pauvre jus qu’il aura pris la peine d’absorber dans dix autres productions.
Prenez Le cinquième élément : une louche de Taxi Driver, une pincée de Star Wars, une giclée de Metropolis, un sceau de Blade Runner, etc., pour finir par obtenir une sorte de gros téléfilm poussif et sans substance, équivalent pelliculé d’un hamburger joli en photo mais peu nourrissant et d’une extrême fadeur. Bien sûr, les gogos se ruent sur le spectacle comme dans les fast-food avant de constater pour certains d’entre eux que tout cela remplit à peine la fonction première. En l’occurrence, ici, divertir. Qu’y –a-t-il dans ce film ? Rien, un ennui indescriptible, des effets spéciaux tous vus et revus, des acteurs en roue libre aussi passionnés par le projet que par un tournage de pub pour un nouveau produit vaisselle et l’insondable inanité d’une… osons le mot , histoire.
Le grand bleu considéré avec papelardise par de nombreux médias comme un film générationnel n’est rien d’autre qu’un produit supplémentaire d’une génération new age entièrement fabriquée par les commerçants occupés à vendre voyages, musiques d’ambiance, parfums, bougies, matériels de plongée, etc. C’est le film idéal à projeter dans les magasins de gadgets naturalistes ou de senteurs industrielles haut de gamme (je me donne du mal pour ne pas faire de pub !) pour ceux dont le cocooning est la règle de vie. Danse avec les loups avait le mérite de revenir sur le plus grand génocide de l’histoire récente, Besson lui se fait «Nage avec les dauphins» avec une passion identique à celle suscitée par la vision d’un interlude de l’ORTF. Ça remplit les salles et les blaireaux y vont même plusieurs fois, trop contents de patauger dans une vision ‘club med’ d’un monde en apnée dont sont exclus ceux qui ne peuvent en apprécier les suaves saveurs.
Nikita, malgré un bon début pompé à Walter Hill (on ne va quand même pas citer Peckimpah en parlant de Besson !) s’enlise dans la mièvrerie au bout d’un quart d’heure (ce qui est le cas dès la première minute du grotesque Leon) et rate de fait l’option de devenir «le grand thriller français» qu’il aurait pu être. Avec Jeanne d’Arc, Besson se lance dans la reconstitution historique fantaisiste et atteint le Mont-Blanc du ridicule. La pauvre Milla Jovovich, ni anglaise ni française, ne semble pas bien comprendre ce que son amant de réalisateur veut lui faire jouer et elle se comporte comme si elle paradait pour un clip sur MTV. Quant à Dustin Hoffman, John Malkovich et Faye Dunaway, Besson doit être très content de les avoir mis dans le film et ils cachetonnent sans le moindre fluide magique qui pourrait sauver ce bourbier. N’est pas Chéreau qui veut…
Voilà pour Besson cinéaste (j’ai zappé Atlantis et Subway pour lesquels je n’ai pas de mots) et en version producteur, ça donne Taxi 1,2,3, etc, Wasabi, The Dancer et autres vilenies avec l’exception de Nil By Mouth, le film de Gary Oldman rencontré sur Leon.
Aujourd’hui, le petit rond se la joue star avec lunettes noires et coupe de douilles toujours décolorée et s’affiche sur son site internet avec l’assurance d’une figure glamour. Site internet truffé de fautes de français. Besson et ses sbires manient la langue avec autant de style que la caméra et les acteurs. Le réalisateur qui a jusqu’à présent suscité de nombreuses polémiques concernant la validité de son cinéma (tous les critiques ne sont pas aveugles ou achetés) s’en est toujours sorti par la pirouette du succès. Autrement dit : si ça marche, autant de spectateurs ne peuvent se tromper, on ne force pas les gens, c’est du cinéma de divertissement, etc, etc. La gamme d’arguments spécieux habituels qui justifient aussi le succès de la real TV, de chanteurs niais, des hommes politiques voyous, etc. Nous allons redire ici que le cinéma de Besson a du succès parce qu’il flatte les instincts du public dans le sens de la norme et qu’il est véhiculé par une massive attaque de propagande qui vaut celle de son homologue ricain, Georges Lucas.
Lucas, le mec qui a tué le cinéma américain, qui l’a confiné dans un spectacle de masses infantilisées dont les recettes de merchandising sont plus importantes que les entrées salles (Besson est en retard dans ce domaine). Lucas a crétinisé le spectateur, le distributeur, le producteur américain, a légitimé le syndrome de la séquelle, en a fait une carrière, une vie, une saga sans consistance ni justification. Lucas qui, on le sait, voulait être plus grand que Coppola. Il a vendu son âme, gagné beaucoup plus de dollars que son maître, mais ne fera jamais un film qui égalera le plus mauvais de son Pygmalion. On peut tirer les leçons que l’on veut de l’histoire hollywoodienne, mais la plus belle montre que les grandes œuvres, les moments fondateurs ne sont pas les immenses succès commerciaux (à de rares accidents près), mais les films à contre-courant, à la marge, ceux où le réalisateur, le scénariste, le producteur acceptent de prendre des risques (pas uniquement financiers) pour extirper d’un amas de pellicule des tripes et du sang, des larmes et de l’âme.
Besson a sans doute fait les mêmes choix avec la différence de sa libdo qui le pousse aux mêmes tendances que ses prédécesseurs américains. Besson fait du cinéma pour être riche, mais aussi pour tirer de belles gonzesses qu’il fait jouer dans ses films. Quand on a un physique ingrat mais du pognon et des rôles à distribuer, on constate que la recette reste toujours valable.
Comme l’année commence, qu’un vrai héros vient de disparaître (Joe Strummer), qu’un héros de cinéma s’est planté comme à la parade (Scorcese), que la succession crétine de Besson est officielle (Le pacte des sous), ce petit billet n’a d’autre fonction de rappeler au réalisateur du crépusculaire et prometteur Dernier combat qu’il est encore jeune, que la rédemption est possible, qu’il y a un sens à la vie et au cinéma autre que celui qui mène à la banque. Et que la musique sera. Malgré Serra.

Hervé Deplasse"

Luc Besson, qui n’a jamais entretenu des relations idylliques avec la critique, décide d’attaquer le magazine en justice. Mais au lieu de demander une somme symbolique, il réclame 50 000 euros de dommages et intérêts – ce qui en cas de condamnation pourrait signifier la faillite pour cette publication aux modestes moyens financiers.

Une vive polémique émerge alors, des lettres de soutien sont adressées au magazine, et quelques voix arguent que d’autres médias, comme Les Guignols de l’Info sur Canal +, se sont aussi montrés agressifs envers des réalisateurs sans que personne n’ose pour autant les attaquer - Canal + étant le principal financeur du cinéma hexagonal. L’argument principal de la défense consiste donc à mettre en évidence la disproportion entre "le fort" (Besson) et "le faible" (Brazil).

A l’issue du procès, le magazine est acquitté et Luc Besson doit prendre en charge tous les frais de justice. Connaissant toujours des difficultés économiques, la revue Brazil a cependant été contrainte d'arrêter sa publication en 2011.

Le 28 décembre 2020 à 22:05:39 JanZizka a écrit :

Le 28 décembre 2020 à 22:03:21 DeHaven a écrit :

Le 28 décembre 2020 à 21:59:15 sookmadik a écrit :
Embellir ces victoires ça permet de prévenir les futures assaillants aussi. Du genre on a battu les "Allemands alors venez pas nous faire chier."

ouais c'est vrai
bon je comprend que gagner une bataille contre Napoléon serait un prestige, c'est quelqu'un que tout le monde accepte de voir comme invincible
mais dans le cas de l'ennemi "allemand" c'est bizarre :( on fête des victoires contre eux mais on les boycott dans la culture

Le boycott de Napoléon a aussi été important, son descriptif dans la propagande anglo-saxonne va à son encontre, comme tu dis ils ont essayé de le réduire (littéralement en plushttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png) tout en glorifiant le fait de l'avoir vaincu

oui tu a raison, donc on peut dire que les anglais nous font un immense honneur en fetant les seuls victoire contre napo :hap:

Le 28 décembre 2020 à 21:59:15 sookmadik a écrit :
Embellir ces victoires ça permet de prévenir les futures assaillants aussi. Du genre on a battu les "Allemands alors venez pas nous faire chier."

ouais c'est vrai
bon je comprend que gagner une bataille contre Napoléon serait un prestige, c'est quelqu'un que tout le monde accepte de voir comme invincible
mais dans le cas de l'ennemi "allemand" c'est bizarre :( on fête des victoires contre eux mais on les boycott dans la culture

le pire c'est quand les films de guerre montrant des victoire contre les allemands on ne montre JAMAIS les allemands

Le 28 décembre 2020 à 21:55:15 Fred-ent a écrit :

Le 28 décembre 2020 à 21:51:29 DeHaven a écrit :
En Angleterre le peuple voit l'évacuation de dunkerque comme un "miracle", ils ont sauver leur armée du rouleau compresseur allemand.
En Russie, le peuple est fier de la défense héroïque de Stalingrad face aux envahisseurs allemands.
En France on voit la bataille de Verdun comme un prestige, on a tenu face aux invincible allemands.
On voit aussi la bataille de la Marne comme un miracle qui a été démesurément fêté a travers tout le pays.

C'est ça le truc, on dit qu'on a "tenu a Verdun !" ou "qu'on a stopper les allemands a la Marne" cela veut dire qu'on aurait pas dû en fait :( qu'on était normalement faible, que gagner contre les allemands était un immense prestige. Un peu comme quand on se bat pour la première fois à l'école contre son harceleur et qu'on reçoit le respect des autres camarades. On devient un homme. On passe une étape dans la vie.

En célébrant exagérément ces "victoires" contre les allemands on leur fait plus honneur qu'autre chose en fait :pf: on avoue qu'on les voyait comme les meilleurs militaires au monde :(

Je trouve que c'est trop leur donner.

En fait depuis toujours on exagère souvent la force des perdants pour glorifier sa victoire :(

voilà