Le 28 juillet 2021 à 21:17:52 :
Les restaurateurs ou ceux qui taff dans le cinema qui n'ont pas trop gueulé à l'annonce de Macron, faudra pas gueuler une fois que tout les manifestants se seront fait arracher l'oeil au flashball et que les manifs seront vide.
Les petits commerçants ont vendues leur âme au gouvernement en acceptant la fermeture en échange d'aides. Ils ont vu trop court terme et sont maintenant les esclaves complets du gouv. Pour des sous ils ont venduent leurs moyens de production à perte sur le long terme.
Le 28 juillet 2021 à 21:10:00 :
Le 28 juillet 2021 à 21:08:41 :
Après 1 an et demi de confinement le gouv nous fait indirectement tuer les petits commerçants et l'événementiel. Ils savaient que ca allait arriver vu les délais impossibles.Ce sont des psychopathes... et des gens leurs font confiance putain
psychopathes je crois pas . Je pense qu'il y a une carabistouille aux petits oignons dans les tuyaux mais laquelle ? Je la sens pas du tout cette affaire
C'est absolument des psychopathes. Ce sont des gens extrêmement cyniques qui n'en ont rien à foutre des "gens".
Il a envoyé un SMS à Ve ran en lui disant : "Tiens bon, on les aura, ces connards"
https://www.charentelibre.fr/2021/01/15/tiens-bon-on-les-aura-ces-connards-le-sms-tres-cash-de-macron-a-veran,3696201.php
D'autres disent qu'ils veulent faire une "vie de merde pour tous les non vaccinés"
https://www.valeursactuelles.com/societe/un-conseiller-ministeriel-promet-une-vie-de-merde-pour-les-non-vaccines/
Et la c'est juste de tête. Ils en sont au point de vouloir faire du mal à autant de gens pour cacher le fait que leurs mesures ne sont pas scientifiques et n'arrêteront pas le covid. En arriver à ce niveau de manipulation, de mensonge et d'escroquerie avec des conséquences sur des millions de personne je te garantis que c'est de la psychopathie.
Le 28 juillet 2021 à 21:09:26 :
Même sans boycott hein. La campagne de vaccination ouverte pour tous ne date que de juin, et une semaine avant l'allocution, le gouv te dit qu'il n'y aura pas de pass sanitaire, et bam ! l'autre te sort son délire de pass d'un coup sans prévenir.Résultat les types qui ne sont ni des golems de compet, ni des antivax ont pris RDV après l'alloc et n'auront leur pass qu'à la fin de l'été. .
Encore un truc qui a été super bien planifié.
C'est fait exprès. C'est le but.
Après 1 an et demi de confinement le gouv nous laisse donner le coup de grâce aux petits commerçants et l'événementiel. Ils savaient que ca allait arriver vu les délais impossibles.
Ce sont des psychopathes... et des gens leurs font confiance putain
Le 28 juillet 2021 à 20:27:47 :
toutes les personnes autour de moi famille, amis et collègues de taf ont fait le vaccin certains depuis mars ... et aucuns n'a d'effets indésirables donc go ... puis cest comme ça on a perdu faut se rendre a l'évidence... 60% de vax ... 80% d'ici le 15septembre c'est bon j'abandonne
T'abandonne rien du tout, t'as rien commencé et tu plie sous les premières menaces
Le 28 juillet 2021 à 20:06:00 :
Je comprends pas les mecs qui jouent les rebelles anti-vaccins sans aucunes logique et qui sont prêts à sacrifier une carrière pro… pour rien.
Parce que tu ne comprend pas les enjeux. C'est tout ke reste de notre vie qui sera impacté si on se laisse faire.
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Fait un arrêt maladie pour dépression.
Moi aussi je vais perdre mon taff mais au calme car j'ai des plan pour faire du black.
Meuf qui se fair violer : 6 ans pour que le procureur ouvre le dossier
Carricature de Macron ? En quelques jours c'est plié
Le 28 juillet 2021 à 18:32:22 :
Cilivarian
Cilivariandézantivax
Normal vu que les vaccinés et non vaccinés ont des charges virales égales et donc peuvent autant transmettre le virus
Le 28 juillet 2021 à 18:06:27 :
Les anti-vax de ce post, vos raison de pas vous faire vacciner que je vous balaye ? Hop hop hop
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Le 28 juillet 2021 à 17:58:10 :
Le 28 juillet 2021 à 17:57:43 ANTI-BOT-103 a écrit :
Le 28 juillet 2021 à 17:56:39 :
quel interet?Tu peux les utiliser pour des psyOP
et en français gros suceur d'angloide?
Opération psychologiques. Tu peux créer un agent comme ça pour diverses tâches. Par exemple tu prend un type fragile, tu l'expose à certaines vidéos, tu ajoute de la drogue, tu le manipule et tu finis pas lui faire faire une connerie qui peut servir un agenda politique, économique, prendre le blame pour quelqun d'autre ect...
Le 28 juillet 2021 à 17:56:39 :
quel interet?
Tu peux les utiliser pour des psyOP
C'est quoi ce faux choix
Monsieur le président nous avons deux options soit on laisse tout crâmer et on protège le quartier soit on sauve notre-dame
Bah on sauve Notre-dame
C'est un choix éclairé que seul une autorité supérieure pouvait prendre, contrairement à vous les petites souries auquelles nous donnons le privilège d'assister à une page de l'histoire qui s'écrit sous vos yeux ébahie