Enfin pour être honnête j'en suis un, je l'ai fait car je me sentais mal de ma situation (h24 dans ma chambre la seule fois de la semaine ou je sors c'est pour les voir eux et eux ont leur vie soirée tous les jours à coté )
du coup maintenant ça fait 2 semaines, ils se sont inquiétés au début mais maintenant je pense qu'ils l'ont pris pour eux donc j'ai vraiment niqué mes deux dernières amitiés
Le 25 avril 2021 à 01:16:22 :
Branlette intellectuelle inutilehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/45/5/1573242329-un-probleme-lepyj2.png Les L bordel
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/45/5/1573242329-un-probleme-lepyj2.png
Une grande frite et un coca stphttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/45/5/1573242329-un-probleme-lepyj2.png
ça se sent intelligent mais ça touche le SMIC
les philosophes de bas étages vous êtes mignion
Le 25 avril 2021 à 00:38:44 :
[00:34:26] <MonPseudoNul>
Mais va dans la pharmacie d’en face enculé ?Une ordonnance sécurisée est rattachée qu'à une seule pharmacie, le médecin y inscrit le nom de la pharmacie et prévient le pharmacien.
Je comprends que tu ne connaisses pas les procèdures pharmacologiques.
tu ne peux que comprendre avec ton pseudo de 2004, petit fragile.
Le 21 avril 2021 à 23:39:25 :
ça a l'air éclatax
Tu regardais l'ancienne version ?
je parle plus à ma famille, j'ai ghost mes 2 derniers potes; j'ai annulé mon 1 rdv avec ma psy début mai, depuis que j'ai compris que ma morale était saine et que j'étais juste tombé sur des c*nnards qui avaient profites de moments de faiblesse j'arrive à pardonner à personne, je préfère parler et être seul (IRL) plutot que de faire le faux cul à faire le souriant avec les autres
juste ce qui me rend vraiment triste c'est que les personnes qui m'aiment et qui veulent m'aider (ma mère) prennent pour ceux qui ont été des connards avec moi et je peux rien y faire
j'en ai marre de tout sérieux ça fait 1 semaine je plus à personne, ils pensent que j'ai vécu un truc de ouf alors que c'est juste que j'ai décidé de me laisser sombrer
Le 19 avril 2021 à 00:12:05 :
Rien que Yamcha ridiculise ta merde.
à ce niveau c'est aussi crédible que leur perso non animé qui bouge de haut en bas pour montrer qu'il fait du mouvement
j'étais hyper hype par le pavé de l'op puis j'ai vu ça : https://youtu.be/1GuBCZlgYDg
la décéption ahi
Le 19 avril 2021 à 00:02:48 :
Pourquoi vivre alors
go prendre un doliprane le suicideboy casse pas les couilles
Le 03 avril 2021 à 07:18:44 Katharistis a écrit :
Le 03 avril 2021 à 07:17:46 larvecomestible a écrit :
c'est ce que ta mére se pose comme question tout les jourshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/5/1617393367-jimi-en-depit.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/13/6/1617427091-156183-full.png raté mon khey. Elle est fière de moi
Cette réponse d'Alpha
https://youtu.be/QBUF0GZ8KEs
Au 4ème étage de l’hôpital, le cheval sort de l’ascenseur devant les yeux ébahis des parents et des soignants. Mohamed Anis, 8 ans, n’est lui pas surpris. Ah, tu es revenu me voir !, s’exclame-t-il avec un sourire grand comme ça. Peyo, qui lui avait rendu visite la veille, est revenu bille en tête dans la chambre, rendre visite au petit patient. Le service est composé de 2 unités qui prennent en charge des patients de la naissance jusqu’à l’âge adulte, pour des anomalies cardiaques congénitales en situation aigue ou chronique. Certains de nos patients sont ici depuis plusieurs mois dans l’attente d’une greffe. La présence de Peyo apporte un peu de légèreté et de magie dans un quotidien difficile, explique Carine Berthier, cadre de l’Unité « des grands ». On fait rentrer la vie du dehors à l’intérieur de l’hôpital et nous pensons avec l’équipe que cette action peut avoir un réel intérêt. La venue de Peyo s’inscrit en effet dans le cadre d’un projet porté par la chef de service, le Pr Sylvie Di Filippo et les cadres visant à évaluer une approche originale et réconfortante d’accompagnement des patients et des familles confrontées à des pathologies complexes et durables. Pendant la semaine, les infirmières ont observé le comportement des enfants, discuté avec les parents et rempli des grilles d’évaluation basées sur l’évolution de plusieurs critères en lien avec la présence de l’étalon : gestion des émotions de l’enfant, humeur, compliance aux soins, amélioration du sommeil et de l’appétit.
Les questionnaires n’ont pas encore été analysés mais les premiers ressentis sont déjà positifs. Certains enfants paraissent plus apaisés, observe Geneviève Michel, cadre de l’unité « des petits ». Les plus jeunes, d’abord effrayés, sont rapidement entrés en contact avec le cheval Peyo faisant parfois naître des éclats de rire. Les parents ont pu partager ce moment joyeux avec leurs enfants.
Le service d’hygiène de l’hôpital a également donné son accord sur la venue du cheval dans le service dans les conditions définies entre le dresseur et le service de cardiopédiatrie et des règles de vigilance ont été diffusées à l’ensemble des soignants. A titre d’exemple, les abords vasculaires (voies centrales, Piccline…) sont protégés, les patients greffés portent un masque et les mains des enfants sont lavées à l’aide d’une solution hydro alcoolique après chaque contact, le sol est lavé après le départ du cheval. Quant aux besoins physiologiques, aucun problème. Peyo sait se faire comprendre et exprime à son dresseur quand il a besoin d’aller au petit coin !
Peyo n'est pas qu'un animal de dressage exceptionnel, gentil et obéissant, Peyo a de façon naturelle une hypersensibilité, capable de sentir la souffrance, la mort, a être empathique face à des personnes vulnérables, notamment les plus âgés. Peyo les « détecte » et se rend à leur chevet dans des hôpitaux français (Dijon, Le Havre, Nice, Antibes, Calais) qui accompagnent cette "expérience scientifique". Hassen Bouchakour a en effet créé l'association Les Sabots du Coeur, son but : visiter à domicile ou en établissement de santé des personnes fragilisées par l'âge ou la maladie. Il s'agit alors d'analyser, d'observer, d'annoter, et tenter de comprendre le lien qui s'établit entre un cheval et des personnes en situation de faiblesse, de soutenir les patients et leur famille à l'aide de la médiation animale.
Comme Hassen Bouchakour l'expliquait récemment, j'ai perçu le don de Peyo, il y a six ans de cela et j'ai voulu comprendre auprès de neurologues et de psychiatres le phénomène scientifique, comment il arrive à sentir la mort arriver. De là, nous avons déterminé cinq angles de recherche pour la gériatrie, la pédiatrie, la psychiatrie, les soins palliatifs et Alzheimer avec cinq hôpitaux en France et un centre d'études vétérinaires en Belgique. Nous essayons de comprendre le pourquoi et le comment de ce don. Comment fait Peyo ? Nul ne le sait. Mais chacune de ses visites semble avoir des effets miraculeux pour tous les patients concernés.
Recemment, Equideo nous proposait un deuxième reportage, tourné au sein de l'unité de soins palliatifs "séléné" du centre Hospitalier de Calais. Peyo demeure plus encore "un cheval de coeur", évoluant avec empathie et attention auprès des patients en fin de vie, diminués, souffrants. Là encore, la médiation opère. Le Dr Cécile Baelen-Teacher, chef de service de l'unité, en témoigne. La première fois que le cheval est entré dans les chambres, on a vu quelque chose se passer, des choses incroyables. Un jeune patient, hélas en phase terminale, avec une souffrance physique et psychologique très importante, renfermé sur lui-même, s'est connecté d'un seul regard avec Peyo. L'animal s'est arrêté de vant lui, tout s'est arrêté et on a même senti qu'il fallait qu'on sorte de la chambre. On a retrouvé le patient ensuite véritablement rayonnant, apaisé comme jamais les médicaments n'avaient pu le faire. Un dialogue invisible s'est noué entre le cheval et le patient. Le Dr Peyo a fait plus alors que tout ce que l'on avait pu faire pour ce patient jusqu'alors, poursuit le médecin, très émue mais surtout heureuse d'avoir pu assister à cette rencontre d'un type inédit.
Ne cherchons pas à expliquer les choses, cela se fait, et seul le résultat compte. Hassen, de son côté est très impressionné par le travail des soignants dans ces unités de soins difficiles, où chacun s'affaire à alléger le quotidien des patients, des familles, des proches. Il souligne également leur ouverture d'esprit à accueillir Peyo, à l'accepter comme une aide complémentaire à leurs actions. Pour Najat Moussi, directrice des soins de l'établissement, cette approche vaut tout l'or du monde. Peyo apporte de la sérénité partout où il passe, sa présence est lumineuse. Julie Cocquerel, infirmière du service, se dit militante de l'humanité à l'hôpital, un défi à relever chaque jour. Elle se réjouit particulièrement de voir un animal, un cheval de surcroît, rentrer dans l'univers hospitalier, carré, rigide. Le cadre s'en voit bouleversé, mais comme cela nous fait du bien et fait du bien à l'hôpital ! Hassen l'affirme, depuis toujours, le cheval est un passeur et avec Peyo, cela se vérifie tous les jours. C'est lui qui est commande, c'est lui qui choisit s'il interagit avec une personne ou pas. Irrationnel peut-être mais pourtant vrai.
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ils étaient ridicule ces pnj https://streamable.com/evefzu