Le 16 juillet 2021 à 17:40:35 :
Extraction de sperme classique puis tu sera remis en liberté dans ton milieu naturel
Vous me promettez de pas me faire le vaccin covid ?
Le 16 juillet 2021 à 17:37:45 :
Tu veux faire un tour avec moi l'opax ?
Ça dépend vous aller me faire quoi ?
Le 16 juillet 2021 à 17:36:47 :
Pourquoi il fait nuit à 17h30 ?
Parceque cetait pas aujourd’hui
Le 16 juillet 2021 à 17:36:13 :
On dirait une roue de chargement d'une app mobile quelconque
Non pas du tout c’était dans le ciel un soir en juin vers Montpellier
Le 16 juillet 2021 à 17:33:41 :
Bonjour MR ECROF-IZAN-88
Regardez le flashhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490799071-neurolyser.gif
Le flash ?
Le 16 juillet 2021 à 17:32:55 :
C'est moi avec mon drone, désolée chef
Sacré drone !
Le 16 juillet 2021 à 17:31:24 :
Cimer l'op c'est clairement le début d'une invasion alien je vais me réfugier dans mon bunkerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/12/4/1521722380-bunker.png
Y’a une petite place pour moi khey ?
Le 16 juillet 2021 à 17:30:44 :
Feu artifices. Xw
Non pas du tout
Des khey qui pense savoir ce que sais j’ai une vidéo mais je sais pas comment je pourrais la poster
Le 16 juillet 2021 à 16:39:51 :
Le 16 juillet 2021 à 16:38:56 :
Parler pas des nazisi on est en france liberté d'expression
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png
Regarde mieux
Une petite amie sordide
Travis Victor Alexander est mort le 4 juin 2008 à Mesa, Arizona, il a été tué par son ex-petite amie, Jodi Ann Arias à son domicile ( plus précisement sous la douche ). Jodi Ann Arias a été déclarée coupable de meurtre au premier degré le 8 mai 2013 et condamnée à l'emprisonnement à perpétuité le 13 avril 2015.
Lors du crime, Travis a subi de multiples blessures à l'arme blanche et reçut une balle de pistolet automatique de calibre 6,35 mm dans la tête.
La photo que vous voyez est prise par son ex petit amie quelques secondes avant sa mort.
Mot clé pour voir le cadavre ( sur google image ) : "travis alexander corpse"
Le 16 juillet 2021 à 16:30:04 :
Le 16 juillet 2021 à 16:28:25 :
Si ça vous plais j’ai plein d’histoires comme ça les kheyforcément si tu fais du cc t'en a pleins
Oui je fait du copié coller pour faire plaisir au khey qui connaissaient pas
Les poupées humaines
En novembre 2011, la police fouille la maison d'Anatoly Moskvin à Nijni Novgorod, en Russie. L'homme est un universitaire de renom, auteur et spécialiste de l'histoire des cimetières. Au début, les officiers veulent simplement parler avec l'homme pour lui demander des conseils sur une enquête en cours, mais très vite, ils découvrent quelque chose de suspicieux.
Les fouilles menées par la suite vont révéler les crimes les plus tordus et dérangeants jamais perpétrés en Russie.
Le quarantenaire vit dans un petit appartement dont les murs sont tous recouverts d'étagères remplies de livres, d'habits d'enfants colorés et de jouets. Ce sont justement les vêtements et jouets qui mettent la puce à l'oreille des officiers. Pourquoi un homme célibataire et sans enfant aurait de tels effets chez lui ?
Dans une pièce, la police découvre des poupées à taille humaine minutieusement vêtues et positionnées sur le canapé, les chaises et le sol.
L'odeur et l'apparence étrange des poupées éveillent les soupçons des enquêteurs. Lorsqu'ils regardent de plus près, ils font une macabre découverte.
Les poupées ne sont en réalité pas du tout des poupées : ce sont des corps momifiés ! Anatoly est immédiatement arrêté et son terrible secret fait les gros titres de la presse nationale.
Pendant plus de 10 ans, Anatoly se rend dans des cimetières en plein milieu de la nuit et déterre des corps de fillettes récemment enterrés. Il les ramène chez lui et essaie de les momifier, mais lorsque l'embaumement ne prend pas, il les remet dans leur tombe.
Anatoly coopère avec les enquêteurs et leur avoue avoir déterré plus de 150 corps. Sur ce total, il en a gardé 29 qu'il a réussi à embaumer avec succès. Il procède à la momification par le biais de frottements avec du sel et du bicarbonate de soude puis en les "remplissant" ensuite avec des vêtements une fois les corps secs.
Anatoly se fait surnommer "le poupetier" et les détails les plus sordides commencent à voir le jour. Il prépare de la cire pour le visage des momies et les peint à l'aide de vernis à ongles. Il les habille, prend le thé en leur compagnie et fête même des anniversaires. Pire encore, il installe des boîtiers de reproduction de parole mécanique sur certaines des "poupées" pour les rendre plus vivantes. Anatoly affirme n’avoir jamais eu le moindre rapport sexuel avec ses "filles", il souhaitait juste leur faire le cadeau d'une vie éternelle.
Photo de l'une des poupées :
La tribu des sentinelles
Tout le monde a entendu parler de John Chau, l’Américain tombé sous les flèches d’une tribu isolée de l’île de North Sentinel. On connaît en revanche moins l’histoire de cette peuplade de l’océan Indien et de son animosité envers l’étranger.
«Il a été attaqué avec des flèches, mais il a continué à marcher. Les pêcheurs ont vu les habitants de l’île lui nouer une corde autour du cou et traîner son corps.» Lui, c’est donc John Chau, un Américain de 27 ans mort sur North Sentinel, une des îles Andaman, dans le golfe du Bengale. Selon Indian Today, le globe-trotter originaire de l’Alabama était un missionnaire chrétien, venu dans la région avec l’objectif d’évangéliser la tribu, qui, selon nombre de médias, serait l’une des plus agressives au monde.
Les Sentinelles vivent sur une petite île boisée appelée North Sentinel, qui fait à peu près la taille de l’île de Ré. Ils continuent à refuser tout contact avec des personnes étrangères à la tribu, attaquant ceux qui se risquent à approcher. En 2006, deux pêcheurs indiens qui avaient amarré leur bateau près de North Sentinel pour se reposer après avoir pêché dans ses eaux, ont été tués quand leur bateau s’est détaché et a dérivé vers le rivage. Les braconniers sont connus pour pêcher illégalement dans les eaux autour de l’île, attrapant des tortues et plongeant profondément pour trouver des ‘concombres de mer’ et des homards.
La majorité de ce que l’on sait sur les Sentinelles nous vient de ceux qui les ont aperçus à partir de bateaux amarrés à une distance du rivage qui les protégeaient des tirs de flèches et grâce à de très brefs moments où les Sentinelles ont permis aux autorités de se rapprocher assez près pour leur donner quelques noix de coco. Nous ignorons même par quel nom ils désignent leur peuple.
Les Sentinelles chassent et cueillent dans la forêt et ils pêchent le long des côtes. Contrairement à la tribu voisine des Jarawa, ils fabriquent des bateaux – des pirogues à balancier, décrites comme étant ‘trop étroites pour pouvoir y loger les deux jambes’. Ils ne peuvent être utilisés que dans les eaux peu profondes puisqu’ils sont manoeuvrés et propulsés à l’aide d’une perche comme le sont les barques.
Les Sentinelles vivraient en trois petits groupes. Ils possèdent deux types d’habitations; de longues maisons communautaires avec plusieurs foyers pour un certain nombre de familles, et des abris plus temporaires, ouverts sur les côtés, que l’on peut parfois apercevoir de la plage, avec assez d’espace pour accueillir une famille.
Les femmes portent des cordelettes en fibre végétale autour de leur taille, autour de leur cou et de leurs têtes. Les hommes portent aussi des colliers et des bandeaux ainsi qu’une ceinture plus épaisse à la taille. Ils transportent des lances, des arcs et des flèches.
Bien que les médias les aient décrits comme ‘vivant à l’âge de pierre’, ce n’est certainement pas le cas. Il n’y a aucune raison de penser que les Sentinelles auraient vécu de la même façon pendant les milliers d’années qu’ils ont passé sur les îles Andamans. Leur manière de vivre a dû changer et s’adapter à de nombreuses occasions, comme c’est le cas pour tous les peuples. Par exemple, ils utilisent aujourd’hui du métal qui s’est échoué sur leurs rivages ou qu’ils ont récupéré des naufrages de bateaux sur les coraux. Le fer est affûté et utilisé pour faire les pointes des flèches.
Cliché pris après le tsunami de décembre 2004 montrant un membre de la tribu des Sentinelles essayant d’abattre un hélicoptère des gardes-côtes indiens à l’aide d’un arc et de flèches.