Le 25 juillet 2021 à 18:51:33 :
Ce style illisible
rien à foutre, merci pour le up
Le 25 juillet 2021 à 18:44:46 :
Ce topic m'a tenu en haleine jusqu'à la finhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501156548-risitas-fruit-scarlo.jpg
Tu as bandé ?
Le 25 juillet 2021 à 18:41:12 :
Je n'ai lu que la fin avec l'africain
Lis à partir du sticker pour voir l'ambiance que je leur donne avent le choc
Le 25 juillet 2021 à 18:39:13 :
J'avais fait le même topic mais moins longhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/50/7/1513505533-ahi.png + toujours lire la fin avant
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/50/7/1513505533-ahi.png
J'espère que certains vont tout lire depuis le début pour mieux rêver
Au lycée, seul, je ne mangeais rien car mes parents ne me donnaient pas d'argent et ils prenaient tout le fric de la paye de mes jobs d'été. Évidemment me préparer un sandwich fait maison coûterait trop cher pour eux, mais s'offrir un restaurant par semaine avec l'argent de mes jobs d'été ça leur va. Ma mère est totalement absente, toujours en train de dormir devant une mini-télé dans sa chambre avec un paquet de chips, et mon père, une fois rentré du travail, s'affale sur le sofa avec mon chien, une bière et le football.
Lorsque je rentre chez-moi, je dois brosser et promener mes chiens, passer l'aspirateur, servir une autre bière à mon père, cuisiner. Mes parents ne participent pas aux tâches ménagères. Si je les réalise mal ou que j'ai du retard, je suis enfermé dehors pour le reste de la nuit. La douche est une histoire compliquée : bien que mes parents soient riches, ils ne me laissent que une minute tous les deux jours pour me doucher. Selon eux l'eau chaude coûte trop cher. Du coup j'ai les cheveux toujours sales. Bon, ça ne me dérange pas vu que j'ai l'habitude de ce train quotidien depuis ma naissance.
Cet été je bosse en tant que paysagiste. Je repense à ma dernière année de fac, tous ces gens que je ne reverrais plus jamais, en particulier à Émeraude. Elle était jolie physiquement sans être une bombe pour autant : Cheveux longs, dorés et bouclés, yeux bleus clair tout petit nez montant, petites lèvres, seins fermes et de même pour le fessier (bien ferme). Sa voix était claire et affirmée. Je l'aimais surtout parce que c'était la seule fille qui discutait volontiers avec moi, et elle était très heureuse et lumineuse dans sa manière de parler. Les autres n'étaient pas méchantes, mais soit hautaines, soit leur pitié envers moi créerait un fort malaise.
Bon bref, excusez-moi pour cette intervalle inutile. Cet été je travaille en tant que paysagiste. Mon patron est très sévère, il veut toujours que tout soit fait rapidement afin de ne pas louper son rendez-vous moto avec ses potes. Si je traîne trop je suis moins payé que ce que l'annonce affiche, et malheureusement il y a deux jours je fus malade, une grippe. Mon patron, voyant que mon état n'était pas correct, m'a fait avaler une pilule de je ne sais quoi, puis il m'a ordonné de reprendre le travail lorsqu'il se recoucha sur son transat. Je m'exécuta, mais malheureusement je n'y arrivais plus. À la fin de la journée mon patron ne me donna que la moitié du salaire quotidien (10 euros).
J'arrivai chez-moi, et je donnai l'argent à mon père. Voyant que le salaire est incomplet il m'accusa d'avoir dépensé de l'argent dans de la bouffe et il me jeta dehors en me lançant sa bouteille de bière. Il fait bon dehors, je fus décidé de marcher jusqu'à l'endroit habituel où je passe mes nuit dehors, c'est à dire une petite maison en bois à la place de jeux à quelques centaines de mètres de chez-moi. Arrivé sur place je posai mon sac et commençai à dessiner. Un homme volant, un joueur de football, un paysage, un zombie sorti d'un jeu vidéo que j'ai eu l'occasion de voir sur YouTube... bref, tout ce qui me passait par la tête.
La nuit est tombée à présent. Il fait plus froid qu'auparavant et habillé uniquement d'un T-shirt et d'un short sales et usagés, je tente de me réchauffer avec mon sac à dos. Je regarde les gens passer, tantôt avec des parapluies, tantôt avec des capuches, tantôt avec les deux, sauf moi, qui reste là, seul comme un con sous une maisonnette en bois d'un parc pour enfants. Bon, au moins la pluie ne me tombe pas dessus. Personne ne me voit, c'est le principal.
Un moment je vois quelqu'un arriver vers moi. Je me braque donc pour tenter de me faire discret. La personne, capuchée, m'aperçois et marche rapidement en ma direction. J'hésite à fuir quand elle me dit :
- Ça va mec ? Je peux m'assoir ?
- ...
- Hein ? Ça va ?
- ... Oui, merci...
L'homme enlève sa capuche et se place à côté de moi. Je retire mes dessins pour lui laisser un peu plus de place. Il les aperçoit, me demande par un signe s'il peut les observer. Je les lui donne, il regarde peu attentivement et se tourne vers moi.
- Tu dessines bien. Tu viens souvent ici ?
- Merci... oui, et et toi ?
- Non, j'habite en montagne et je sors de boîte. Quand je t'ai vu là j'ai hésité à te passer un pull. T'en veux un ?
- Non merci. Garde tes affaires pour toi...
Un silence s'impose. Nous regardons l'extérieur pendant un moment, et il reprend rapidement la parole :
- Tiens je t'oblige
Il enlève sa veste et me la lance dessus. Je l'enfile timidement. J'arrive à apercevoir clairement son visage à présent. Il a les cheveux châtains et courts. Il semble avoir la vingtaine.
- Merci...
- Comment t'es arrivé là ?
- Je, euh c'est rien, ce sont mes parents qui se sont disputé... Je préfère les laisser tranquille
Il m'observe rapidement, en particulier ma coupe de cheveux hérissée et sale.
- C'est pas la première fois hein ? Dit-il avec un air narquois
- Euh... non...
- Viens je j'héberge chez-moi pour cette nuit. À voir si ma famille va t'accepter ou pas. Comment t'appelles-tu ?
- Célestin... et toi ?
- Floriant
Arrivés à la gare, Floriant me paye un ticket de train et nous montons dans un wagon. Le wagon monte également, mais lui il monte une montagne. Une fois arrivés, nous descendons du train et j'arrive à sentir l'odeur de la bouse de vache et du foin. Une ferme se tient non-loin de là, mais à cause de la nuit noire en campagne je ne la perçois pas. Floriant connaît ce coin par coeur, je le suis pas à pas.
- Attention à droite il y a un trou dans le béton
Effectivement, et heureusement qu'il me l'a dit, sinon je serais tombé dedans. Nous marchons ensuite une quinzaine de minutes sur un petit sentier biscornu et terreux, quand enfin nous nous arrêtons devant une maison avec un poulailler dans le jardin.
- Attends-moi là Célestin
Floriant rentre. Je l'entends discuter avec deux ou trous personnes, puis il revient.
- C'est bon, tu peux venir.
La maison est en désordre. Des photos sont accrochées de partout, des vases vides, des bricolages d'enfance... mais rien de tout ça ne gâche la sensation de chaleur. Je dépose mes chaussures doucement, quand j'entends :
- Bonjour !
Je regarde d'où ce mot provient. J'aperçois un bonhomme avec un gros ventre mais qui semble en forme. Il s'agit sans doute du père de famille. À côté se tient la mère. Cette dernière respire un bon coup avant de prononcer :
- Tu peux prendre une douche, mais ne fait pas trop de bruit, il y a des gens qui dorment. Tu peux dormir sur le canapé.
- Me merci...
J'entre dans la salle de bain et habitué aux contraintes de mes parents je prends une douche en une minute. Quand j'entends une voix provenant de derrière la porte :
- Déjà fini ? prends ton temps, tu es tout sale !
- ou oui...
Je rallume l'eau chaude et je continue. Ce soir je me doucherai enfin correctement. Je prends donc mon temps. une fois le nettoyage terminé je commence à me rhabiller avec des habits que l'on m'a prêté, quand soudainement j'entends une discussion du salon :
- Oui, je l'ai trouvé là-bas
- ah, il va bien ?
- Je sais pas il ne parle pas beaucoup. Il s'appelle Célestin et il a des problèmes avec ses parents, c'est tout ce que je sais.
- D'accord, bonne nuit
Putain cette voix... Émeraude ?
Je reste figé dans la salle de bain, je n'ose pas bouger. Quand on toque à ma porte. J'hésite à ouvrir.
- ou oui ?
- Ouvre s'il te plaît
Putain c'est elle. Merde je sais pas comment réagir, je perds tous mes moyens
- Allez, il est une heure du matin, je veux te voir avant de dormir
Je cède sous la pression, comme d'habitude. J'ouvre lentement la porte et on croise nos regards. C'est bien elle, je n'ose pas parler. Elle s'affirme en premier :
- Célestin, tu aurais pu me dire que tes parents te jettent dehors. Je le voyais bien au lycée que tu avais un problème. Pourquoi tu ne m'as rien dit ?
- Euh, bah...
- Regarde ta barbe et ta coiffure ! Laisse-moi m'en occuper et détends-toi.
J'ai le visage tout rouge tant je stresse. Émeraude sort un rasoir électrique d'un tiroir et me fait signe de m'assoir (évidemment je m'exécute sans rien dire comme le bon toutou que je suis, mais ça vous auriez pu le prédire hein). Elle commence par me faire une belle coupe de cheveux. Une fois ceci terminé, elle me fait signe de monter la tête pour s'occuper de raser ma barbe.
Émeraude pose sa main sur ma gorge pour éviter que je bouge ma tête. Son visage se rapproche du mien. Je peux sentir sa respiration chaude. Je rougis immédiatement et elle le remarque. Elle sourit en soufflant du nez, puis elle commence à me raser. Sa main bouge quelque fois, me caressant doucement la peau. Ça m'excite un peu, merde je commence à avoir une érection. Elle aperçoit la bosse dans la short que la famille m'a prêté et elle sourit nerveusement.
- C'est mon short et mon T-shirt que tu as là Célestin. Pas de cochonneries dedans d'accord ? Me dit-elle en rigolant doucement.
Une fois qu'elle a terminé elle me fait signe de sortir de la salle de bain.
- Merci pour t tout Éme Émeraude . Je vais dormir à présent.
- Sur le canapé ?! oooh viens je t'installe un matelas dans ta chambre.
Émeraude me prends par la main et me tire vers l'étage supérieur. Elle me fait signe de rester silencieux et on entre dans sa chambre. À l'intérieur un parfum de pêche se fait sentir.
- Bon Célestin j'ai la flemme de chercher un matelas. Tu viens ?
- Euh, tu veux dire...
- Viens !
Elle tire la couverture de son lit et je m'assois dessus. Elle me dit en chuchotant dans mon oreille :
- Enlève mes habits ils m'appartiennent. Promis je ne regarde pas.
Elle tourne le dos pendant que j'enlève tout jusqu'à être en caleçon uniquement. Émeraude se glisse dans le lit avec son pyjama. Je la vois gigoter et soudain elle lance quelque chose hors des couvertures : son pyjama !
- T'inquiètes je suis en culotte et soutien gorge. Allez serres-toi un peu plus contre le mur, j'ai besoin de place !
Je me tourne. je lui demande si c'est bon pour elle, mais au lieu de me répondre elle s'approche aussi du mur, me prenant en sandwich. Elle glisse doucement un bras au dessus de mon dos et l'autre en dessous. Un sein repose dans ma gorge et l'autre sur mon bras, et il est lourd, je le ressens bien. Je passe timidement mon bras au dessus de son flanc pour le mettre derrière son dos, seulement son sein de ma main. La peau de sa poitrine est très douce, j'y aperçois un petit grain de beauté qui me fascine. Nos visages sont fresques collés l'un contre l'autre. Elle me chuchote en souriant :
- Tu es pris au piège Célestin mmmh ? Viens on passe la nuit ensemble
Émeraude glisse un des ses petits pieds entre les miens. Puis elle pose son autre pied au dessus de mes jambes. Elle pousse de plus en plus jusqu'à ce que la haut de nos cuisses soient entremêlées. Elle frotte l'intérieur de ses cuisses doucement et chaudement contre les miennes. Elle pose sa tête contre la mienne, me chuchotant quelque chose que je ne comprends pas. Son souffle chaud me détend et me rassure, puis elle glisse ses lèvres contres les miennes. Elle rentre sa langue dans la bouche et nous nous embrassons longuement.
Puis elle bouge son bras doucement, me caressant le ventre. elle continue plus bas, de plus en plus bas, jusqu'à enfiler lentement un doigt sous mon caleçon, puis deux, puis toute sa main. Je ressens ses doigts, sa peau de pêche caresser le dessus de mon prépuce. Ensuite elle empoigne mon pénis dans son entièreté et elle commence à secouer très lentement sa main de haut en bas. Elle m'embrasse encore une fois.
- Allez Célestin vas-y
Je retire mon bras par dessus son dos pour le mettre contre son ventre. Je touche sa culotte, ce délicat bout de tissu. J'abaisse ce dernier rempart. J'hésite et elle le ressent.
- Allez
Je touche doucement ses lèvres entre ses cuisses. C'est chaud et humide. Je rentre un doigt, une chair très chaleureuse me compresse le doigt. J'entends Émeraude respirer un peu plus fort, secouant mon pénis un peu plus frénétiquement. Elle se cambre tout à coup, approchant son sexe du mien. Elle frotte mon pénis contre ses lèvres, et...
...
Je me réveille, je suis seul sous la maisonnette en bois de la place de jeux. Il pleut. Je tremblote de frois et je suis trempé. tout à coup j'éternue et plein de morve s'accumule contre mon visage et mon T-shirt. J'aperçois quelqu'un arriver, un homme à capuche.
- Mec t'as deux balles ?
- N-non...
l'homme me plaque contre le mur de la maisonnette et fouille mes poches et mon sac. Ne trouvant rien il me fout une gifle humiliante et repart. Des larmes commencent à sortir de mes joues. Tout à coup de la lumière m'éblouit. Une fois que je m'y suis habitué j'aperçois Émeraude. Elle est accompagné d'un homme, grand, à la peau noire foncée. Celui-ci m'observe et dit :
- Aaaaaaaaaa putain cette victime Ouuaaaarf oouuaaarf Allez viens récupérer tes dessins
L'homme se met à piétiner mes dessins dans une flaque. Ils sont foutus. Émeraude me regarde en souriant.
- Putain Célestin t'es la honte starfoullah ! Heureusement que je ne serais plus jamais avec ta carcasse puante en classe. Viens Samuel on se casse !
Le grand noir (apparemment Samuel) galoche vigoureusement Émeraude sous mes yeux, puis ils s'en vont contre un mur, un peu plus loin. J'aperçois Samuel baisser sans hésitation son jeans, laissant apparaître un engin au moins 2 fois plus épais et plus long que le mien. Émeraude baisse le sien également et Samuel se met à niquer tel un marteau piqueur ma bien aimée, qui se met à hurler de plaisir. Une fois leur baise terminée j'aperçois que Samuel n'avais pas de capote et a donc craché dedans. Les deux remontent leurs jeans et Émeraude semble dans les étoiles. Elle marche en canard à présent.
Je me cache, espérant qu'ils ne voient pas que je les ai observés. Je me cantonne à un autre endroit que la maisonnette pour ne pas être retrouvé et je commence à pleurer...
C'ÉTAIT ÉCRIT DANS LE TITRE QUE C'EST UN RÊVE DE SOUS-HOMME ET RIEN D'AUTRE. VOUS CROYIEZ VRAIMENT QU'UN CÉLESTIN POUVAIT BAISER UNE BELLE FILLE ? VOUS POUVEZ RÊVER TANT QUE VOUS VOULEZ, VOUS SAVEZ QU'AU MIEUX LA FILLE DE VOS RÊVES TROUVERA UN MARI PLUS BEAU ET MEILLEUR DANS TOUS LES DOMAINES QUE VOUS, ET QU'AU PIRE ELLE SE FERA BAISER PAR TOUS LES GARS DE QUARTIER CONTRE DES MURS ET DES VOITURES
Le 25 juillet 2021 à 16:02:24 :
bh sort
merci pour le up. Si il n'y a pas d'autres réponses je vais essayer
Bon, en gros je prépare un très gros topic d'aventure avec des énigmes très longues, des cartes, un beau scénario etc
Je viens de terminer les énigmes et le fil rouge de l'aventure. Maintenant il me reste les cartes à réaliser, le texte du topic et sûrement des corrections. Pour les cartes j'ai déjà le fond, mais je déteste créer des cartes. Je sais pas comment sortir de ma flemmardise et m'y mettre une fois pour toutes