Le 18 février 2024 à 19:58:32 :
Les mathématiques sont fondées sur la logique, champ appartenant à la philosophiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/25/1/1624307173-img-20210621-222603.jpg La physique moderne est mathématisée, donc reposant sur la logique, donc reposant sur la philosophie
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/25/1/1624307173-img-20210621-222603.jpg Pas de philosophie = pas de forum JVC (informatique fondée sur la logique propositionnelle) = pas vos posts de merde (en ce qui concerne les scientistes)
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/25/1/1624307173-img-20210621-222603.jpg
La logique appartient aux maths, ce sont des algèbres particulières.
D'ailleurs la syntaxe des langages humain est donnée par ses monoïdes syntaxiques et sa sémantique par une théorie des types, cela faisant partie des mathématiques.
Le 18 février 2024 à 19:24:38 :
De l'ADN Néanderthalien composant de 1 à 4% de l'ADN des Hommes modernes, au registre fossile indiquant un arbre phylogénétique particulièrement touffu ; (Homo rudolfensis, habilis, antecessor, naledi, ergaster, floresiensis, erectus, denisova, heidelbergensis, rhodesiensis etc.)
Il faut préciser : l'ADN de Néandertal se retrouve jusqu'à 2% chez les populations européennes et jusqu'à 4% chez les populations d'Asie de l'est (auxquelles il faut ajouter l'ADN de Denisova). Aucune trace de Néandertal chez les populations d'origine africaine. En revanche, on trouve chez eux jusqu'à 19% d'ADN d'un ancêtre inconnu qu'on ne retrouve pas chez les autres populations.
Exact pour les populations africaines.
Nous disposons de fossiles d'intérêts, par exemple Proailurus vieux de voici 40 millions d’années (c'est le fossile de félidés le plus ancien), ou encore Pseudaelurus qui vivait il y a 9 à 20 millions d’années en Europe et en Asie.
Enfin, le célèbre tigre à dents de sabres (ou Smilodon) qui disparu il y a de ça ~ 10000 ans.
L'ADN mitochondrial des félidés actuels permettent jusqu'à la reconstruction de leur évolution biogéographique, et concorde parfaitement avec les archives fossiles.
L'évolution des hominidés est en revanche extrêmement bien documenté.
De l'ADN Néanderthalien composant de 1 à 4% de l'ADN des Hommes modernes, au registre fossile indiquant un arbre phylogénétique particulièrement touffu ; (Homo rudolfensis, habilis, antecessor, naledi, ergaster, floresiensis, erectus, denisova, heidelbergensis, rhodesiensis etc.)
Du reste, la paléoparasitologie permet de reconstituer, à travers l'analyse génétique des différentes variétés d'un même agent parasite des hommes, les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; l'analyse génétique de différents haplogroupes humains dans diverses localisations permet de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; les données archéologiques permettent de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; ces différentes reconstitutions indépendantes donnent des résultats très proches les uns des autres.
Le 18 février 2024 à 17:44:31 :
Le 18 février 2024 à 17:27:57 :
Le 18 février 2024 à 17:24:31 :
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Sauf que la case "espèce" n'existe pas dans le monde réel, c'est des cases que nous avons artificiellement créées afin de faciliter l'étude du vivant.
Ton père n'est pas toi, pourtant tu descends de lui.
Tu es complètement hors sujet.
C'est donc ce que je disais plus haut
De même qu'aujourd'hui on dit que ni les hommes ni les femmes existent vraiment et que se sont des créations artificielles, on est contraint comme tu le fais de nier que les espèce existent. Les espèces deviennent des créations artificielles qui n'ont pas véritablement d'existence.
Et pour mon père nous partageons la même espèce mais non la même individualité. Mon père est mon père et moi je suis moi. Au cas où, il y a une légère différence entre "l'espèce" et "l'individualité"; cette dernière faisant partie de telle ou telle espèce en vertu de sa nature propre.
Et encore une fois, les vérités métaphysiques priment sur tout le reste. Il suffit d'affirmer que "l'être est ce qu'il est et n'est pas ce qu'il n'est pas" ou que "l'être ne peut pas devenir autre que ce qu'il est" pour démontrer de facto que la "théorie de l'évolution" est une impossibilité pure et simple.
Les vérités métaphysiques conditionnent toutes réalités, y compris les organisme vivants qu'étudie la biologie. Et l'on voit combien les autres sciences, dans une civilisation ignorante de la métaphysique, ne tardent guère à dégénérer pour aboutir à des théories qui sont le fruit de l'imagination de tel ou tel individu dans un esprit de réaction aux sagesses anciennes.
Nous n'avons pas nié que le concept d'espèce était artificiel puisque nous l'avons justement créé tel quel.
Les espèces représentent également un groupe d'individus ayant une individualité propre, t'es sûr de saisir ce que tu racontes? Personne n'a jamais nié le principe d'identité.
Les vérités logiques priment sur le reste.
C'est cool tout ça mais tu pourrais expliquer comment les rétrovirus endogènes corroborent l'hypothèse de descendance commune si l'évolution est impossible?
Le 18 février 2024 à 17:24:31 :
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Sauf que la case "espèce" n'existe pas dans le monde réel, c'est des cases que nous avons artificiellement créées afin de faciliter l'étude du vivant.
Ton père n'est pas toi, pourtant tu descends de lui (vous faites tous les deux partie du genre homo).
Tu es complètement hors sujet.
Le 18 février 2024 à 17:20:40 :
C'est une espece extra terrestre qui nous amener ici sachant que la terre pouvait acceuillir la vie,les premiers introduit par cette espece furent les dinausores mais apres 1 millions d'années qu'en cette espece est revenue ,aucune évolution n'avait été diagnostiquer alors ils firent un reset sans nom,disparition des dinosaures,ils sont revenues quelques millions d'années plus tard pour y introduire les especes presentes aujourd'hui et quand ils reviendront ils verront que nous avons évoluer et qui sait ce qu'il ce passera....https://image.noelshack.com/fichiers/2023/06/2/1675781575-vlp1.png
Le registre fossile est suffisant pour écarter l'hypothèse extraterrestre, dans le meilleur des cas il y a la panspermie, sauf que rien ne nous pousse à faire des hypothèses coûteuses.
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Les créationnistes devront également expliquer pourquoi :
- chez le criquet africain, les cellules nerveuses commencent dans l'abdomen mais se connectent à l'aile. Cela conduit à une utilisation inutile de matériaux.
- des dispositifs de reproduction complexes chez les orchidées, apparemment construits à partir de composants ayant généralement différentes fonctions chez d'autres fleurs.
- l'utilisation par les pandas de leurs ossaux sesamoïdes radiaux d'une manière similaire à la façon dont les autres créatures utilisent des pouces.
- l'existence d'ailes inaptes au vol chez certaines espèces d'oiseaux (ex : Autruche).
- la voie du nerf laryngé récurrent est telle qu'elle se déplace du cerveau vers le larynx en bouclant autour de l'arc aortique. Cette même configuration existe pour de nombreux animaux; Dans le cas de la girafe, il en résulte environ 6 mètres de nerf supplémentaire.
- la perte de la vision tétrachromatique chez les mammifères par rapport à d'autres tétrapodes.
- l'enzyme RuBisCO a été décrite comme une enzyme "notoirement inefficace" car elle est inhibée par l'oxygène, a un chiffre d'affaires très lent et n'est pas saturée aux niveaux actuels de dioxyde de carbone de l'atmosphère. L'enzyme est inhibée car elle ne peut distinguer le dioxyde de carbone de l'oxygène moléculaire, l'oxygène agissant comme un inhibiteur de l'enzyme compétitive. Cependant, RuBisCO reste l'enzyme clé dans la fixation du carbone, et les plantes surmontent leur activité médiocre en enlevant des quantités massives de cette enzyme au sein de leurs cellules, ce qui en fait la protéine la plus abondante sur Terre.
- l'enzyme nitrogénase se lie préférentiellement avec l'acétylène plutôt que l'azote, bien qu'elle soit l'enzyme clé utilisée dans la fixation de l'azote chez de nombreuses archées et bactéries.
- les os robustes mais lourds, non-adaptés pour le vol, se retrouvent chez des animaux volants comme les chauves-souris. Ou à l'inverse, des os instables, légers et creux, adaptés au vol, se retrouvent chez des oiseaux comme les manchots et les autruches, qui ne peuvent pas voler.
- plusieurs parties du corps sont vestigiales, comme le fémur et le bassin chez les baleines (indiquant que l'ancêtre des baleines vivait sur terre).
- le genre Turritopsis Dohrnii et Hydra possèdent une immortalité biologique, que la plupart des animaux ne possèdent pas.
- de nombreuses espèces ont de forts instincts, et réagissent en réponse à certains stimulus. La sélection naturelle peut laisser les animaux se comporter de manière préjudiciable (faux positif) lorsqu'ils rencontrent un stimulus "surnaturel" (détection d'agent).
- les plantes sont vertes et non noires, car la chlorophylle absorbe peu la lumière verte, bien que les plantes noires absorbent plus d'énergie lumineuse.
- les baleines et les dauphins respirent l'air, mais vivent dans l'eau, ce qui signifie qu'ils doivent nager souvent en surface pour respirer.
Le 18 février 2024 à 17:06:52 :
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?Déjà c'est débile de dire "l'homme et le singe" sachant qu'on est une espèce de singe
This
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?
L'Homme est devenu bipède
Le 18 février 2024 à 16:58:21 :
Absolument personne ne prend les créationnistes au sérieux en big 2k24.
En tout cas aucun creationniste n'a commenté ce topic, pourtant il y en a sur ce forum
Par ailleurs, Il existe des modèles mathématiques (tels que les ensembles collectivement auto-catalytique de Kauffman), et diverses simulations nous aidant toujours davantage à comprendre la potentielle origine abiotique du vivant.
Des simulations ont déjà été faites, et les résultats sont a priori concluant, l'évolution du code génétique par exemple : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/752134/
La littérature scientifique comportant des cas de mutations produisant de nouvelles fonctionnalités est pourtant abondante :
La capacité d'une bactérie à digérer du nylon -> https://en.m.wikipedia.org/wiki/Nylon-eating_bacteria_and_creationism
Adaptation de la levure à un environnement à faible gradient de phosphate -> http://www.genetics.org/content/79/4/661.short
La capacité d'E. coli à hydrolyser le galactosylarabinose -> https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4684-4844-3_6
Évolution de la multicellularité chez une algue verte unicellulaire -> https://link.springer.com/article/10.1023%2FA%3A1006527528063?LI=true
Modification de la voie du fucose d'E. Coli pour métaboliser le propanediol -> https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4684-4844-3_5
Évolution d'une nouvelle voie métabolique pour le métabolisme des sucres 5-carbone chez la bactérie Klebsiella -> http://jb.asm.org/content/179/19/6014.short
Il existe d'autres éléments de preuve que des mutations produisent d'autres nouvelles protéines:
Les protéines dans la voie de la biosynthèse de l'histidine se composent de barils bêta / alpha avec un double motif de répétition. Celles-ci ont apparemment évolué à partir de la duplication et de la fusion des gènes d'un ancêtre à demi baril -> http://science.sciencemag.org/content/289/5484/1546
Les expériences d'évolution dirigée indiquent que l'évolution d'une nouvelle fonction commence souvent par des mutations qui n'ont que peu d'effet sur la fonction d'origine d'un gène mais un effet important sur une seconde fonction. La duplication et la divergence des gènes peuvent ensuite permettre de raffiner la nouvelle fonction
Pour que l'évolution fonctionne, la source de variation n'a pas d'importance; Tout ce qui compte, c'est que la variation héréditaire se produise. Une telle variation est démontrée par le fait que l'élevage sélectif a produit de nouvelles caractéristiques chez de nombreuses espèces, y compris les chats, les chiens, les pigeons, les poissons rouges, les choux et les géraniums. Certaines des fonctionnalités ont peut-être été préexistantes au sein de la population d'origine, mais pas toutes.
Tous ces domaines pourtant éloignés amènent à la même conclusion "l'hypothèse de descendance commune".
On appelle ça "consilience", on ne peut pas vraiment faire mieux en science.
Il reste pourtant plein de points à discuter :
Les structures homologues, les organes vertigiaux, la synténie des génomes, l'ordre des gènes, la séquence de la position Wobble, la séquence des introns, les pseudogènes, les rétrovirus, les transposons, les chromosomes 2 et 24 homo sapiens/pan troglodytes, les mutations, les horloges moléculaires, l'endosymbiose, l'ADN Néandertalien, les nouveaux gènes, la micro-macro-évolution, les nouvelles structures, la biogéographie, la sélection naturelle, la variation, la stratigraphie, l'ordre des fossiles, les fossiles transitionnels, la dendrochronologie, les carottes de glaces, les varves (couches sédimentaires fraîches), les couches coralliennes etc.
La probabilité qu'une séquence rétrovirale se fixe, indépendamment de la descendance héréditaire, sur le même locus qu'une espèce lui étant à priori apparenté, est de l'ordre d'une chance sur 3.10^9, pour une dizaine de séquences rétrovirales, le chiffre est excessivement improbable.
La seule explication pertinente est donc l'hypothèse de descendance commune.
Quelques références :
http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs00705-006-0792-1
Pour les croyants du mythe d'Adam et Eve :
La consanguinité (dans ce cas) induit une homozygotie généralisée, donc une perte de diversité/variabilité génétique (forte homogénéité de la population) qui a pour conséquence d'induire un bottleneck génétique, donc une extinction massive à la moindre maladie génétique s'immisçant au sein de la population + une augmentation statistique du risque de maladie (transmission autosomique récessive).
Le 18 février 2024 à 16:23:31 :
Le 18 février 2024 à 16:20:37 :
Pour commencer, une théorie scientifique est le degré de certitude le plus haut en science, c'est un corpus de connaissances et d'hypothèses dont les prédictions sont validées par l'expérience.
Tu tues ton propos topic ici
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/48/4/1638476474-1552021889-sadness.png L'hypothèse de descendance commune est pourtant validée par l'expérience
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
Pour rappel :
- Il existe une très large variété d'organismes nous ayant précédé sur cette planète, et la majorité n'est pas similaire aux espèces actuellement connues
- En revanche, la taxinomie permet de classifier ces organismes de façon cohérente, construisant des hiérarchies imbriquées de classes phylogénétiques, intégrant de façon cohérente dans le temps, l'espace et les caractères, organismes vivants comme organismes fossiles
- La paléontologie établit le profil spatiotemporel de populations fossiles et fait ressortir régulièrement de nouveaux types fossiles, s'intégrant chaque fois dans l'arbre phylogénétique (on parlera plutôt, de nos jours du réseau phylogénétique constitué par la présence de transferts horizontaux, et dont l'arbre n'est qu'un aspect marquant l'hérédité)
- L'analyse génétique et les phylogénies moléculaires reproduisent, indépendamment du phénotype, ces hiérarchies, avec une précision allant jusqu'au locus et à la paire de bases
- Les modifications génétiques partagées au sein d'un même taxon correspondent à une modification du phénotype en rapport avec l'apparition de ce phénotype dans le registre fossile
- Le croisement de l'ensemble des disciplines et modèles modernes associés impliqués dans l'histoire du vivant permet de prédire l'existence, l'emplacement et les modifications morphologiques attendues d'une forme transitionnelle fossile exigée par la théorie. On trouve maintenant régulièrement de tels fossiles d'intérêt.
- L'hypothèse de descendance commune, associée à notre compréhension fine de la biologie, explique ces observations à travers la transmission héréditaire permise par la reproduction des organismes. Elle n'explique pas seulement ces observations ; elles les exige.
Mendel, avec ses petits pois, a observé un pattern manifestement mathématique, mais dont il peinait à percevoir la nature. Il a construit un modèle mathématique, exploitant une hypothèse qui avait récemment été émise dans le cadre de la reproduction sexuée : le support de l'hérédité est fourni par moitié par chaque parent, et, d'une façon ou d'une autre, l'expression d'un caractère vient d'une paire de facteurs biologiques de l'hérédité. Cette hypothèse faisait apparaitre, indépendamment de la connaissance du mécanisme réel, les traces observables de son action et des modes de cette action. Envisager que des caractères faciles à étudier puissent voir leur expression dépendre de leur traduction, dominante ou récessive, au sein d'une paire de facteurs biologiques héréditaires était une idée audacieuse, et le test de cette idée était ingénieux. Le modèle mathématique associé reproduisait avec une remarquable stabilité statistique les effets réels de l'hérédité.
Nous observons, quelle que soit l'approche de test et son échelle, le pattern statistiquement attendu dans le cadre de l'hypothèse de descendance commune.