J’y ai pensé à cet ending ce matin.
Aucune, je dis bien aucune pièce audiovisuelle ne va aussi directement au coeur de mon âme si ce n’est celle-là, sache le l’op.
Je le trouvais bizarre cet ending quand j’étais gamin, je l’aimais pas spécialement.
Quand tu grandis, que tu comprends les paroles et la profondeur de la souffrance de Naruto bordel
C’est une leçon cette merde. Une leçon de vie.
Je suis sûr que mentir à l’humanité toute entière et à des millions de scientifiques et archéologues en leur racontant que la terre était peuplée de lézards géants est un complot absolument rentable et qui prend évidemment le chemin de la facilité pour être totalement crédible même en l’absence de preuves qui seraient concrètes et non falsifiées comme tu le suggères
Complot extrêmement utile et pas du tout impossible à mettre en place avec les technologies actuelles
A la limite dis moi que c’étaient les animaux de compagnie des géants entièrement et rapidement bio-degradables.
Récemment je me suis mis à l’écriture pour compenser le fait que je fais des études où je n’écris quasiment plus.
Un avis pertinent de khey sur la qualité du produit ?
Hésitez pas à donner des critiques abruptes, si estamos aqui es para eso
J’ai pas encore fait la partie correction orthographique mais ça devrait être assez juste déjà.
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Il y parvinrent. Le grand bâtiment, tout fait de métal, de tôle et de belle pierre taillée, trônait fièrement au cœur de la ville. Courant leur danse quotidienne, les tissus roses et gris grouillaient sur les pavés de la gare, inquiets de leurs responsabilités, portant la vie et ses aléas comme un sac trop lourd. L’un galopait pour subvenir, l’autre boitait pour persister.
Chacun vivait. Ils se jetaient des regards de surface, cachant qui ils étaient, comme on cache une bague à sa fiancée - tous aspiraient au paisible et à l’amour, mais personne ne pouvait l’assumer dans un tel monde. Les roublards lorgnant les belles dames l’avaient bien compris. Leur dents noircies par le tabac et leurs molards jaunâtres amenaient encore de couleurs au tableau vibrant d’une ville mauve, pas tout à fait mauvaise mais certainement pas bonne. La vie était dure. A vrai dire, sans les récentes opportunités que l’humanité avait su se faire, ce jeu perfide imposé au vivant aurait continué à être un bagne abject où la mort régnait en despote, un despote dont vous redoutiez l’appel, mais avec qui la réunion serait inévitable, et insoutenable lorsque vous l’observeriez du lointain convoquer un ami.
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Liam se décida à agir.
Il agrippa d’une poigne de fer une planche adossée contre un mur en pierre grise, et de toutes ses forces vint l’asséner à l’arrière du crâne du marin, qui tituba vers l’avant, sonné mais toujours bien conscient.
- Qu’est-ce-que…? Toi… Toi… t’auras pas le temps de regretter que…
le marin explosa de rage dans un cri primal, et se lança de tout son poids dans la direction de Liam, qui pendant une seconde ne put s'empêcher de paniquer un peu.
Et comme on l’en avait prévenu, il sentit l’adrénaline monter. Et comme il s’y attendait, ses sens se précisèrent suffisamment pour lui faire économiser les précieuses micro-secondes nécessaires à une prise de décision sous pression.
Il se jeta corps et âme dans les guiboles lourdes et charnues du marin dont la mer n’avait pas quitté la peau, tant elle suait l’éthanol. Le jeune garçon sentit une énergie à l’explosivité démente déguerpir de ses membres inférieurs. Son coeur s'emballa quelques secondes, avant d’attenir au rythme de la ville - un étrange calme, agréablement froid, mais battant et vivant de sa musique décontractée ; il ne paniquait plus, pas même lorsque sa petite carrure percuta la plus grosse, et qu’il envoya valser le bonhomme par dessus lui dans un carambolage des rotules.
La grosse masse de muscle et de graisse s’écrasa au sol non sans mal. On entendit un grognement rustre pointer du lieu d’impact, et le boudin humain qui se débattait sur les pavés avait l’air tout aussi surpris que le gringalet qui venait de l’envoyer valdinguer par-dessus bord.
- Eh ben ! joli coup ! sourit la jeune fille, visiblement étonnée de la galipette gracieuse du garçon qui, à première vue, n’avait aucune chance de mesurer la confrontation. Et pourtant.
Le pleutre bœuf transpirant se releva en luttant contre son propre poids et meugla quelques insanités avant de poser un regard hargneux sur le garçon, qui se tenait droit et fier face à un ennemi de presque deux fois sa stature.
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un monde qu’on aurait connu croulant sous un poid rond, pesante cyclicité du cadran, phénomène de toujours immobilisé en un instant, un instant qui mettait fin au grouillant des voix rauques et des mains empoignées sonnant bracelles. Tout cessa, aussi bien la danse du colibri que le poumon du veau, l'œil agité du garçon des champs comme le muscle saillant et nervuré de la bête d’écurie. Le silence éprouvant, une neutralité impossible, une absence de tout dans un moment de désolation où plus rien n’avait d’être, ni de sens. Un moment de vie qui n’existerait jamais, et où personne n’existait non plus. La pureté divine d’un rien à la forme de tout, éternelle marche statique d’une matière inaltérable. Alec se surprit à penser, puis à bouger, puis à courir. Tout autour de lui demeurait gris et mort. Non ; ni mort, ni vivant. Une poche d’impossibilité quantique. Un non-sens. La matière ne pouvait exister sans le temps, et inversement ; Il lui semblait pourtant que c’était le cas.
Le temps s’était arrêté.
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La sueur anxieuse coula sur la poignée de son épée, pressée au cœur d'une main calleuse par des doigts rustres assumant les traumatismes du passé.
avec une grâce silencieuse, Alec leva son bras, pointe d'épée vers l'avant, une étincelle de détermination dans l'oeil que son ennemi ne pouvait évidemment pas percevoir au travers du masque, mais qu'il pouvait ressentir tant le garçon était en contrôle de son mouvement et de son corps malgré la pression grimpante.
La moue du noble se transforma en grimace intimidante, dévoilant la perversité d'un visage inhumain, tandis qu'Alec mesurait sa respiration pour pallier à la rage que l'existence de cet homme suscitait en lui.
Les battements de cœur s'intensifièrent à l'unisson, dans une danse immobile qui jouerait de sa fatale musique, emportant à son issue la vie d'un des deux hommes. Et ils le savaient pertinament, une lutte primale, un combat simien pour la survie, et en même temps tellement plus ; d'un côté la volonté gourmande d'un pouvoir divin, de l'autre la certitude que les torts de ce monde devraient être solvés par le meurtre et l'évincement des responsables, au nom de leurs victimes. Ainsi, le premier mouvement brisa une glace qui fondait depuis quelques minutes déjà.
Alec s'élança vers l'avant, le bras droit armé, porté par dessus son épaule opposée en vue d'une taillade de gauche à droite ;
Son ennemi, voyant aisément la faille dans cette attaque, fit un bond en arrière avant de dégainer son arme à distance et d'en pointer le canon sur celui qui le chargeait.
Juste avant la pression de la détente, Alec abaissa son corps au plus proche du sol, lançant son arme de tout son soûl pour créer un arc-de-cercle, apportant un élan suffisant à son corps et lui permettant de balayer les jambes de son ennemi dans un pareil geste de rotation du bassin. Cette attaque était en général imprévisible, le souci étant que si elle échouait, son employeur se retrouvait au sol, à la merci de l’adversaire. Heureusement, personne n'avait la capacité de l'éviter sans la connaître préalablement.
Le vicieux noble se retrouva face contre terre, bien embêté par l'assassin qui s'était relevé et le toisait maintenant d'un œil sombre et statique.
"Prête moi tes ultimes paroles" demanda Alec à sa victime, comme à son habitude.
Après quelques secondes à réfléchir, recroquevillé au sol en position foetale, dos à son ennemi, le vaincu parvint à donner une réponse :
" Mes derniers mots... je les donnerai à ton cadavre !" éructa-t-il d'une voix colérique, dévoilant une orbe métallique qu'il lança quelques mètres derrière Alec. Avant que le vengeur ne puisse réagir complètement, celle-ci explosa, le propulsant vers l'avant, la tête la première dans la cheminée, sur laquelle était heureusement posée une statue de bronze à l'effigie d'une baleine.
Le noble fut lui aussi carapaté vers le foyer de la cheminée, tâchant sa tunique blanche de poussières charbonneuses.
Il finit par se reprendre, regarda autour de lui, et fut choqué de se rendre compte que son ennemi avait disparu.
Avait-il fui ? “Ais-je réussi à le vaincre ?” se demanda-t-il, à moitié sous le choc mais heureux d'être en vie.
Il se dégagea du puit de poussière pour tituber drôlement dans la pièce. Il vérifia les fenêtres, toutes brisées, mais ne vit rien par delà les toits.
Il retourna vers le lieu du combat pour essayer de retrouver une broche qu'il avait perdue dans la lutte, une broche qui lui tenait à coeur étant le seul souvenir qui lui restait de son frère ; frère qu'il avait dû faire éliminer secrètement car ses vues auraient empêchées une gouvernance que le Duc estimait nécessaire.
C'est là qu'il entendit la vibration. Dans son dos, un bruit métallique ondulait, comme si un tremblement de terre avait lieu. Le temps de comprendre d'où il venait et de tourner la tête, le Duc put à peine percevoir la statue de la baleine ; la sculpture explosa en milles morceaux, révélant une ombre informe qui prit en un instant un contour familier, suscitant terreur et cauchemar dans le cœur du noble, qui n'allait rien pouvoir faire à temps. Et il ne fit rien, lorsque la lame d'acier noir pénétra sa trachée de droite à gauche, avant d'être retirée, projettant une ligne de sang rouge boeuf sur le mur adjacent. Un coup de pied, d'une force qu'aucun homme n'aurait pu posséder, l'envoya valser au milieu de la pièce alors qu'il étouffait sous les flots rouges de sa propre propre sève , investissant sa trachée, comme si ses vices tant assumés avaient finis par le noyer. Ventre contre sol, l'homme, dans ses derniers instants, entendit les bottes de son assassin cogner contre le parquet noirci par l'explosion. Elles pénétrèrent dans son champ de vision, comme les mots du tueur pénétrèrent dans son esprit fugitif "Tes amis et toi mènerez votre danse au cœur du vide pour l'éternité, alors que le monde sera libre de vos vices." Le noble voulut répondre, mais une gerbe de sang jaillit à la place de ses mots. Dans ses dernières secondes, le regard emplit de haine, il poussa un grognement de rage qui se mua en un soupir de peur. La peur d'une mort inévitable. Quelques secondes plus tard, le regard de l'homme était vidé de toute essence et de toute étincelle, il n'en restait qu'une coquille pâle, gisant dans une piscine de rouge. Alec lui jeta un dernier coup d'œil, avant de retirer son masque et de cracher parjurement sur le visage de l'homme qu'il venait d'abattre. Il prit appui sur le cadre d'une fenêtre brisée pour s'élancer hors du bâtiment, laissant derrière lui le corps transpercé de l'homme qui lui avait tant pris, sans même le savoir, et qui aujourd'hui ne prendrait plus rien à personne.
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Merci à ceux qui readeront ça les khey
J'ai eu 18 en filière L, ma technique était assez instinctive, mais je vais essayer d'expliquer.
Au lieu d'apprendre 5 philosophes par thème, t'en choisis que quelques uns et tu regardes sur quels thèmes ils ont donné leur avis. Par exemple, si t'as Hegel qui se range dans une lignée Platonicienne sur un sujet, t'as déjà Platon + Hegel à citer, et ensuite où est-ce que ton cours réutilise Hegel ? sur la nature, dirons nous, parce-qu'évidemment t'as lu ton cours. Le but est de te créer une carte mentale et de grands philosophes "repères" qui ont eu des travaux "valises".
A partir de ça, prend l'habitude de te poser TES propres questions et d'aller ensuite voir ce que d'autres philosophes ont dits pour enrichir ta vision du sujet. Avec internet t'es servi.
L'important est d'ouvrir tes champs et de définir tes termes pour en éloigner un sens, passe entre 45m et 1h30 sur ton brouillon.
Avant de faire ta problématique, essaie de construire un argumentaire en 3 parties.
d'abord, la DOXA --> Qu'est-ce qu'il me vient le plus naturellement, quel serait le point de vue "actif" ou communément admis ? Quels philosophes se rangeraient dans cette vision là, quels philosophes pourraient nuancer ce propos ? Par exemple, tu pourrais opposer Rousseau à Beaudelaire : tu sais que pour Rousseau la nature = bon, et tu sais que pour Baudelaire la nature = abominable. Rien que là t'as une thèse en partie 1 et une antithèse en partie 2. Devient fort en paraphrase pour faire croire que tu connais ces auteurs. Au lycée, la philosophie c'est surtout du SHOW OFF. A toi de venir conjecturer un propos en partie 3, du genre : l'homme se définit en société car c'est un animal politique, c'est en société qu'il vient à définir le bien et le mal, à dépasser le rapport primaire de plaisir / douleur et à penser mieux. Sans l'enseignement social, l'homme n'est pas accompli et son progrès est primal, et donc réducteur par rapport à ses capacités naturelles. Là où on peut trouver une beauté simple dans le primitif, c'est une beauté qu'on apprécie depuis le sociétal, qui lui nous éduque à la compréhension d'autrui et à l'empathie ( circonvenue chez les païens sacrificateurs, les société primitives ), ce qui pose problème est l'indiscipline face aux vices innés que la société ne gère pas suffisamment bien, et parfois finit par excuser ou justifier par des prétextes prétentieusement nobles, hors il n'en est rien. Envahir une nation faible n'est pas le fait de l'anoblissement de la nature humaine ou l'amélioration de l'humanité et de sa bonté, c'est le fait d'ambitions primales de domination. Si la société crée la morale, elle a aussi le défaut de justifier le vice ; à l'image de l'homme, cette société peut être bonne ou mauvaise selon ce qu'elle enseigne et ce qu'elle permet. Le bien est un équilibre qui nécessite des sacrifices pour être maintenu.
Faut pas essayer de penser en étau mais en arbre, toute idée en anime une autre et tu fais le tri ; sur les branches viennent se coller des exemples et des citations, des auteurs, ce que tu veux. L'idée est de te créer un bagage souple et intelligent que tu pourras réutiliser dans le plus de situations et de sujets possibles. Le but n'est pas d'avoir raison, mais d'animer un combat d'idée, montre à ce correcteur que tu cogites et que tu penses hors des carcans.
Le 26 avril 2022 à 17:25:14 :
Le 26 avril 2022 à 17:22:27 :
Aya pendant ce temps là un enseignants-chercheurs doctorant en maths gagne 2k5
Soit 500€ de moins qu'une assistante de médecins
Qui sont je rappelle juste des techniciens de l'humainBa l’une sert à quelque chose , l’autre à rien, ça me paraît équitable
Si on servait les salaires en terme d’utilité kheyou…
Le 26 avril 2022 à 13:52:51 :
Le 26 avril 2022 à 13:51:22 OG_Blackburt a écrit :
Le 26 avril 2022 à 13:47:34 :
Le 26 avril 2022 à 13:43:47 :
Ayaaaaa ce fou furieuxIl l'as sûrement bz après bordel quel chad
Il l'a embrassé de force dans les loges après
M'enfin, rien d'étonnant venant d'un type qui baise une grand-mère pendant l'enterrement de sa mère
Abuse pas, il a juste sortie sa queue en total erezione , l’a mise dans la bouche de la septuagénaire et a tout lâché comme un animal. Ça reste une forme de viol, mais il l’a pas non plus prise en doggy.
Reste qu’il est ravagé.ah ben ça va du coup
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/33/7/1629648057-seum.png
Alonzy quoi
Le 26 avril 2022 à 13:47:34 :
Le 26 avril 2022 à 13:43:47 :
Ayaaaaa ce fou furieuxIl l'as sûrement bz après bordel quel chad
Il l'a embrassé de force dans les loges après
M'enfin, rien d'étonnant venant d'un type qui baise une grand-mère pendant l'enterrement de sa mère
Abuse pas, il a juste sortie sa queue en total erezione , l’a mise dans la bouche de la septuagénaire et a tout lâché comme un animal. Ça reste une forme de viol, mais il l’a pas non plus prise en doggy.
Reste qu’il est ravagé.
Tu mélanges toutes les théories de l'effondrement, y'a de la route à faire avant d'en arriver là khey
Pour l'instant, le grand capital s'arrange avec Klaus Schwab pour qu'on puisse plus lui porter préjudice en cultivant quelconque forme de vie privée et indépendante. Ils vont mettre fin à l'anonymat sur internet, sortir un passeport digital citoyen et petit à petit te contraindre à une vie marginale si tu suis pas leurs délires. T'es dans la merde, tout ça c'est pas des conneries. Même la puce arrive, et à grands pas. Tout pour marchander ton identité. C'est une catastrophe.
Klaus Schwab c'est qui ?
Premièrement, il faut dire ce qui est, c'est un vieillard aux attraits mégalomaniaque qui se pense commanditaire d'une société Européenne nouvelle. Dans son livre Covid 19 : The Great Reset, il exprime sa vision technocratique d'un monde post-covid où nos vies seront précisément altérées et calibrées pour faire face aux enjeux de demain. Pass écologique, protéines animales remplacées par des insectes pour limiter l'élevage, meilleur contrôle des informations du citoyen, suivi médical rigoureux et systématique, une société où l’État fera contrôle sur tout ce qui existe, pour éviter le crime, la pollution, la maladie, la mort, l'injustice, et où les citoyens seront forcés à travailler aux horaires donnés par l’État et ne pourront se procurer de logements qu'en faisant location auprès de celui-ci ( abolition de la propriété privé progressive ) - tout ça pour garantir un monde "BIEN" qui corresponde à la vision d'une poignée d'élus de l'oligarchie. A noter, ce qu'il dit dans ce livre est totalement publique, alors allez simplement imaginer ce à quoi il aspire réellement quand il est seul avec lui-même.
On pourrait penser que c'est une vision louable ( si l'on manquait d'imagination. )
Sauf que, ce que Schwab ne dit pas, c'est que ce monde de demain, seulement le peuple en subira les contraintes. On l'a vu avec la crise Covid : pendant que les jeunes augmentent leurs pensées suicidaires de 300%, se vaccinent sans raison par chantage anti-démocratique, se masquent dans les rues et perdent leurs vies sociales, pendant que les petits commercent meurent, Macron organise des soirées à 150 sans aucun geste barrière et les boursiers font 30% de bénéfice sur tout le marché de Wall Street. Le message est clair.
A noter que Klaus Schwab est un pilier extrêmement influent. Tu remarqueras aussi son programme qui lui donne toute sa pertinence, les Young Leaders : https://french-american.org/programmes/young-leaders/
C'est une organisation qui joint et rejoint des éléments prometteurs choisis du monde entier pour amener une vision précise dans les pays où ils se déploient. De nombreux éléments Chinois se mêlent au programme, notamment parce-que le modèle de surveillance de nos amis en rouge et jaune sera proche de celui que les Européiste du forum comptent mettre en place : https://french-american.org/programmes/young-leaders/
Klaus Schwab voit en la technologie le synonyme de contrôle et de terraformation du système.
Regardez le tous yeux brillants en parlant de sa petite puce citoyenne : &t=156s
Ce n'est pas faute d'avoir ce problème crédibilisé même dans les hautes instances, mais il semblerait y avoir une chape de plomb médiatique autour de tout ça, bizarre
En bref, Klaus est un homme pourrit, corrompu par les pires trojans Américains, qui agit comme un satellite pour instrumentaliser les peuples Européens derrière des enjeux environnementaux et supposément bienveillants - l'objectif final ? Opérer à un emprisonnement inaltérable des peuples sous la coupe d'une oligarchie de tous les droits et impérissable, une élite castrée de son humanité, persuadée d'être supérieure par un eugénisme de classe.
Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l'alibi des tyrans, et il offre de plus l'avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie
- Albert Camus
Voilà pourquoi voter Macron, c'était une grosse connerie.
Qu’est-ce qu’elle est conne,
dire que Tweeter sert majoritairement à ces gens là putain
J’espère que c’est du troll.
Le 25 avril 2022 à 01:11:55 :
Le 25 avril 2022 à 01:10:13 :
Ayaaa mon espoir me dit que tu vas trop loinMon esprit me dit que tout s’aligne avec cohérence
Que faire ?
https://www.attali.com/geopolitique/20222027/
Peut être que le prophète Attali saura te convaincre
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
T’en fais pas, Klaus Schwab m’a fourni en redpills, je suis convaincu de cette transition technocratique, par contre la vision metaverse de l’Op m’a l’air encore éloignée.
Mais sinon je suis d’accord avec tout, donc à part se terrer dans un vieux bunker de la 2nde avec des fusils d’assaut et des conserves on fait quoi concrètement ?
Ayaaa mon espoir me dit que tu vas trop loin
Mon esprit me dit que tout s’aligne avec cohérence
Que faire ?
Construite au 12è siècle. Donc non.
A moins que… des petits filous aient lancé des « rénovations » pour grand remplacer le sol par la suite
Dans les films catastrophe t’as toujours ce gros fils de pute qui par égoïsme cause la mort de personnages meilleurs que lui pour sa propre survie, voir même sa réputation.
Le même qui essaie de se faire passer pour la victime ensuite.
On sait tous comment il meurt ce personnage là.
Comme une merde.