« Tout à coup, j'ai entendu le tumulte de milliers de voix et vu que la foule étendirent à mes pieds [...] avait le dos à l'endroit où, jusque-là, avait concentré son attente et regarder le soleil de l'autre côté. J'ai aussi dirigé vers le point commandant leur regard et je pouvais voir le soleil comme un disque très clair, avec son bord tranchant, qui luisait sans blesser la vue. Il ne pouvait pas être confondu avec le soleil vu à travers un brouillard (il y avait à ce moment-là) parce qu'elle était ni voilée, ni sombre. A Fatima, elle a gardé sa lumière et sa chaleur, et se détachait dans le ciel avec son bord tranchant, comme une grande table de jeu. La chose la plus étonnante est de pouvoir regarder le disque solaire pendant longtemps, brillant avec la lumière et la chaleur, sans blesser les yeux ou d'endommager la rétine.
[Pendant ce temps] le disque du soleil ne sont pas restés immobiles avait un mouvement étourdie, [mais] pas comme un clin d'une étoile dans toute sa gloire, parce qu'il se sur elle-même dans un tourbillon fou. Au cours du phénomène solaire que je viens de décrire, il y avait aussi des changements dans l'atmosphère de couleur. En regardant le soleil, j'ai remarqué que tout était de plus en plus sombre. Je regardais d'abord les objets les plus proches, puis étendu mon regard plus loin à l'horizon. Je voyais tout avait pris une couleur améthyste. Les objets autour de moi, le ciel et l'atmosphère, étaient de la même couleur. Tout à la fois proche et lointain avait changé, en prenant la couleur d'un vieux damas jaune. Il semblait que la souffrance de la jaunisse et je me souviens un sentiment d'amusement à les voir regarder si laid et peu attractif. Ma main était la même couleur. Puis, tout à coup, il entendit une clameur, un cri d'angoisse de tout casser. Le soleil, tournoyer sauvagement, semblait se détacher du firmament et, rouge sang, avancer sur la terre, menaçant comme pour nous écraser avec son poids énorme et de feu. Au cours de ces moments se sentait vraiment terrible. Tous les phénomènes que je viens de décrire par moi ont été observées dans une ambiance calme et sereine, sans aucune perturbation émotionnelle. Et expliquer Interprétez est aux autres. Enfin, je dois déclarer que jamais, avant ou après le 13 Octobre, 1917, j'ai observé les phénomènes atmosphériques similaires ou solaires. »
(José Maria Proença de Almeida Garrett, professeur à la Faculté des sciences naturelles de l'Université de Coimbra[6]
