Le 27 juillet 2024 à 01:24:29 :
Elle doit bien encaisser avec sa mâchoire
Dans le crépuscule d'une journée pluvieuse, au cœur d'une salle de classe austère et froide, résonnait le silence pesant de l'absence. Les murs, imprégnés de l'ombre du soir, semblaient suinter la mélancolie, tandis que les gouttes de pluie s'écrasaient lourdement contre les vitres, comme les larmes d'un ciel en deuil.
Au centre de cette scène désolée, un élève restait figé, seul témoin d'une trame silencieuse. Son voisin, silhouette éthérée et presque spectrale dans la lumière mourante, s'approchait de sa trousse avec une lenteur cérémoniale. Chaque geste était une chorégraphie délicate, empreinte d'une gravité solennelle. Les doigts fins et pâles du voisin, telles des mains de marbre, effleurèrent la fermeture éclair de la trousse, produisant un murmure métallique qui résonna dans l'air glacé.
Les aiguilles de l'horloge, implacables, marquaient le passage inexorable du temps : dix-huit heures. Le claquement sec de la trousse qui se refermait résonna comme un coup de tonnerre dans ce temple de silence. C'était le point final d'une journée, le point final d'une attente. L'acte anodin de refermer une trousse prenait soudain les dimensions d'un drame antique, où chaque détail, chaque mouvement, était chargé de sens et d'émotion.
Dehors, la pluie continuait de tomber avec une persistance morne, comme pour effacer les traces de cette scène, pour laver le monde de son pesant linceul de tristesse. Les lumières des réverbères, vacillantes, projetaient des ombres dansantes sur les murs de la classe, créant un ballet de silhouettes fantomatiques.
Le froid, tel un spectre invisible, s'insinuait sous les portes, dans les fissures, enveloppant chaque chose, chaque être, d'une étreinte glaciale. C'était un froid qui semblait venir des profondeurs du temps, un froid qui pénétrait les os et les âmes, rappelant à tous la fragilité de leur existence.
Dans cette atmosphère saturée de mélancolie et de drame, la trousse fermée devenait un symbole. Un symbole de fin, de clôture, mais aussi d'un espoir latent, celui de l'aube qui suivrait inévitablement la nuit. Car, dans chaque fin réside le germe d'un nouveau commencement, et même dans les salles de classe les plus froides et les jours les plus sombres, la promesse d'une lumière à venir subsiste toujours.
Ainsi, la scène se figeait dans une éternité fragile, une pause dans le tumulte du monde, où le bruit de la fermeture éclair résonnait encore, rappelant aux esprits sensibles la beauté poignante des moments éphémères, et la splendeur cachée dans les gestes les plus simples.
Autre anecdote :
Un soir de printemps à l'Élysée, Jacques Chirac décide d'organiser une soirée privée pour quelques amis proches et dignitaires étrangers. La soirée s'annonce mémorable, entre champagne et conversations animées. Alors que la nuit avance, l'atmosphère devient de plus en plus détendue. C'est alors que Chirac, connu pour son sens de l'humour et sa bonhomie, décide de raconter une anecdote piquante de sa jeunesse.
Il se lève, coupe la musique et attire l'attention de tous. "Mes chers amis," commence-t-il, un sourire malicieux aux lèvres, "je vais vous raconter une histoire qui ne figure dans aucun de mes discours officiels."
Il raconte qu'à l'époque où il était étudiant, il passait ses vacances d'été à la campagne. Un jour, lors d'une fête de village particulièrement arrosée, il rencontre une belle jeune femme du nom de Marguerite. Charmé par sa beauté et son esprit, il décide de l'inviter à une promenade nocturne.
Ils marchent ensemble sous la lumière des étoiles, discutant de tout et de rien, jusqu'à ce qu'ils atteignent un champ isolé. La conversation devient plus intime, et avant qu'il ne s'en rende compte, ils sont allongés dans l'herbe, leurs corps rapprochés.
Soudain, alors qu'ils sont en plein élan, une vache curieuse s'approche d'eux, attirée par le bruit. Dans la panique, Jacques et Marguerite se redressent précipitamment, leurs vêtements en désordre. La vache, indifférente à leur embarras, continue de mâcher tranquillement l'herbe à leurs pieds.
"Et c'est ainsi, mes chers amis," conclut Chirac en riant, "que j'ai appris que l'amour dans les champs n'est pas toujours aussi romantique qu'on l'imagine. Et que les vaches, elles, n'ont aucun sens du timing!"
La salle éclate de rire, applaudissant l'ancienne président pour sa franchise et son humour. C'était une soirée que personne n'oublierait de sitôt, grâce à cette anecdote savoureuse de Jacques Chirac.
Imaginez-vous à côté de moi dans le public de Vivement Dimanche, l'émission de Michel Drucker. Aujourd'hui, Bernard Tapie est invité. Chez Drucker vous voyez, y a des vieux, ça pue la pisse froide et les traces de pneus séchées de pépés incontinents qui se font dessus. Bref une ambiance maison de retraite.
Là, on s'emmerdes un peu. Et là Bernard Tapie sur le canapé rouge de Drucker il commence à tortiller des fesses et pointer son petit cul.
questions, ni vu ni connu, je lâche un grand rire : sans m'arrêter je vais sur le canapé rouge. Et je commence à caresser les cheveux de Bernard et je lui crie :
" vas-y pète fils de flûte !".
Il répond :
"comment ?"
"Pète ta mère la chienne !"
insiste-je.
Je continue de caresser ses cheveux et je glisse mes mains dans son entre-cuisses, je lui boulotte quelques poils de cul.
Et là t'as Drucker qui se ramène :
"m'enfin Monsieuuuuur ?" ;
je lui dis :
"viens"
à Drucker,
"viens voir, tu vois ça ?".
"Ça c'est du sexagénaire d'expérience, viens renifler le pet, renifle le cul"
je lui dis en lui foutant la tête en plein dedans pour que cette senteur aux épices lui caresse les cavités nasales :
"Tu sais ce qu'il lui manque à ton canapé ? Tu en a reçu du monde mais il lui manque des saveurs à ce canapé. Tes invités ils s'assoient habillés mais il faut plus de senteur !"
Tapie je lui défroque les couilles et je le fais se frotter allègrement sur le canapé pour désodoriser.
Puis avec Michel on sniffe tout les recoins de ce bon vieux meuble.
"Tu vois là Michou ? Ça c'est l'odeur des petites fesses tièdes de Laurent Gerra."
Là on appelle le public pour qu'il renifle en notre compagnie, le canapé est pris d'assaut. Mais ce qu'il manque c'est l'odeur des pets de chiasse carabinés de Michel Sardou. Lui on lui écarterait les cuisses en coulisse puis on lui glisserait des doigts par les vigiles de la sécu pour que ça fuite un peu et ils essuieraient leurs doigts marronnés sur le canapé rouge de Drucker.
A votre avis : un vieux qui a les fesses graisseuses pleines de peau d'orange et tièdes comme Michel Sardou par exemple, même s'il a les moyens, est-ce qu'il peut éviter que ça sente l'odeur du vieux et du pet, donc deux odeurs à maîtriser le pauvre ?