Messages de Warde-Rhuna
Le 22 juin 2021 à 02:01:23 :
Le 22 juin 2021 à 01:55:22 :
Tu fais mordre la poussière à la solitudeSolitaire assumer, juste envie d'une copine par contre
Commence par apprendre à écrire si tu veux de la parisienne soin
Le 22 juin 2021 à 00:58:05 :
Le 22 juin 2021 à 00:55:28 :
Le 22 juin 2021 à 00:51:12 :
Je dirais au premiers attentats. Ca m'a vraiment choqué et j'ai vraiment eu l'impression que beaucoup de choses ont changé après ça.C'est quand les premiers attentats ? En France y en a quasiment toujours eu
Je crois qu'ils parlent pas du petit Clamart hein
Charlie Hebdo du coup pour la France
Ouais je me rappellerai toujours de cette journée 
Les profs en parlaient tous en cours c’était bizarre à l’âge que j’avais
Le 22 juin 2021 à 00:52:37 :
Le 22 juin 2021 à 00:51:29 :
Le 22 juin 2021 à 00:48:56 :
Le 22 juin 2021 à 00:43:17 :
Le 22 juin 2021 à 00:29:28 Meizoentje a écrit :
Le 22 juin 2021 à 00:26:57 :
Je vais faire l'original et répondre à la question du titre en englobant le monde humain en règle général :Je dirais à l'apparition de l'agriculture. Il est prouvé qu'au niveau de l'individu, un être humain est plus heureux en temps que fourrageur (chasseur cueillir) en comparaison avec un agriculteur lambda depuis la révolution agricole. Il travaille moins, est moins sujet à la famine, se tue moins le corps et a une alimentation plus variée et plus saine qu'un agriculteur lambda. Ces 200 dernières années représentent une exception dans l'histoire de l'humanité, je ne les compte pas vraiment, car à l'échelle de l'humanité, être agriculteur et dépendre de ses cultures était un piège pour l'individu (même si très bénéfique pour notre espèce Homo sapiens). On aurait été plus heureux individuellement à cueillir des racines, baies, tubercules, fruits, légumes, manger des insectes, charogner et éventuellement chasser qu'à vivre à notre époque.
Pas sûr, l'angoisse de l'hiver... La peur de n'avoir rien à manger. D'être un simple maillon de la chaîne alimentaire et la peur des prédateurs. Les chasseurs cueilleurs c'était bien l'angoisse.
Justement, la peur de n'avoir rien à manger touche bien plus les agriculteurs, qui se cantonnent la plupart du temps à une seule et unique céréale/denrée (ou le blé, ou le riz, ou le maïs etc... mais rarement plus que ça) ce qui fait que si la récolte a un problème (catastrophe naturelle, maladie, pillage) c'est la famine assurée, là où le le fourrageur perdra le blé mais aura toujours une dizaine d'autres sources d'aliments à portée. De la même façon, les agriculteurs sont obligés de faire des greniers pour l'hiver, mais ceux qui n'ont pas réussis à amasser assez de ressources iront piller ces mêmes greniers, et dans ce cas là la famine est encore une fois assurée, alors que les fourrageurs auront encore et toujours des denrées à récupérer, même pendant l'hiver.
Pour ce qui est des prédateurs, le feu suffit largement à les tenir éloignés, par contre sans ce dernier il est vrai que c'est une autre paire de manche mais très loin d'être un fardeau pour autant, de nombreuses espèces humaines ont vécues bien plus longtemps que notre propre espèce avec un mode de vie de fourrageur.
D'ailleurs l'être humain moyen de 2021 (donc qui ne vient pas d'un pays développé) a beaucoup moins de temps libre que le fourrageur moyen d'entre la révolution cognitive et la révolution agricole
A l'échelle de l'humanité, ce fut absolument profitable ceci-dit, je parle bel et bien à l'échelle d'un être humain et de son bonheur / sa vie personnelle. La plupart des humains depuis l'invention de l'agriculture se sont sacrifiés plus qu'autre chose.
Intéressant. Un autre point c'est qu'avec l'agriculture on fige également les hiérarchies sociales et les rôles : là où dans un groupe de chasseurs-cueilleurs les rapports de force sont directs et « questionnables » (aux risquse et perisl de l'intéressé) tandis que les spécialisations et les compétences nécessaires une fois sédentarisés et qui se transmettent de génération en génération , conduisent à une stratification sociale qui apparait de + en+ rigide et sur laquelle l'individu n'a aucune possibilité d'action. Quand cette stratification se complexifie au fil des siècles, on peut dire que l'individu est de plus en plus noyé dans un « système ».
Au delà de ça, la révolution agricole c’est la mise en servitude d’une partie de la population.
Le mode de vie paysan est bien plus tuant a la tâche que le mode de vie chasseurs-cueilleurs, c’est à partir du bond démographique que ça a engendré que les gens ont dû toujours plus produire pour toujours plus de monde.Peut-être pourrait on retourner vivre dans les bois kheyou, je suis chaud moi pour go bushcraft pour commencer
Ça s’appelle le survivalisme et j’y pense de plus en plus pour mes vacances
Le 22 juin 2021 à 00:48:56 :
Le 22 juin 2021 à 00:43:17 :
Le 22 juin 2021 à 00:29:28 Meizoentje a écrit :
Le 22 juin 2021 à 00:26:57 :
Je vais faire l'original et répondre à la question du titre en englobant le monde humain en règle général :Je dirais à l'apparition de l'agriculture. Il est prouvé qu'au niveau de l'individu, un être humain est plus heureux en temps que fourrageur (chasseur cueillir) en comparaison avec un agriculteur lambda depuis la révolution agricole. Il travaille moins, est moins sujet à la famine, se tue moins le corps et a une alimentation plus variée et plus saine qu'un agriculteur lambda. Ces 200 dernières années représentent une exception dans l'histoire de l'humanité, je ne les compte pas vraiment, car à l'échelle de l'humanité, être agriculteur et dépendre de ses cultures était un piège pour l'individu (même si très bénéfique pour notre espèce Homo sapiens). On aurait été plus heureux individuellement à cueillir des racines, baies, tubercules, fruits, légumes, manger des insectes, charogner et éventuellement chasser qu'à vivre à notre époque.
Pas sûr, l'angoisse de l'hiver... La peur de n'avoir rien à manger. D'être un simple maillon de la chaîne alimentaire et la peur des prédateurs. Les chasseurs cueilleurs c'était bien l'angoisse.
Justement, la peur de n'avoir rien à manger touche bien plus les agriculteurs, qui se cantonnent la plupart du temps à une seule et unique céréale/denrée (ou le blé, ou le riz, ou le maïs etc... mais rarement plus que ça) ce qui fait que si la récolte a un problème (catastrophe naturelle, maladie, pillage) c'est la famine assurée, là où le le fourrageur perdra le blé mais aura toujours une dizaine d'autres sources d'aliments à portée. De la même façon, les agriculteurs sont obligés de faire des greniers pour l'hiver, mais ceux qui n'ont pas réussis à amasser assez de ressources iront piller ces mêmes greniers, et dans ce cas là la famine est encore une fois assurée, alors que les fourrageurs auront encore et toujours des denrées à récupérer, même pendant l'hiver.
Pour ce qui est des prédateurs, le feu suffit largement à les tenir éloignés, par contre sans ce dernier il est vrai que c'est une autre paire de manche mais très loin d'être un fardeau pour autant, de nombreuses espèces humaines ont vécues bien plus longtemps que notre propre espèce avec un mode de vie de fourrageur.
D'ailleurs l'être humain moyen de 2021 (donc qui ne vient pas d'un pays développé) a beaucoup moins de temps libre que le fourrageur moyen d'entre la révolution cognitive et la révolution agricole
A l'échelle de l'humanité, ce fut absolument profitable ceci-dit, je parle bel et bien à l'échelle d'un être humain et de son bonheur / sa vie personnelle. La plupart des humains depuis l'invention de l'agriculture se sont sacrifiés plus qu'autre chose.
Intéressant. Un autre point c'est qu'avec l'agriculture on fige également les hiérarchies sociales et les rôles : là où dans un groupe de chasseurs-cueilleurs les rapports de force sont directs et « questionnables » (aux risquse et perisl de l'intéressé) tandis que les spécialisations et les compétences nécessaires une fois sédentarisés et qui se transmettent de génération en génération , conduisent à une stratification sociale qui apparait de + en+ rigide et sur laquelle l'individu n'a aucune possibilité d'action. Quand cette stratification se complexifie au fil des siècles, on peut dire que l'individu est de plus en plus noyé dans un « système ».
Au delà de ça, la révolution agricole c’est la mise en servitude d’une partie de la population.
Le mode de vie paysan est bien plus tuant a la tâche que le mode de vie chasseurs-cueilleurs, c’est à partir du bond démographique que ça a engendré que les gens ont dû toujours plus produire pour toujours plus de monde.
Le 22 juin 2021 à 00:39:13 :
Le 22 juin 2021 à 00:33:49 :
Le 22 juin 2021 à 00:31:29 :
Le 22 juin 2021 à 00:28:28 :
Je dirais 1968 (effondrement social et culturel)
1973 (premier crack pétrolier, fin des trente glorieuses)
Et 2001 (11 Septembre, entrée dans un climat anxiogène)
Depuis Internet et les réseaux sociaux ont exacerbé la tendance68 c'est bien comme date, mais le début de l'effondrement social et culturel comme tu dis, c'est un peu comme un premier shoot d'une drogue quelconque : c'est tjs l'euphorie au départ. Et l'euphorie en mode société de loisirs, libération sexuelle, production artistique débridée etc. Ça dure bien jusque début 90 ..
Bien sûr mon clef, si j’ai donné plusieurs dates c’était pour montrer que ça a été un processus sur plusieurs décennies
On pourrait aussi citer la chute du bloc de l’Est ou bien l’émergence des premiers réseaux sociaux qui sont un cancer qui pompe la volonté de vivre des jeunes depuis un momentAu temps pour moi
C'est assez paradoxal parce que la question de l'op c'est « la fin du bon temps » et dans la métaphore d'une drogue : tu dis que la fin du bon temps commence avec la consommation, c'est un point de vue.
Mais peut-être que le monde a tjs été dans une forme de chaos anxiogène, je ne m'y connais pas suffisamment mais la période 45-90 avec une explosion de la consommation, de la technique etc.
Dans le monde occidental à mon avis c'était une parenthèse incroyable de l'histoire où on a vécu à fond le sentiment du « tout possible »... Ça a dû être un immense kiff.
Et puis ouais, nos générations (et je mets 90-2000 dans le même panier) sont là pour la gueule de bois et les lendemains qui déchantent.
Je sais pas si la comparaison avec les psychotropes à du sens mais elle paraît cohérente.
Et ouais effectivement, on a plus qu’à bouffer les restes les actuels 18-25 ans.
Mais comme je disais je pense qu’il y a des événements symboliques de la mort du bon vieux temps de nos parents
Autant se dire qu’il vaut mieux pas se gêner pour que la prochaine génération ait encore pire histoire de profiter comme les générations précédentes 
Celui-ci manquera pas
Même virtuellement j’existe pas
Le 21 juin 2021 à 21:52:06 :
Silvera
Hors Sujet
Magma est meilleure