Messages de ouzzz-2

Camera espion
11/04/2019 01:44

[01:40:57] <xxexocetxx>
ce master cuck :bave:

Le film est fade, on voit trop myers a l'ecran et faire des meurtres. Ya aucune angoisse, contrairement au 1. Tout les personnages possedent 40 de qi. Le debut s'annonçait plutot pas mal

[13:42:47] <Chanclarouge50>
La mère de Spirou sans Vergone mais Mme Chiffres sans TRIPLE vergognehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/08/7/1551012163-bc277b2f80c082bd830d0aa5f25a9c49.jpg

Un homme de gout

[01:53:29] <kheys_mou>

Le 22 février 2019 à 01:49:03 Ouzzz-2 a écrit :
Summer madness- kool znd the gang

Spécial .... très spécial ....

T'es allé jusqu'au bout ?

Summer madness- kool znd the gang
1m50
Topic du Glauque
14/01/2019 17:38

[17:06:06] <kongstrong>
:mort: Issei Sagawa :mort:

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/1/1547481689-issou-sagawa.jpg

Le 13 juin 1981 à Paris : les policiers font une découvre macabre dans le Bois de Boulogne : Dans un fourré, à quelques pas du lac, ils tombent sur deux valises contenant le corps dépecé d’une jeune femme.

Issei Sagawa qui s'est rendu célèbre pour avoir tué et en partie mangé une étudiante néerlandaise à Paris en juin 1981 escorté par des policiers français en civil le 17 juin 1981, au siège de la préfecture de police de Paris, après un interrogatoire.

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/1/1547481496-3108373065-1-7-qopphait-1.jpg

LE MEURTRE :

Le 11 juin 1981, Sagawa attire Renée Hartevelt, une jeune Néerlandaise de vingt-quatre ans, étudiant tout comme lui la littérature comparée à l'Université Paris-III, dans son studio du n° 10 rue Erlanger, sous le prétexte qu'un de ses professeurs lui a demandé d'enregistrer des poèmes expressionnistes allemands.

Le jour-même, alors qu'elle lit un poème de Johannes Robert Becher, il la tue à la carabine 22 long rifle (il évoquera initialement un amour déçu entre les deux jeunes étudiants). Il réalise un enregistrement audio sur lequel on peut entendre la jeune fille réciter les vers en allemand sur la mort, puis le coup de feu étouffé par le silencieux de la carabine, suivi par le son de la chute de son corps sur le sol4. Il prélève de son corps plus de sept kilogrammes de chair, puis commet un acte de cannibalisme.

Il consomme sa chair trois jours, en la conservant dans un réfrigérateur, prenant 39 photographies au fur et à mesure qu'il prélève les chairs de sa victime. Ne disposant pas d'un congélateur, pour se débarrasser de la dépouille, il la découpe et la cache dans deux valises puis le 13 juin 1981, fait appel à un taxi pour les transporter au bois de Boulogne où il trouve alors un caddie. Dans une descente, il perd le contrôle du chariot avec lequel il transporte son chargement.

Les valises se renversent devant un couple d'amoureux qui l'apostrophe en raison de son comportement étrange et du liquide s'échappant des valises. Il s'éloigne le plus rapidement possible et laisse le couple découvrir un drap ensanglanté dans la valise en carton. La brigade criminelle appelée sur les lieux découvre « des morceaux de cadavre ».

Dès le lendemain, la police lance un appel à témoins qui est entendu par le chauffeur de taxi. Celui-ci appelle aussitôt la brigade criminelle dirigée par le commissaire Ange Mancini pour lui révéler qu'il a chargé un client asiatique avec deux valises. Arrêté trois jours après son crime, grâce au témoignage de ce chauffeur de taxi qui se rappelle son adresse, et avant même que sa victime ait été identifiée, Sagawa déclare aux policiers de la brigade criminelle de Paris « si j'avais eu un congélateur, vous ne m'auriez pas retrouvé… » et revendique son acte, qu'il considère comme un acte artistique.

Lors de la perquisition, les policiers découvrent les papiers de la victime, des taches de sang, la carabine 22 long rifle, une pellicule photo avec 32 clichés du dépeçage de la morte, un dictaphone, une shampouineuse pour nettoyer la moquette, la couverture de Charlie Hebdo du 16 août 1979 (qui titre « Barbecue monstre dans le Var : Le cul rôti aux herbes de Provence » où un cuisinier découpe les fesses d'une femme), des photos d'identités de Renée et 7 kilos de tissus humains dans de petits sacs-poubelles et sur des assiettes en carton dans le réfrigérateur.

Placé en détention préventive, il est soumis un an durant à une expertise psychiatrique contradictoire, menée par trois experts indépendants, qui attribuent sa perte totale d'inhibition à son encéphalite de l'enfance et ses pulsions cannibales à ses rapports avec sa mère, cette dernière passant son temps à l'obliger à manger pour survivre durant sa petite enfance.

Les experts psychiatres concluent à son irresponsabilité pénale mais recommandent son internement, en raison de son extrême dangerosité. Le juge d'instruction, Jean-Louis Bruguière, se range à l'avis des experts : il prononce un non-lieu au titre de l'article 706-125 du code de procédure pénale. Sagawa est interné un an à l'Unité pour malades difficiles de Villejuif, avant d'être transféré au Japon où ses parents le placent dans l'hôpital psychiatrique Matsuzawa de Tokyo le 21 mai 1984.
Un nouveau collège d'experts japonais le déclare responsable de ses actes ; mais le non-lieu prononcé en France a un caractère définitif et interdit aux autorités japonaises de le juger. Sagawa bénéficie donc d'une des règles de droit international favorables aux prévenus et est libéré le 13 août 19852.

À la suite de cette affaire, il cherche à retrouver un travail normal. Il réussit à enseigner le français dans une école, mais lorsque son identité est connue par les élèves, il doit renoncer à ce poste. En 1989, sévit au Japon un tueur en série d'enfants, qui viole et dépèce ses victimes, si bien que la presse nationale engage Sagawa comme consultant. Cette médiatisation est telle qu'il devient célèbre dans le monde entier sous le nom de « Japonais cannibale » ou « l'étudiant français ».

Exhibitionniste narcissique pour le psychiatre qui l'a suivi, il a écrit une douzaine de livres, tous centrés autour de son crime ; il est également apparu dans des publicités pour des chaînes de restaurants de viande et a joué dans quelques films érotiques (dont un mettant en scène une jeune femme néerlandaise, dans un décor fortement inspiré d'architecture typiquement hollandaise)9.

Il vit d'abord à Yokohama, sous surveillance policière, mais sans suivi psychiatrique ; il prend juste un léger traitement anti-dépressif. Aucune récidive n'a été découverte ; mais Issei ne cache pas que des pensées cannibales l'habitent toujours de façon permanente, bien que ce ne soit plus les femmes de type occidental qui l'attirent dorénavant11. Puis il vit retiré et un peu oublié dans un appartement de la banlieue de Tokyo. Un directeur de la rédaction d'un magazine à scandale déclare cyniquement : « il n'a plus de valeur marchande en tant que criminel »

AME SENSIBLE S'ABSTENIR : si vous voulez voir la photo du corps de la victime, tapez "issei sagawa corpse" sur google image, je vous préviens c'est plutôt trash.

Hannibal lecter

Mets un beat, on s ennuie
Je te up
Moi aussi je vais en faire un bts cg, sans reel objectif. Je sais pas trop ou je vais, cest mon pere qui m'a conseiller parce qu'il a unr entreprise. On verra ou ca me mene
BTG
A quand un nouvel et bon album de l'entourage ? Avec le niveau qu'ils on actuellement il serait enorme
Latiole non les heures sup sont pas payées mais tu peux les recuperer sous certaines conditions
Qui peut resumé le tout
Bordel la 3eme photo faut en faire un sticker :rire:
Bordel ce commentaire :"Those dudes playing the guitars don't really need those straps to hold them up"