Je bosse en tant qu'infirmier dans une prison.
Aujourd'hui je me suis fait agresser par une chance à qui j'avais refusé d'augmenter la dose de Subutex.
Je l'ai maîtrisé (je fais du penchak silat) sans difficultés, et je pense qu'il va prendre 30 jours de quartier disciplinaire et je suis pas bien là, je crois que je vais demander un arrêt de deux semaines, je vais mal dormir cette nuit je pense
Les cadres du privé sont droitisés par leur arrivée sur le marché du travail, mais des prolix qui bossent dans les services publics et/ou dans le médico-social comme moi en ressortent encore plus gauchistins.
Paie faible, compression budgétaire, de moins en moins de lits, matériel dépassé voir carrément défectueux...
Ici, à la prison, cependant, on se droitise plutôt, mais pas moi.
Je suis pas manichéen à croire la gauche gentille et la droite méchante, je respecte les avis de droite, c'est juste que moi je ne peux pas être contre les services publics après tout ce que j'ai pu voir.
Le 24 octobre 2022 à 21:41:25 :
Le 23 octobre 2022 à 11:39:05 :
Le 23 octobre 2022 à 06:29:15 :
L'épanouissement intellectuel peut venir de plein de choses: découvrir de nouveaux soins techniques, réfléchir en équipe pluridisciplinaires, trouver la bonne manière pour le soin x à une personne x...Ce qui est sûr c'est que là où j'ai bossé avant mon arrêt ainsi que dans mon premier hôpital c'était devenu de l'abattage...0 épanouissement donc.
Je sais que c'est mal vu sur le faix rhum mais plus je fais ce métier plus je suis de gauche.
C'est globalement la même pour moi.
En fait les droitix ont certains arguments intéressants (notamment vis-à-vis de la sécurité) mais je crois qu'ils ne se rendent juste pas bien compte de l'état déplorable de l'hôpital public peut-être parce qu'ils sont trop jeunes pour avoir eu de gros problèmes de santé et donc pas eu besoin de passer par la case "hôpital public".
Ils changeront sans doute d'avis quand ils auront une maladie grave mais j'ai bien peur qu'alors l'hôpital public soit décédé comme en rêve Macron le lobbyiste du privé et plein applicateur d'une politique ultra libérale
Je suis de droite, le service public ça fait près de dix ans que j'y ai mis les pieds pour la première fois et que j'y reste, j'ai le sens du service public, je ne vois pas ce qu'il y a de contradictoire là dedans.
Droite libérale ou nationaliste
Si droite libérale je comprends pas bien. La droite libérale veut baisser l'implication de l'État dans l'activité économique par une diminution des impôts et donc des services publics.
La droite nationaliste elle est bien plus interventionniste pour ça, mais est beaucoup plus radicale sur certains autres points comme l'immigration ou la sécurité.
En ce qui me concerne je suis social-libéral : Je suis pour l'économie de marché mais je veux de bons services publics.
Le 24 octobre 2022 à 17:03:11 :
Le 24 octobre 2022 à 17:02:28 Abdel_Murrap a écrit :
J'étais beaucoup plus épanoui dans mon travail en infirmier en HP avant mon second épisode délirant aigu.Actuellement je suis en prison
Je BOSSE en prison hein, je suis pas enfermé
Taré
Non sincèrement c'est pas déplaisant : J'avais beaucoup trop d'empathie en psychiatrie, actuellement je bosse avec 99% de connard, ça règle les problèmes d'empathie
A votay 75%
J'étais beaucoup plus épanoui dans mon travail en infirmier en HP avant mon second épisode délirant aigu.
Actuellement je suis en prison
Je BOSSE en prison hein, je suis pas enfermé
Le 24 octobre 2022 à 13:07:45 :
Le 24 octobre 2022 à 11:28:40 :
Le 24 octobre 2022 à 10:00:42 :
Le 23 octobre 2022 à 21:39:29 :
Le 23 octobre 2022 à 20:37:54 :
Des collègues qui se sentent en bore out ?J'ai eu quand je bossais au laboratoire.
C'était le rush entre 7h et 10h, et l'ennui maximal imaginable jusqu'à 17h...
Au moins c'est moins stressant.Moins stressant c'est sur, j'ai l'impression de me faire grave chier au taf et j'ai un rdv téléphonique avec ma DRH et j'hésite à lui avouer direct
Tu bosses dans quel service
Pool dans un petit HP privé d'intérêt public, ça fait 4 ans que je tourne sans hiérarchie comme un électron libre des urgences à la pedopsychiatrie en passant par la gériatrie je devient zinzin et la directrice des soins qui m'a fait un procès bien vénère l'année dernière en entretien sans aucunes raisons. Je vais finir interné si je reste
Change peut-être, et négocie éventuellement le licenciement à l'amiable pour être indemnisé.
Tu voudrais faire quel genre de service
Edit : Pool c'est un genre d'intérim c'est bien ça ?
On s'y perd avec tous ces noms
Le 24 octobre 2022 à 10:00:42 :
Le 23 octobre 2022 à 21:39:29 :
Le 23 octobre 2022 à 20:37:54 :
Des collègues qui se sentent en bore out ?J'ai eu quand je bossais au laboratoire.
C'était le rush entre 7h et 10h, et l'ennui maximal imaginable jusqu'à 17h...
Au moins c'est moins stressant.Moins stressant c'est sur, j'ai l'impression de me faire grave chier au taf et j'ai un rdv téléphonique avec ma DRH et j'hésite à lui avouer direct
Tu bosses dans quel service
Le 23 octobre 2022 à 20:37:54 :
Des collègues qui se sentent en bore out ?
J'ai eu quand je bossais au laboratoire.
C'était le rush entre 7h et 10h, et l'ennui maximal imaginable jusqu'à 17h...
Au moins c'est moins stressant.
Le 23 octobre 2022 à 06:29:15 :
L'épanouissement intellectuel peut venir de plein de choses: découvrir de nouveaux soins techniques, réfléchir en équipe pluridisciplinaires, trouver la bonne manière pour le soin x à une personne x...Ce qui est sûr c'est que là où j'ai bossé avant mon arrêt ainsi que dans mon premier hôpital c'était devenu de l'abattage...0 épanouissement donc.
Je sais que c'est mal vu sur le faix rhum mais plus je fais ce métier plus je suis de gauche.
C'est globalement la même pour moi.
En fait les droitix ont certains arguments intéressants (notamment vis-à-vis de la sécurité) mais je crois qu'ils ne se rendent juste pas bien compte de l'état déplorable de l'hôpital public peut-être parce qu'ils sont trop jeunes pour avoir eu de gros problèmes de santé et donc pas eu besoin de passer par la case "hôpital public".
Ils changeront sans doute d'avis quand ils auront une maladie grave mais j'ai bien peur qu'alors l'hôpital public soit décédé comme en rêve Macron le lobbyiste du privé et plein applicateur d'une politique ultra libérale
Le 22 octobre 2022 à 20:09:58 :
Le 22 octobre 2022 à 10:43:34 :
Alors niveau salaire et travail fatigant et peu épanouissant niveau intellectuel je suis d'accord : On "sera toujours" méprisés par certains médecins mais niveau reconnaissance en soirée quand je dis que je suis infirmier tout le monde me féliciteJe suis un homme et souvent les patients (hommes comme femmes) préfèrent la douceur et l'empathie d'une femme.
Par contre je sais pas trop ce que la hiérarchie en pense, des infirmières.
C'est pas pour te cracher dessus mais niveau épanouissement intellectuel y a largement de quoi faire. Après je sais que t'as bossé en psy et en labo donc bon si tu vas dans un service plus technique c'est quand même totalement différent.
Même en psy il y avait fort à dire/ à faire.
Genre quand un patient demandait un somnifère benzo juste après le dîner avant 20h ça exigeait de la pédagogie
Après j'avais des collègues qui s'exécutaient sans discuter, et je trouve que c'est une mauvaise chose et ça donnait lieu à des discussions intéressantes lors des transmissions.
J'aime bien ce métier, après à la différence de beaucoup d'entre vous j'ai d'autres revenus à côté et je suis de facto moins impacté par la (mauvaise) paie.
Je suis d'accord que notre salaire est trop bas mais en y regardant de plus près même les médecins sont sous-payés : 8 ans d'études MINIMUM pour gagner à peine plus de 3k/mois c'est nul.
Bizarrement c'est les hauts postes administratifs de l'hôpital qui paient le mieux alors que leur boulot est assez anecdotique.
Je sais que c'est mal vu sur le faix rhum mais plus je fais ce métier plus je suis de gauche.
Mais comme maintenant je bosse en prison j'ai plus les mêmes problématiques que vous
No offense, paz sur l'hôpital public en dépit de.
C'est ton anniversaire, c'est pas celui d'Noel Mamaire
et paz sur toi en dépit de
Moi comme j'ai quasi toujours bien fait mon travail et que de toutes façons la hiérarchie c'est des faux-culs on ne m'a pratiquement jamais repris.
En revanche suite à ma seconde hospitalisation (je suis bipolaire) en revenant au boulot je faisais connerie sur connerie et là on m'a traité comme du poisson pourrit.
Au labo d'analyse les collègues étaient sympas mais la hiérarchie conne au point que c'est rabaissant pour les cons de les mettre à leur niveau.
Ici à la prison tout a l'air de bien se passer, je suis même en weekend là et c'est cool
Petit pastis en terrasse avec un pote
Alors niveau salaire et travail fatigant et peu épanouissant niveau intellectuel je suis d'accord : On "sera toujours" méprisés par certains médecins mais niveau reconnaissance en soirée quand je dis que je suis infirmier tout le monde me félicite
Je suis un homme et souvent les patients (hommes comme femmes) préfèrent la douceur et l'empathie d'une femme.
Par contre je sais pas trop ce que la hiérarchie en pense, des infirmières.
Le 21 octobre 2022 à 11:19:05 :
Salut les larbins !IDE depuis 4 ans et en recherche de reconversion depuis 5 🙊
Je suis rentré en IFSI tellement motivé, j’étais pourtant pas un lapin de 6 semaines, j’en ai fait des boulots difficiles mais on m’a jamais autant humilié qu’en stages. Je suis un homme et d’expérience, l’armée c’était un camp de boy scouts à côté.
Jamais vu autant autant d’inhumanité et d’absence de bienveillance que dans ce milieu. Des stéphanie de 25 ou 50 ans et 45 kg qui, dans le service, te maltraitent et te crachent à la gueule alors que dans le civil elles oseraient pas le centième de ça.
Un milieu très toxique, c’est inimaginable quand tu connais personne qui en vient.Force et honneur aux IDE et AS qui on su rester décents !
Persoent je bosse en prison pour m'autoriser à être désagréable envers les repris de justice, à l'hôpital public j'avais trop d'empathie (surtout en renutrition).
Mais mes collègues - hormis la médecin hématologue dont je parlais plus haut - ont toujours été plutôt sympathiques donc ce que tu me décris me surprend
Le 21 octobre 2022 à 08:45:57 :
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
> Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
>> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> >> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> > >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
> >
> > Raconte :mojito: :parasol:
>
> J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
> Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
> L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.
OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Quand je bossais en psy j'ai eu une interne en psychiatrie qui, elle, m'a un jour dit que c'était les infirmiers qui lui avaient le plus appris
Le 20 octobre 2022 à 11:24:58 :
les infirmiers du faux rhumJe ne suis pas du tout infirmier mais je pratique un sport qui nécessite de savoir désinfecter une plaie (la randonnée).
En effet en rando, surtout en itinérance, on n'est pas à l'abri de glisser et de se blesser par exemple sur des pierres.
Vous savez probablement comment désinfecter une plaie.
Vous accepteriez de m'expliquer
Tu dois avoir des tutos sur YT
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
>A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
Raconte :mojito: :parasol:
J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.
Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.