Le 20 janvier 2022 à 20:39:14 :
Pas fichtrement jolie mais elle exhale un charme bizarre et envoûtant
C'est l'interdit ça
Savoir qu'ils vont te couper la bite en 45 morceaux différents si tu oses la frôler, ça en excite certains
Le 20 janvier 2022 à 19:08:39 HaraKiwi a écrit :
Le 20 janvier 2022 à 19:06:54 :
Je suis bien content de pas suivre le foot en voyant les réactions,n'empêche c'est ironique je trouve.
La France qui gagne la CDM puis se fait éliminé par la Suisse à l'EuroPour l'Algérie qui gagne la CAN puis se fait éliminé par la Cote d'Ivoire
d'un point de vu sportif ça n'a rien à voir
La civ a toujours été une énorme nation africaine et La Suisse ce n'est rien du tout en Europe
Le Sierra Leone et la Guinée Équatoriale ce n'est pas vraiment le top prestige dans le football africain non plus
Le 20 janvier 2022 à 19:06:54 BAN0970 a écrit :
Je suis bien content de pas suivre le foot en voyant les réactions,n'empêche c'est ironique je trouve.
La France qui gagne la CDM puis se fait éliminé par la Suisse à l'EuroPour l'Algérie qui gagne la CAN puis se fait éliminé par la Cote d'Ivoire
Bah en vrai, ça arrive tout le temps. On a bien fini dernier d'un groupe avec le Sénégal, le Danemark et l'Uruguay en étant champion du monde en titre
Par contre, en vrai, qu'est-ce qui a foiré durant cette CAN pour l'Algérie ? L'équipe paraissait pourtant assez solide vue de loin
Le 20 janvier 2022 à 18:20:39 Lazardesque a écrit :
Vous rigolez maintenant mais ce sont les français qui vont payer les pots cassés à cause de leur ragehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/4/1596129454-ahi-fondu.png
Après même quand ils célèbrent un truc y'a des bagnoles qui prennent feu, donc une défaite ou une victoire franchement...
Le 20 janvier 2022 à 18:19:45 vengwoxkai a écrit :
1, 2, 3 RETOUR EN ALGÉRIE !!!!https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png
1, 2, 3... buts à zéro
L'article du Figaro sur le fait de payer l'AppartCity des squatteurs :
Un propriétaire doit-il reloger des squatteurs à ses frais pendant des travaux ?
DÉCRYPTAGE - C'est la situation aberrante que vivent des enfants qui ont hérité d'un studio parisien de leur mère décédée. Que dit la loi ?
Des propriétaires obligés de reloger des squatteurs pendant des travaux. C'est une nouvelle histoire aberrante que vivent actuellement trois enfants qui ont hérité, de leur mère, d'un studio de 26 m² dans le 5e arrondissement de Paris. Jeannine, Pascal et Monique ont dû payer 15 nuits d'hôtels à ceux qu'ils présentent comme des squatteurs. Soit une facture de 3200 euros. Est-ce aux propriétaires de prendre ces frais à leurs charges ? La réponse par la négative semble évidente mais avant de répondre à cette question, il convient de savoir s'il s'agit de locataires ou de squatteurs. Car, selon le profil des occupants, la réponse sera différente. Et dans l'affaire qui nous occupe, leur statut est plutôt flou.
» LIRE AUSSI - Vandalisme, menaces de mort… Ces vies gâchées par des «voleurs de logements» sans scrupule
Avant de décéder, la mère, propriétaire de l'appartement, âgée et sous tutelle, a loué son logement à un «vrai» locataire qui par la suite, « est parti et a mis une de ses connaissances (dans l'appartement) qui a continué à payer le loyer à la place du vrai locataire », a récemment raconté Pascal sur Europe 1. En l'occurrence, ces occupants, qui ne disposent d'aucun bail à leur nom, versent de manière irrégulière un «loyer» de 540 euros.
Un cas plutôt inhabituel qui pose une question : les occupants sont-ils considérés par la loi comme des locataires ou des squatteurs? « À mon sens, ce sont des squatteurs car ils ont usé de manœuvres pour tromper la propriétaire et sont sans droit ni titre », affirme Me Romain Rossi-Landi, avocat en droit immobilier. Ce spécialiste des squats de logements fait référence à l'article 38 de la loi dite DALO, entré en vigueur 1er janvier 2021. Ce texte prévoit qu'un ou plusieurs individus qui se sont introduits et occupent durablement le domicile d'autrui, résidence principale ou pas, « à l'aide de manœuvres, menaces, voies de fait (agressions physiques ou verbales) ou de contrainte », peut être expulsé.
Des squatteurs relogés «au nom de la dignité humaine»
Depuis le 1er janvier 2021, ce n'est plus un juge mais un préfet qui peut ordonner son expulsion, comme le prévoit cet article. Et dans ce cas, la procédure ne doit plus durer, en théorie, que 3 jours et non plus environ 2 ans comme auparavant. Or, l'affaire qui nous occupe est antérieure à la nouvelle loi, à savoir 2018. Ce qui explique pourquoi la procédure est plus longue. « Quatre ans, ça commence à faire long », s'étonne Me Rossi-Landi qui conseiller aux héritiers de lancer en parallèle une procédure accélérée auprès du préfet.
» LIRE AUSSI - Squatteurs: pourquoi le fléau persiste malgré la nouvelle loi
S'il s'agit bel et bien de squatteurs, les propriétaires étaient-ils censés payer à leurs frais le relogement des squatteurs ? « La réponse est évidemment non , assure Me Romain Rossi-Landi. C'est aux pouvoirs publics de prendre en charge le relogement ou l'hébergement des squatteurs ». C'est la ministre du Logement Emmanuelle Wargon qui a posé cette condition du relogement à l'accélération des expulsions des squatteurs. De quoi choquer les propriétaires qui ne comprennent pas pourquoi des occupants illégaux qui, souvent, saccagent les logements où ils vivaient, peuvent être relogés. « Au nom de la dignité humaine », répond la ministre du Logement.
En revanche, dans le cas de locataires, deux cas se posent. Si le propriétaire ou la copropriété entreprend des travaux qui rendent le bien inhabitable, c'est au bailleur de prendre à sa charge le relogement. Dans le cas où les occupants doivent évacuer un immeuble qui menace de s'écrouler, immédiatement (péril imminent) ou pas (péril simple), c'est également au propriétaire (ou au syndic) d'assurer le relogement, à ses frais, du locataire, selon la loi. « La mairie peut éventuellement apporter son aide logistique aux propriétaires qui n'ont pas toujours de solutions à portée de main », précise Me Rossi-Landi. Sauf dans le cas où la responsabilité de la mairie est engagée - dans le cas de l'explosion de l'immeuble de la rue de Trévise (9e à Paris), la mairie et un syndic ont été mis en examen. Ce sera dès lors à la municipalité de payer ce relogement (ou hébergement).Même à la lecture de l'article, je ne comprends pas pourquoi ils ont payé vu qu'il n'y a pas de bail d'habitation...
Il y a des procédures plus rapides pour expulser des squatteurs désormais, pour éviter de passer des années en procès s'il n'y avait pas flagrance. Mais bon, vu que le préfet doit trouver une solution de remplacement aux squatteurs, ça coince encore. Ça me paraît toujours aberrant qu'on ne puisse pas résoudre des situations évidentes où la personne n'a rien à foutre là, mais bon.
Pire encore, de lourds travaux de réfection auraient été lancés dans l'immeuble et les occupants squatteurs auraient été forcés d'aller habiter ailleurs pendant 15 jours : «On a dû leur payer quinze nuits dans un Appart'City. Ça nous a coûté 3200 euros», se désole Pascal.
Ça par contre, je ne comprends pas. Qu'est ce qui obligeait les proprios à financer la solution de remplacement ? Ils sont considérés comme locataires ?