Problème : cette affirmation est "scientifiquement fausse", lance Serge Taboulot chef du centre Météo-France des Alpes du Nord à Saint-Martin d'Hères (Isère).
Les articles de presse citent une étude prévisionnelle statistique publiée par des chercheurs de la University College of London, comme le rapporte franceinfo. Mais les données sont mal interprétées : "Le rapport parle d'indices statistiques concernant nos hivers européens. Il n'est pas question, ni scientifiquement possible à ce stade de l'année, de prévoir que cet hiver sera froid, doux, chaud...", poursuit le prévisionniste.
L'étude évoque un chiffre plus nuancé, indiquent encore nos confrères : il y aurait 57% de chance que les mois de janvier et février 2020 soient en moyenne, en Grande-Bretagne, les plus froids depuis 2013.
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