Messages de SmurfLahey
Perso j'ai arrêté la weed pour tomber dans l'alcool, puis les médocs, puis l'alcool et les médocs, puis l'hyperactivite , le sport, le travail, le sexe....
Mon cerveau veut fuir en permanence, il ne sait faire que ça.
Maintenant j'essaie de me poser , de me calmer, d'être normal, j'essaie de dormir suffisamment, je médite, des conneries comme ça
Sinon je vais d'excès en excès, ma vie est un merdier ...
Le 20 janvier 2023 à 14:35:35 :
Le 20 janvier 2023 à 14:10:23 :
Le 20 janvier 2023 à 12:52:02 :
Le 20 janvier 2023 à 12:33:27 :
Le 20 janvier 2023 à 12:26:41 :
> Le 20 janvier 2023 à 12:18:52 :
>Courage l'auteur, quand j'étais plus jeune on a détoxiqué un pote avec des potos, ça a pris plusieurs semaines, on avait un docteur en ligne constamment pour noter l'état de santé du clé, il a eu du mal à tenir le 3 et 4ème jour puis ça s'est calmé, on avait tout sécurisé dans l'appart, à moins d'être surveillé H24 c'est quasi impossible de pas craquer quand tu es addict.
Faire un sevrage seul ce n'est pas impossible, beaucoup l'ont fait.
Ca dépend, tu peux en crever.
A une période je me disais cool j'ai pas de manque physique.
Jusqu'à ce que je me retrouve à gerber mes boyaux en voyant des bestioles sur les murs qui n'existaient pas...
La suite c'est le coma.
Donc non le sevrage seul ça peut être très dangereuxbordel un delirium tremens jamais jai eu le moindre soucis a l'arret après je buvais que de la biere aussi mais en grande quantite et tout les jours mais 0 manques .
tu buvais quoi et depuis combien de temps pour faire un DT ce truc horrible ?
5/6 ans mais pas aussi dur qu'à ce moment là. Depuis quelques mois j'avais switched de 2/3 Reims de vin blanc pour 1l de vodka par jour.
Quand je voulais faire des pauseq j'avais des suéeq de fous et j'ai fini par boire h24 même la nuit, je desaoulais jamais. La les benzos et un vrai suivi médical était nécessaire. Mon addicto m'a collé sous tiercan. From alcoolo highly fonctional to loque humaine au neuroleptiques.Putain l'errance médicale pour se soigner... J'ai fini en sevrage dans un HP pas du tout adapté, virépar le psychiatre au bout de 3j parceque "ça va pas si mal, responsabilisez vous" alors que je lui disais avoir besoin de protection a tout prix parceque je deraillais grave . Mais j'étais cohérent et je fais propre sur moi donc bon.
Pareil plus tard en post cure , une stagiaire psychologue m'a pris pour un soignant alors que j'attendais mon rdvC'est super dur d'être bien soigné. Ce qui de fait nous éloigne des soins.
Mon addicto me filait benzos et neuroleptiques a volonté. Du coups je tapais des mélanges avec l'alcool histoire de me mettre encore plus cher. En consultation ça te 0arle de méditation pour gérer tes émotions. Putain, tu tisanes 1l de vodka par jour + des médocs par boîte : méditez monsieurJe rejoins ton opinion là-dessus ! Je ne bois pas mais un proche, oui et c'est très compliqué de le soigner. Quand il est sobre, il présente bien, s'exprime bien et sait charmer ses interlocuteurs. Il s'est déjà retrouvé avec un stock de médocs beaucoup trop important avec lequel il mélangeait de l'alcool et quand il est face aux professionnels sans 2g dans le pif, ces derniers minimisent son problème.
L'alcool, ça touche vraiment tous les profils. Or les discours varient selon si tu es à la rue ou ton propre patron. À croire qu'il faut vraiment que la personne soit à terre pour justifier sa prise en charge.
Bah oui dans les faits c'est ça. on soigne des gens déjà foutus avec des méthodes de merde c'est juste du cache misère.
En cure les soignants étaient en pls quand je leur demandais plus parceque j'étais pas là pour réapprendre a me lever le matin ou a retrouver confiance en moi en faisant de la marche à pied ou du dessin.
Du coup je tapais les bouquins des addictos et des psy sur l'addiction la prévention de la rechute etc. Et l'état de la littérature est bien maigre. On soigne que l'urgence pour qu'un alcoolique désespéré ait ua moins accès aux soins réguliers pour prendre en charge ses pathologie assez tôt en fait.
Sinon pour un addict bien intégré t'as pas grand espoir dans la prise en charge. Quand je suis sobre mes consultations addictos ça du 10min , "vous consommez pas tant mieux a plus"...
Le 20 janvier 2023 à 12:52:02 :
Le 20 janvier 2023 à 12:33:27 :
Le 20 janvier 2023 à 12:26:41 :
Le 20 janvier 2023 à 12:18:52 :
Courage l'auteur, quand j'étais plus jeune on a détoxiqué un pote avec des potos, ça a pris plusieurs semaines, on avait un docteur en ligne constamment pour noter l'état de santé du clé, il a eu du mal à tenir le 3 et 4ème jour puis ça s'est calmé, on avait tout sécurisé dans l'appart, à moins d'être surveillé H24 c'est quasi impossible de pas craquer quand tu es addict.Faire un sevrage seul ce n'est pas impossible, beaucoup l'ont fait.
Ca dépend, tu peux en crever.
A une période je me disais cool j'ai pas de manque physique.
Jusqu'à ce que je me retrouve à gerber mes boyaux en voyant des bestioles sur les murs qui n'existaient pas...
La suite c'est le coma.
Donc non le sevrage seul ça peut être très dangereuxbordel un delirium tremens jamais jai eu le moindre soucis a l'arret après je buvais que de la biere aussi mais en grande quantite et tout les jours mais 0 manques .
tu buvais quoi et depuis combien de temps pour faire un DT ce truc horrible ?
5/6 ans mais pas aussi dur qu'à ce moment là. Depuis quelques mois j'avais switched de 2/3 Reims de vin blanc pour 1l de vodka par jour.
Quand je voulais faire des pauseq j'avais des suéeq de fous et j'ai fini par boire h24 même la nuit, je desaoulais jamais. La les benzos et un vrai suivi médical était nécessaire. Mon addicto m'a collé sous tiercan. From alcoolo highly fonctional to loque humaine au neuroleptiques.
Putain l'errance médicale pour se soigner... J'ai fini en sevrage dans un HP pas du tout adapté, virépar le psychiatre au bout de 3j parceque "ça va pas si mal, responsabilisez vous" alors que je lui disais avoir besoin de protection a tout prix parceque je deraillais grave . Mais j'étais cohérent et je fais propre sur moi donc bon.
Pareil plus tard en post cure , une stagiaire psychologue m'a pris pour un soignant alors que j'attendais mon rdv
C'est super dur d'être bien soigné. Ce qui de fait nous éloigne des soins.
Mon addicto me filait benzos et neuroleptiques a volonté. Du coups je tapais des mélanges avec l'alcool histoire de me mettre encore plus cher. En consultation ça te 0arle de méditation pour gérer tes émotions. Putain, tu tisanes 1l de vodka par jour + des médocs par boîte : méditez monsieur