Le 01 mars 2021 à 16:46:28 VanitasX a écrit :
Je connais ces mecs et en vrai ils me font de la peine parce qu'ils sont seuls, ils parlent à personne de la journée. Donc je tape la discute parfois (j'aimais bien parler un peu à tout le monde dans ma classe) mais après honnêtement aucune envie de traîner avec eux. Comme l'ont dit plusieurs khey c'est leur hygiène douteuse dont j'ai peur 😱Mais sinon on en parle de la "bande" que tu intègres dans ta promo mais qui reste ultra hypocrite et qu'ils t'invitent pas quand ça fait des soirées ? Genre en cours on graille etc et après hop ces faux culs retournent traîner entre eux avec d'autres potes
Bref il y a des personnes cringes partout
Y'a plus de meufs seules que de mecs seuls dans ma promo perso
Le 28 février 2021 à 12:32:09 Comorbidity a écrit :
Le 28 février 2021 à 12:29:09 AspieKhey a écrit :
Vietnam Russie PakistanRussie
Je suis Russe et pro-Chine et il a raison
C'est pas eux qui nous sanctionnent, au contraire
Le 12 février 2021 à 15:14:16 kikineeur a écrit :
Lui il va devoir raquer la thune si le gars porte plainte
Surtout qu'il menace une meuf aussi au début à cause des nuggets
Ou c'est qu'un délire du forum?
Je vois pas beaucoup de mecs aux cheveux longs efféminés ou avec une jupe quand je sors
Le 11 février 2021 à 15:07:32 2Vichy_Celestin a écrit :
Ça va arriver en France t’inquiètes
Sur le twitter US quasi toutes les meufs ont She/Her dans leur bio
En France t'as juste les SJW ou les LGBTQ+ qui font ça
Le 11 février 2021 à 15:05:22 s0rensen a écrit :
20% de la population étudiantehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png
Source?
Le 11 février 2021 à 00:24:53 Pasteque12 a écrit :
Je me rase rien. Jsuis un homme.
Jsuis pas une fiotte avec une peau douce de tarlouse
Ce poste de gros frustrax issou j'imagine la dégaine du célestin boutonneux desco derrière l'écran
Le 10 février 2021 à 18:43:41 Globi-25 a écrit :
Le 10 février 2021 à 18:43:03 AspieKhey a écrit :
Le 10 février 2021 à 18:40:10 Globi-25 a écrit :
Le 10 février 2021 à 18:34:10 AspieKhey a écrit :
Le 10 février 2021 à 17:51:32 Globi-25 a écrit :
«La prétendue culture woke est cool. C’est à la mode, et, soyons honnêtes, le libéralisme est difficile. Tolérer des idées inconfortables est plus dur que de rejoindre la horde pour s’enfermer dans une bulle d’opinions et de pensées tout à fait agréables», explique Thomas Chatterton Williams, auteur de Autoportrait en noir et blanc, un livre équi sortira en janvier en français, où ce métis afro-américain exprime sa dissidence envers les obsédés de la race.Comme lui, de nombreux intellectuels de la gauche libérale commencent à se rebeller contre cette idéologie étouffante « qui ressemble à un nouveau bolchevisme ou à une forme de révolution culturelle à la chinoise», guettant tous « les traîtres » potentiels à la cause, nous confie Bret Weinstein. L’université de Chicago a pris la tête de la fronde, mettant noir sur blanc son engagement à défendre la liberté d’expression en 2015, un «serment» repris par plus de 50 autres établissements universitaires. Le très libéral Wellesley College a également réagi avec vigueur en créant un «projet liberté» destiné à encourager un débat d’idées libre et contradictoire. Et l’université de Berkeley, pourtant très progressiste, a créé un Centre pour la liberté d’expression.
En juillet 2020, un collectif de plus de 150 écrivains, artistes et journalistes, parmi lesquels J.K. Rowling, mais aussi la romancière Margaret Atwood, auteur du best-seller La Servante écarlate, le linguiste et psychologue Steven Pinker, la féministe Gloria Steinem, a signé une tribune dans Harper’s Magazine pour dénoncer «une intolérance à l’égard d’opinions opposées, une vogue pour la dénonciation publique et l’ostracisme, et la tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveugle».
Social-démocrate à l’ancienne et opposé à la vague identitariste montante, Joel Kotkin s’alarme tout particulièrement de l’alliance des campus avec l’industrie de la tech, cette nouvelle oligarchie omniprésente qui prête allégeance au mouvement woke en forçant notamment ses employés à organiser des séminaires d’inclusivité et à signer avec les fameux «pronoms» - «manière pour elle d’éluder les sujets plus embarrassants d’inégalité, de classe et de positions monopolistiques». Pour lui, cette alliance rend quasiment impossible une rébellion des démocrates centristes contre les radicaux. Si certains observateurs continuent d’espérer que les modérés, comme l’élue du Congrès Elissa Slotkin, relèveront la tête, la plupart sont très sceptiques.
Dans ce tableau bien sombre, Sam Abrams voit une lueur d’espoir venir potentiellement de la nouvelle «génération Z» (nés entre 1997 et 2000), «beaucoup moins idéologue que les millennials» (nés entre 1980 et 2000), fatiguée de la polarisation et peu convaincue par la racialisation galopante. «Quand je me promène dans les campus pour des tournées de conférences, les salles sont bondées, surtout dans les petites villes de province, où l’on a soif de vérité et de nouvelles approches.» Sam n’en reste pas moins très envieux de «l’approche française»,qui résiste tant bien que mal à la vague woke anglo-saxonne.
Source?
Il est où ce fameux tableau?
Moi j'ai plus l'impression que les 2000 (surtout les femmes) sont encore plus alliénés par ces idéologiesC'est marqué où ? Je vois rien sur ton article
Ce que j'ai c/c vient de ce threat reddit qui l'a tiré de l'article
https://www.reddit.com/r/france/comments/khek5m/cancel_culture_woke_quand_la_gauche_am%C3%A9ricaine/
J'ai vu des mecs sur reddit dire que la "culture woke" va mourir un jour
J'ai bien peur que ça n'arrivera jamais, les idées SJW sont trop ancrés et s'accentue j'ai l'impression, surtout à cause des médias
Le 10 février 2021 à 18:40:10 Globi-25 a écrit :
Le 10 février 2021 à 18:34:10 AspieKhey a écrit :
Le 10 février 2021 à 17:51:32 Globi-25 a écrit :
«La prétendue culture woke est cool. C’est à la mode, et, soyons honnêtes, le libéralisme est difficile. Tolérer des idées inconfortables est plus dur que de rejoindre la horde pour s’enfermer dans une bulle d’opinions et de pensées tout à fait agréables», explique Thomas Chatterton Williams, auteur de Autoportrait en noir et blanc, un livre équi sortira en janvier en français, où ce métis afro-américain exprime sa dissidence envers les obsédés de la race.Comme lui, de nombreux intellectuels de la gauche libérale commencent à se rebeller contre cette idéologie étouffante « qui ressemble à un nouveau bolchevisme ou à une forme de révolution culturelle à la chinoise», guettant tous « les traîtres » potentiels à la cause, nous confie Bret Weinstein. L’université de Chicago a pris la tête de la fronde, mettant noir sur blanc son engagement à défendre la liberté d’expression en 2015, un «serment» repris par plus de 50 autres établissements universitaires. Le très libéral Wellesley College a également réagi avec vigueur en créant un «projet liberté» destiné à encourager un débat d’idées libre et contradictoire. Et l’université de Berkeley, pourtant très progressiste, a créé un Centre pour la liberté d’expression.
En juillet 2020, un collectif de plus de 150 écrivains, artistes et journalistes, parmi lesquels J.K. Rowling, mais aussi la romancière Margaret Atwood, auteur du best-seller La Servante écarlate, le linguiste et psychologue Steven Pinker, la féministe Gloria Steinem, a signé une tribune dans Harper’s Magazine pour dénoncer «une intolérance à l’égard d’opinions opposées, une vogue pour la dénonciation publique et l’ostracisme, et la tendance à dissoudre des questions politiques complexes dans une certitude morale aveugle».
Social-démocrate à l’ancienne et opposé à la vague identitariste montante, Joel Kotkin s’alarme tout particulièrement de l’alliance des campus avec l’industrie de la tech, cette nouvelle oligarchie omniprésente qui prête allégeance au mouvement woke en forçant notamment ses employés à organiser des séminaires d’inclusivité et à signer avec les fameux «pronoms» - «manière pour elle d’éluder les sujets plus embarrassants d’inégalité, de classe et de positions monopolistiques». Pour lui, cette alliance rend quasiment impossible une rébellion des démocrates centristes contre les radicaux. Si certains observateurs continuent d’espérer que les modérés, comme l’élue du Congrès Elissa Slotkin, relèveront la tête, la plupart sont très sceptiques.
Dans ce tableau bien sombre, Sam Abrams voit une lueur d’espoir venir potentiellement de la nouvelle «génération Z» (nés entre 1997 et 2000), «beaucoup moins idéologue que les millennials» (nés entre 1980 et 2000), fatiguée de la polarisation et peu convaincue par la racialisation galopante. «Quand je me promène dans les campus pour des tournées de conférences, les salles sont bondées, surtout dans les petites villes de province, où l’on a soif de vérité et de nouvelles approches.» Sam n’en reste pas moins très envieux de «l’approche française»,qui résiste tant bien que mal à la vague woke anglo-saxonne.
Source?
Il est où ce fameux tableau?
Moi j'ai plus l'impression que les 2000 (surtout les femmes) sont encore plus alliénés par ces idéologies
C'est marqué où ? Je vois rien sur ton article
Au contraire ça dit juste que les jeunes ont le cerveau encore plus aliéné